Nick Clegg se joint à l'appel à la révision des lois mondiales sur le cannabis
Dans quel monde un problème de santé publique est-il résolu en enrichissant les criminels ?
KEVIN DINNEEN7 DÉCEMBRE 20213 MINUTES DE LECTURE
Nick Clegg
L'ancien chef des libéraux-démocrates et vice-Premier ministre Nick Clegg a rejoint 14 anciens présidents ou premiers ministres, 4 lauréats du prix Nobel et d'autres personnalités publiques pour exhorter les dirigeants mondiaux à coopérer à une refonte du système de contrôle des drogues des Nations Unies.
Dans un rapport publié aujourd'hui par la Commission mondiale sur les drogues, des commissaires dont Nick Clegg et l'homme d'affaires Richard Branson, ainsi que d'anciens chefs d'État de pays comme la Pologne, le Brésil, le Mexique et l'Afrique du Sud ont appelé à la réforme des conventions de l'ONU, et un transfert de responsabilité des « aspects sanitaires clés de la réforme des politiques en matière de drogues » de l'Office des Nations Unies contre la drogue (ONUDC) à l'Organisation mondiale de la santé (OMS).
Le rapport, intitulé « Time to End Prohibition » souligne que l'interdiction quasi mondiale des drogues par les gouvernements et leurs agences n'a pas atteint son objectif. Malgré les 100 milliards de dollars par an dépensés collectivement pour l'application de la loi, le nombre de personnes qui consomment des drogues est en fait passé de 185 millions en 1998 à 269 millions en 2018, soit une augmentation de plus de 45 %. Il soutient que la prohibition des drogues « marginalise et viole les droits des personnes qui consomment des drogues, perpétue le racisme systémique, conduit à la violence et surcharge les systèmes de justice pénale ».
Helen Clark, ancienne Premier ministre de Nouvelle-Zélande et présidente de la Commission mondiale pour la politique en matière de drogue, a déclaré : « La guerre contre la drogue n'est pas basée sur des preuves, mais est plutôt alimentée par des préjugés et défendue par des politiciens qui veulent paraître durs. Il fait plus de mal que de bien, avec des innocents parmi les victimes, tandis que le crime organisé prospère. Il y a quelques signes de changement positif : les pays s'orientent vers la décriminalisation et la réglementation des drogues, mais des décennies de stigmatisation, de pseudoscience et de racisme ne seront pas annulées du jour au lendemain. Nous appelons les pays qui poursuivent déjà des réformes nationales à faire pression pour des changements dans le système des Nations Unies et à mettre fin une fois pour toutes à la tyrannie de la guerre contre la drogue.
La commission a présenté quatre propositions sur lesquelles elle souhaite que tous les pays travaillent ensemble ;
Réformer les conventions des Nations Unies sur la politique en matière de drogue qui limitent la capacité des pays à légaliser et réglementer les drogues, et évoluer vers un cadre international fondé sur des preuves.
Donner aux experts de l'OMS (plutôt qu'à l'ONUDC) la responsabilité de planifier les médicaments et d'assurer un accès équitable aux médicaments essentiels contrôlés.
Donner la priorité à la santé, à la sécurité et à la dignité – en investissant davantage dans les services de réduction des risques, en veillant à ce que les médicaments essentiels soient disponibles pour le soulagement de la douleur et les soins palliatifs, et en décriminalisant la consommation et la possession de drogues à des fins personnelles.
Réglementer tous les médicaments.
Dans une interview exclusive avec inews.co.uk , Nick Clegg a déclaré : « Si vous regardez les tendances en général dans le monde, nous voyons des tendances plus vers la dépénalisation de la consommation de drogues, en particulier du cannabis. Le public n'est pas idiot sur ce genre de choses, la plupart des gens connaîtront quelqu'un qui consomme de la drogue et ils comprendront que les drogues se présentent sous différentes formes et tailles, qu'il y a des effets différents et que certaines personnes les utilisent de manière qui ne pose pas trop de problèmes ».
L'ancien vice-Premier ministre, qui occupe désormais un poste de direction chez Facebook, a poursuivi en disant : « Dans quel monde rationnel traiteriez-vous quelque chose où l'approche existante entraîne de plus en plus de dommages, de plus en plus de morts et de plus en plus de profits pour criminalité organisée ? Pourquoi persisteriez-vous avec la même philosophie ? Dans quel monde un problème de santé publique est-il résolu en enrichissant les criminels ?
Dans le monde de la CAQ au Québec
Dans quel monde un problème de santé publique est-il résolu en enrichissant les criminels ?
Dans le monde de la CAQ au Québec !
La CAQ pour se distinguer du Canada Libre, appuyé par les associations de médecins/psychiatres pro-médoc$, dépendant$, cannaphobes fournissent des millions trimestre aux organisations criminelles avec la criminalisation discriminatoire des adultes de 18-21 ans pour régler leur problème de santé publique.
Millions trimestre qui sont enlevés, par orgueil du premier, à la santé publique, l'aide immédiate et gratuite, l'information, l'éducation, l'économie, la répression, la recherche *.
Ex: En un seul trimestre la SQDC totalise des ventes de 142,0 millions. Sans les 18-21 ans et moins !
