Les Canadiens considèrent la légalisation du cannabis comme le couronnement du succès de Trudeau
30 % des hommes canadiens de 55 ans et plus ont déclaré qu’il s’agissait d’un échec politique
Les Canadiens considèrent la légalisation du cannabis comme le couronnement du succès de Trudeau
7 mars 2025| Personnel
De nouvelles données de sondage montrent que les Canadiens considèrent la légalisation du cannabis comme la plus grande réalisation de Justin Trudeau au cours de ses près de dix ans au pouvoir.
Le sondage en ligne , mené et présenté par l’Institut Angus Reid, a eu lieu du 4 au 6 mars 2025 auprès d’un échantillon randomisé représentatif de 1 850 adultes canadiens membres du Forum Angus Reid .
Un peu plus de la moitié des Canadiens (52 %) ont cité la légalisation du cannabis comme exemple de réussite politique du gouvernement libéral Trudeau, ce qui est plus élevé que l'opinion publique sur la gestion de la COVID-19 par le gouvernement Trudeau (47 %) et la réponse à l'invasion de l'Ukraine par la Russie (46 %).
Les hommes canadiens plus jeunes (18 à 35 ans) étaient plus susceptibles de considérer la légalisation du cannabis comme une politique réussie (66 %), mais le soutien à cette mesure diminuait avec l’âge. Les hommes de 55 ans et plus étaient les moins susceptibles de dire la même chose (40 %).
Les femmes ont montré une répartition similaire du soutien, avec plus de soutien parmi la tranche d'âge des 18-35 ans (59 %) que parmi celle des 55 ans et plus (46 %).
Chez les Canadiens qui ont qualifié la légalisation du cannabis d’échec, une tendance similaire a émergé parmi les groupes d’âge : 30 % des hommes canadiens de 55 ans et plus ont déclaré qu’il s’agissait d’un échec politique, contre 27 % des femmes de 55 ans et plus. Seulement 16 % des hommes de 18 à 34 ans ont déclaré que la légalisation du cannabis était un échec, et 17 % des femmes du même groupe d’âge.
Sans surprise, ceux qui ont soutenu le Parti conservateur n’étaient pas majoritairement favorables à la légalisation du cannabis, tandis que les électeurs libéraux et néo-démocrates et, dans une moindre mesure, les électeurs du Bloc québécois, y étaient favorables.
Le Parti conservateur du Canada s'est opposé par principe à la légalisation du cannabis alors que le projet de loi était débattu au Parlement en 2017 et 2018. Tous les membres du parti ont voté contre la légalisation, à l'exception d'un député conservateur, Scott Reid (ON), qui affirme que le parti l'a puni pour avoir rompu les rangs sur le projet de loi.
La légalisation du cannabis a reçu l'évaluation nette la plus élevée parmi tous les électeurs potentiels du parti, suivie par l'expansion du filet de sécurité sociale comme l'allocation pour garde d'enfants, la couverture des soins dentaires, etc., ainsi que la réponse au conflit en cours en Ukraine, la gestion de la COVID-19 par le Canada et la promotion de l'égalité entre les femmes et les hommes.
Au niveau provincial, le soutien à la légalisation du cannabis était le plus élevé dans les provinces de l’Atlantique, en Ontario, en Colombie-Britannique et au Québec, tandis que l’opposition à la légalisation du cannabis était la plus élevée en Saskatchewan, au Manitoba et dans les régions rurales du Canada en général. Trudeau a récemment annoncé qu’il quittait ses fonctions de chef du Parti libéral du Canada et de premier ministre du Canada après la sélection d’un nouveau chef du parti le 9 mars .
Un peu plus d’un adulte sur 20 (5,7 %) a déclaré consommer quotidiennement ou presque quotidiennement du cannabis en 2024, contre 6,5 % un an plus tôt.
L'approche étonnamment conservatrice du Québec
L'approche étonnamment conservatrice du Québec à l'égard du cannabis
Votez conservateur !
Rappelons que Legault le conservateur a demandé à ses Croyants Aveugles Québécois
de voter pour Deltell son pote qu'il a aidé à se faire réélire
et qui affirme que : L'alcool n'affecte pas le cerveau * !
C'était en novembre 2019 avant la recriminalisation du 1er janvier 2000.
Aujourd'hui le Québec exclusif
Anti : Justice Égale Pour Tout Le peuple Du Québec et Droits Humains
dont celui de choisir, de prendre des risques
a la pire légalisation du récréatif au Canada pour ses adultes légaux de 18 ans !
https://policyoptions.irpp.org/magazines/november-2019/quebecs-surprisin...
Le ministre délégué à la Santé, Lionel Carmant, neurologue pédiatrique, a déclaré que s'il avait le choix, il augmenterait l'âge légal à 25 ans. Pour le cannabis seulement ! Récréatif et Médical ?
Pour le cannabis non mortel aux multiples bienfaits et usages millénaires.
Pas pour les enfants de 6-12 ans et moins qui ont droit à l'alcool cancérigène,
à dépendance physique et psychique TRÈS FORTE comme l'héroïne.
Rappelons qu'il prescrit du cannabis THC et CBD à des enfants de moins d'un an, de 25 ans,
souffrant et mourant d'une épilepsie sévère réfractaire aux nombreux médicaments prouvés inefficaces
mais prescrit$ pendant des années par acharnement pharmaceutique et/ou addiction aux pots-de-vin.
Les interdictions peuvent séduire l’électorat, en particulier les partisans des partis politiques conservateurs sur le plan social. Elles sont émotionnellement satisfaisantes dans leur simplicité : « C’est mal, il faut interdire ça ! »
La province n'aide pas les jeunes Québécois en augmentant l'âge minimum et en prévoyant interdire les produits comestibles. Elle se prive d'un moyen de les protéger.
Économie Politique
L'approche étonnamment conservatrice du Québec à l'égard du cannabis
La province n'aide pas les jeunes Québécois en augmentant l'âge minimum et en prévoyant interdire les produits comestibles. Elle se prive d'un moyen de les protéger.
Daniel Weinstock
par
Daniel Weinstock
21 novembre 2019
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Le Québec a adopté une approche relativement stricte en matière de réglementation du cannabis dans les domaines qui relèvent de sa compétence. Par exemple, alors que la loi fédérale permet aux Canadiens de cultiver jusqu’à quatre plants pour leur consommation personnelle, l’ancien gouvernement libéral dirigé par Philippe Couillard a légiféré en juin 2018 pour interdire aux Québécois de cultiver du cannabis. Après que cette partie de la loi a été invalidée par un tribunal provincial, le gouvernement actuel de la Coalition Avenir Québec, dirigé par François Legault, a fait appel de la décision. Et bien que les produits comestibles à base de cannabis soient devenus légaux au Canada le 17 octobre 2019, le Québec a l’intention d’interdire les produits comestibles sucrés qui attirent les enfants, même si cette mesure pourrait également faire l’objet d’une contestation judiciaire.
Mais la différence la plus importante entre l'approche du Québec en matière de réglementation du cannabis et les règles en vigueur dans le reste du Canada concerne l'âge auquel les Québécois peuvent légalement se procurer du cannabis. Alors que la loi fédérale fixe à 18 ans l'âge auquel les Canadiens peuvent acheter et consommer du cannabis légalement, le gouvernement de la Coalition Avenir Québec a adopté une loi qui limitera l'accès au cannabis aux personnes de 21 ans et plus à compter du 1er janvier 2020.
Il existe des raisons plausibles à cette restriction. Il existe des preuves assez solides que la consommation de cannabis est dangereuse pour le développement du cerveau, ce qui expose les jeunes consommateurs à des risques plus élevés de santé mentale tels que la psychose et la schizophrénie. Le ministre délégué à la Santé, Lionel Carmant, neurologue pédiatrique, a déclaré que s'il avait le choix, il augmenterait l'âge légal à 25 ans, âge auquel le développement du cerveau est en grande partie arrêté, ce qui réduit également considérablement les risques.
De plus, les produits comestibles sous forme de bonbons gélifiés peuvent ressembler à des bonbons qui plaisent aux enfants. On rapporte que des enfants ont consommé accidentellement du cannabis dans les juridictions où ces produits comestibles sont disponibles.
Légende : Gummies au cannabis.