142,0 millions = 47 millions par mois.
11,75 millions/semaine.
Plus de 1 million/jour.
41 500 $/heure.
Donc si c'est 142 millions pour un trimestre SQDC qui pourrait représenter 50% du marché des plus de 21 ans.
C'est beaucoup plus de 142 millions CAQ pour un trimestre que votre gouvernement, complice, leur fourni.
Marché illicite qui ne paye pas de taxe, comme les religions, et n'a pas à suivre les restrictions de Santé Canada.
* Tonton Lionel Carmant, cannavierge, après 2 années de profits trimestre de la SQDC
a annoncé qu'il y aurait "jusqu'à" 10 millions pour la recherche.
"Jusqu'à" 10 millions ce sont des miettes quand des ventes trimestrielles représentent 142 millions.
"Jusqu'à" 10 millions. Alors que les ventes rapportent 11,75 millions/semaine.
Jusqu'à présent les profits gaspillés n'ont servi qu'à enrichir les agences de pubs.
Aucune étude sur l'efficacité ou le ridicule de ces pubs qui ne s'adressent pas aux moins de 15 ans.
Il est possible que ces pubs aient été testés sur les Tanguy du premier ?
Compassion et réduction des méfaits ?
RIEN pour une aide immédiate et gratuite pour les personnes vulnérables à l'addiction la dépendance.
PAS de remboursement de la CAQ pour le cannabis efficace, pour des Québécois souffrants et mourants !
Même pour de jeunes enfants à qui Carmant en prescrit sont privés de cannabis thérapeutique efficace.
Seulement "Jusqu'à" 10 millions ?
Démontre à quel point le cannabis est bénin pour la santé physique, mentale, économique !
Tonton Lionel croit que le Québec deviendra LE leader en recherche mondiale avec "jusqu'à" 10 millions !
Lui qui croit que criminaliser les adultes de 18-21 ans et les sacrifier au marché illicite est un bienfait !
La CAQ est LE leader pour la pire des provinces pour le COVID et la légalisation prohibition du cannabis !
LE leader c'est Israël avec ses résultats de recherches positifs sur des humains, à qui on a fourni des cannabis contrôlés à différents taux en CBD et THC et un placébo, suivi de tests cognitifs. Le but de leurs recherches est de procurer une expérience agréable peu importe l'usage.
Raphael Mechoulam, né le 5 novembre 1930 à Sofia, est un chimiste israélien, connu pour avoir isolé en 1964 l'un des cannabinoïdes du cannabis, le tétrahydrocannabinol. Il est l'un des pionniers de l'utilisation médicale du cannabis, la molécule du THC permettant de traiter de nombreuses pathologies.
https://israelvalley.com/2022/01/03/premiers-pas-dans-lindustrie-du-cann...
Cannbit-Tikun Olam produira des huiles de cannabis médical riches en THC.
31 oct. 2017 — Israël se positionne déjà comme le pays leader sur la recherche sur le cannabis et les technologies de santé, attirant des investissements.
15 mai 2015 — REPORTAGE - Le gouvernement développe la recherche, mais les médecins sont hésitants car peu d'études démontrent son efficacité.
Le prix ECNP Lifetime Achievement Award
https://www.ecnp.eu/about-ecnp/history/past-awards/ECNP-lifetime-achieve...
Gagnant 2006 – Raphaël Mechoulam
Le prix ECNP Lifetime Achievement Award a été créé en 2005 par le Collège européen de neuropsychopharmacologie. Ce prix prestigieux sera décerné tous les deux ans en reconnaissance d'une personne qui a apporté des contributions innovantes et durables au domaine de la neuropsychopharmacologie. Le prix est unique en ce qu'il reconnaît un dévouement de longue date dans le domaine de la neuropsychopharmacologie.
Le premier récipiendaire du prix ECNP pour l'ensemble de ses réalisations est le professeur Raphael Mechoulam, du Département de médecine et de chimie de l'Université hébraïque de Jérusalem, Israël. Raphael Mechoulam a une longue et distinguée carrière à la fois en tant que mentor et en tant que scientifique à des postes administratifs élevés. Il est le directeur académique officiel (recteur) de l'Université hébraïque de Jérusalem. Il a été président de l'International Cannabis Research Society et a reçu de nombreuses distinctions nationales et internationales, par exemple il est membre de l'Académie des sciences d'Israël.
Le jury du prix a récompensé les recherches pionnières de Raphael Mechoulam sur les constituants du cannabis et les cannabinoïdes endogènes, trouvés dans le cerveau et la périphérie. Son laboratoire a été le premier à identifier et à synthétiser le delta-9-tétrahydrocannabinol (THC), la principale substance psychoactive du cannabis. Ces travaux ont conduit à la recherche de ligands agissant sur les récepteurs cannabinoïdes dans le cerveau et à la découverte du système endocannabinoïde dans le cerveau. Raphael Mechoulam et ses collègues ont identifié plusieurs molécules, qui sont des dérivés d'acides gras, comme l'anandamide, qui sont structurellement différentes du THC, mais ont essentiellement la même activité pharmacologique que le THC.
Pages
Ajouter un commentaire