À première vue, la prohibition semble logique. Mais nous payons nos élus pour aller au-delà de ce premier regard. L’interdiction du cannabis pour les moins de 21 ans protégera-t-elle réellement les jeunes Québécois plus que la légalisation et la réglementation ne le feraient ? Le contexte de la consommation de cannabis par les jeunes nous porte à croire que ce n’est pas le cas.
Les habitudes de consommation de cannabis diffèrent de celles de l'alcool, autre substance intoxicante largement disponible. Le cannabis semble être une drogue pour les jeunes. Des études suggèrent que les personnes qui boivent ont tendance à le faire tout au long de leur vie, mais la consommation de cannabis semble diminuer de façon assez marquée à l'approche de la cinquantaine. Il nous faudra étudier si ce déclin est dû à la prohibition, maintenant que le cannabis est légal pour les adultes. Mais d'après les données dont nous disposons, il semble bien que les adolescents et les jeunes adultes soient particulièrement sensibles à l'attrait du cannabis.
De plus, le Canada a été et demeure inondé de cannabis illégal. Même avant la légalisation, les Canadiens étaient parmi les plus grands consommateurs de cannabis au monde. Les adolescents et les jeunes adultes canadiens ont certainement contribué plus que leur part proportionnelle à la production de cette statistique.
En créant un marché légal du cannabis, les gouvernements n’introduisent pas sur le marché un produit qui n’y existait pas auparavant. Au contraire, les entreprises auxquelles ils ont accordé des licences de production et de distribution entrent en concurrence sur un marché illégal florissant. Les autorités disposent certes d’outils dont les autres ne disposent pas. Les gouvernements peuvent évidemment tenter d’utiliser des sanctions pénales pour forcer les concurrents à fermer boutique. Mais l’efficacité de cet outil dépend de la mise en application des lois. Compte tenu de l’histoire de l’application des lois sur le cannabis au Canada, on peut douter de la capacité des gouvernements, fédéral et provinciaux, à chasser les fournisseurs illégaux du marché.
Quelle que soit la popularité des politiques prohibitionnistes auprès de l’électorat, est-il plausible dans ce contexte de penser que les législateurs seront en mesure de faire respecter une interdiction de consommation chez les adolescents et les jeunes adultes ?
Voici donc les questions que les législateurs doivent se poser : quelle que soit la popularité des politiques prohibitionnistes auprès de l'électorat, est-il plausible dans ce contexte de penser qu'ils parviendront à interdire la consommation de cannabis aux adolescents et aux jeunes adultes ? Parviendront-ils à garder le cannabis hors de portée des personnes les plus vulnérables aux risques pour la santé, mais qui, pour une raison ou une autre, semblent les plus attirées par ce produit ? Et parviendront-ils réellement à interdire l'accès aux produits comestibles sur le territoire québécois ?
Si la réponse est non, et je soupçonne que c’est le cas, alors les nouvelles restrictions n’amélioreront pas la situation. Elles donneront lieu à la situation paradoxale suivante : les adultes auront accès à du cannabis hautement réglementé, dont chaque étape de production sera étroitement contrôlée et dont la puissance sera mesurée par le pourcentage de THC. Pendant ce temps, les adolescents et les jeunes adultes continueront de faire affaire avec des revendeurs illégaux, dont le produit est plus risqué et dont l’information est beaucoup moins fournie. En visant la prohibition et en ne l’atteignant pas, le Québec se priverait des outils réglementaires qui lui permettraient de réduire les méfaits associés à la consommation de cannabis : des tests rigoureux des produits pour éliminer toute possibilité de falsification, une information complète sur la puissance et l’utilisation de mécanismes de tarification pour « pousser » les jeunes consommateurs vers des variétés moins puissantes et donc moins dangereuses.
Légende : Chocolat infusé au cannabis.
La même inquiétude existe en ce qui concerne les produits comestibles. Non seulement ils seront toujours disponibles sur le marché illégal, mais ils seront également disponibles légalement dans d’autres juridictions canadiennes. Un court trajet en voiture suffira à de nombreux Québécois pour s’approvisionner. L’interdiction des produits comestibles sera encore plus difficile à faire respecter que les limites d’âge.
Il ne s’agit pas de nier les risques encourus. Mais lorsque les interdictions se révèlent inefficaces, les législateurs responsables devraient chercher d’autres moyens de minimiser les risques. L’interdiction combinée à l’absence de moyens suffisants pour la faire respecter pourrait être la stratégie la plus risquée de toutes.
Il y a là une leçon générale à tirer. Les interdictions peuvent séduire l’électorat, en particulier les partisans des partis politiques conservateurs sur le plan social. Elles sont émotionnellement satisfaisantes dans leur simplicité : « C’est mal, il faut interdire ça ! » Mais les décideurs politiques devraient fonder leurs décisions sur des faits plutôt que sur des sentiments. S’ils décident de mettre en œuvre des politiques prohibitionnistes, ils devraient surveiller dans quelle mesure ils sont capables de faire respecter efficacement l’interdiction, et ils devraient être prêts à changer de cap si l’interdiction s’avère impossible.
En ce qui concerne le cannabis, la meilleure politique pourrait bien être d’interdire l’accès aux produits comestibles dans la province et de garder le cannabis hors de portée des adolescents et des jeunes adultes. Mais aspirer au meilleur et ne pas y parvenir pourrait mener au pire des résultats possibles, à savoir que les jeunes ne se retrouveraient pas dans une meilleure situation qu’avant 2018, époque de la prohibition générale, et se verraient privés de l’accès au cannabis relativement plus sûr que la légalisation a rendu accessible aux autres Canadiens.
Cet article fait partie de la rubrique spéciale La création d’une industrie du cannabis : première année .
Photo : Le ministre délégué à la Santé et aux Services sociaux, Lionel Carmant, dépose un projet de loi visant à relever l'âge légal pour acheter du cannabis à 21 ans, le mercredi 5 décembre 2018, à l'Assemblée législative de Québec. LA PRESSE CANADIENNE/Jacques Boissinot
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* Dictature Politique et Médicale :
Vladimir Vladimirovich Putin en Russie, Legault et Jolin-Barrette caquistes ségrégationnistes du Québec,
les associations de médecins/psychiatres achetables du Québec et Deltell conservateur canadien,
ont « condamné » le Canada pour avoir légalisé le cannabis récréatif à l’échelle nationale ! En 2018.
L’INSUPPORTABLE CROISADE DE GÉRARD DELTELL
https://blocpot.qc.ca/fr/forum/5413
S’improvisant expert de la question, le professeur Deltell affirme sans sourciller que, non, l’alcool n’affecte pas le cerveau ! Il faut le faire, non ?
Légalisation du cannabis: les prophètes de malheur à la Gérard Deltell sont confondus
Soumis par Zappiste le 28 janvier 2019 - 15:23.
https://blocpot.qc.ca/fr/forum/4925
En 2025. Après 6 ans de Légalisation Harmonisation Efficace du Récréatif
d'arrêt de criminalisation ségrégation des adultes légaux
par des bizne$$man des religions de racistes, misogynes, homophobes.
Des provinces et territoires ont récupéré jusqu'à 67 % de leurs adultes légaux de 18-19 ans
aux organisations criminelles/terroristes en leur enlevant des clients et des profits.
Contrairement à Legault qui a imposé à ses marionnettes de mettre en contact les 18-21 ans
avec les organisations criminelles/terroristes en leur fournissant 20 MILLION$ trimestre non taxés.
François Legault: « C’est clair, je ne me conte pas d’histoires.
Des jeunes de 18 à 21 ans vont aller sur le marché noir acheter du cannabis.
Mais je ne veux pas être connu comme le premier ministre du Québec
à envoyer le signal que c’est banal de consommer du cannabis avant 21 ans. »
L'orgueil fait faire des affaires qui n’ont pas de crisse de bon sens !;O)
Il et ses caq préfèrent que les adultes canadiens québécois de 18-21 ans
aillent sur le marché non blanc avec des produits de pharmaceutiques
fléaux mondiaux dangereux, addictifs et mortels comme le fentanyl.
Au lieu d'avoir accès au cannabis du monopole.
Ainsi, des jeunes criminalisés âgés de 18 à 21 ans s’approvisionnent
auprès de revendeurs et consomment des produits contaminés
et non réglementés, sans être renseignés sur leur puissance.
Ou d'autres provinces/territoires Harmonisés, avec des produits non contaminés et réglementés,
tout en étant renseignés sur leur puissance.
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