Le CBD vu par l’OMS
Pour dissiper tout autre doute, ils concluent « qu’il n’y a pas de preuves d’usage récréatif du CBD ou de problème de santé associés à l’usage de CBD pur. »
LE CBD VU PAR L’OMS
Publié par Team CBD | 26 avril 2021 | Actualités, Législation | 0 |
Dans la plupart de nos articles, nous utilisons souvent la position de l’OMS pour attester que le Cannabidiol ne représenterait aucun risque pour les consommateurs. Ainsi dit, il nous a semblé important de vous proposer un contenu sur le sujet, avec un document original et complet, fourni par cette prestigieuse institution. Cela vous permettra de mieux saisir la position de l’OMS sur le CBD. Aussi, nous y ajoutons une étude externe qui valide ce postulat.
LE SOMMAIRE
Ce que pense l’OMS du CBD
Une expertise externe et complémentaire
CE QUE PENSE L’OMS DU CBD
En effet, la position de l’Organisation mondiale de la santé sur le CBD est assez précise et claire. Selon un rapport du Comité d’Expert sur les Dépendances aux Drogues de l’OMS, la consommation de ce cannabinoïde ne représenterait aucun risque pour la santé publique. C’est dans cet ordre d’idées que les auteurs dudit rapport soutiennent que le Cannabidiol « ne possède aucun potentiel d’abus ». De même, plus loin, ils ajoutent que « Le CBD est généralement bien toléré avec un bon profil de sécurité ». Ces déclarations pourraient laver la molécule de tout soupçon. Notamment au sujet de ses supposés effets psychotropes qui, en réalité, seraient ceux du THC, au-delà du taux légal.
Par ailleurs, les experts de l’OMS ne se contentent pas de reconnaitre la salubrité et la sécurité de ce composant. Ils vont beaucoup plus loin. De fait, ils soulignent que ce principe actif aurait des effets thérapeutiques. Sous cet angle, précisent-ils que le CBD « s’est montré être un traitement efficace pour l’épilepsie ». Allant toujours dans le même sens, ces scientifiques de l’OMS ajoutent qu’il existerait « des preuves préliminaires que le CBD puisse être un traitement utile pour un certain nombre d’autres pathologies ». Dans la longue liste de pathologies, citons, à titre illustratif : la maladie de Parkinson, la psychose et l’Alzheimer.
Pour dissiper tout autre doute, ils concluent « qu’il n’y a pas de preuves d’usage récréatif du CBD ou de problème de santé associés à l’usage de CBD pur. »
Nous vous invitons donc à parcourir leur rapport ci-dessous. Vous pouvez également le télécharger pour le lire hors ligne.
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CBD, PAR L'OMS
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UNE EXPERTISE EXTERNE ET COMPLÉMENTAIRE
En effet, à l’introduction de ce contenu, nous avons annoncé qu’un focus serait fait sur une étude externe. De fait, celle-ci rejoint la position de l’OMS sur la sécurité et la salubrité du cannabidiol. Elle soutient également que le CBD ne présenterait aucun risque de toxicité.
En fait, d’août 2020 à février 2021, 839 consommateurs ont réalisé une étude menée par 12 entreprises, commandée et conçue en réponse aux demandes de la FDA. À ce sujet, les investigations cliniques ont duré (07) mois. Allant dans ce sens, le co-investigateur Jeff Lombardo PharmD, BCOP, s’exprime.
«Notre objectif principal dans cette étude est d’observer les effets potentiels sur le foie chez les adultes ingérant des formes orales de CBD dérivé du chanvre pendant au moins 60 jours. Ce que nous avons observé à ce jour ne constitue aucune preuve clinique de maladie du foie chez aucun des participants. Nous avons observé de légères élévations cliniquement non significatives des tests de la fonction hépatique chez moins de dix pour cent des consommateurs, quels que soient l’âge, la composition et la forme du produit et la quantité consommée. Trois des 839 participants avaient des taux normaux de 3 fois l’enzyme hépatique ALT. Ces trois consommateurs prennent des médicaments sur ordonnance connus pour élever les enzymes hépatiques, et nous cherchons à savoir si les médicaments prescrits ou d’autres facteurs contribuent à ces valeurs aberrantes »
À l’issue, l’étude ne montre aucun signe de maladie du foie chez les 839 participants et aucune augmentation de la prévalence des tests de la fonction hépatique élevée par rapport à une population avec une incidence similaire de conditions médicales. Donc, les inquiétudes concernant la toxicité hépatique potentielle causée par le CBD seraient mises à l’écart.
Toutefois, cette étude ne devrait pas encourager une prise de CBD à des doses journalières élevées. Pourquoi ? Parce que, une autre étude dont un article publié dans Clinical Pharmacology & Therapeutics fait mention, met en garde. De fait, des résultats d’un essai contrôlé randomisé de CBD sur des adultes en bonne santé, montrent que l’administration de 1500 mg de CBD par jour pendant 3,5 semaines provoque des lésions hépatiques. En clair, il serait indiqué que les consommateurs restent sur des doses journalières normales et raisonnables.
Malgré cette mise en garde, il n’en demeure pas moins que, quand il est pris aux doses recommandées, le CBD peut aider les patients souffrant de troubles hépatiques chroniques, tels que l’hépatite auto-immune (AIH). En effet, une étude sur l’impact de la consommation de CBD sur 371 patients atteints d’hépatite auto-immune (AIH) montre que 25% des patients atteints d’AIH utilisaient du CBD pour la douleur, le manque de sommeil et la fatigue.
Références
https://www.newsweed.fr/cbd-oms-risque-sante-abus/
https://www.who.int/features/qa/cannabidiol/fr/
https://www.who.int/medicines/access/controlled-substances/5.2_CBD.pdf
https://ilesol.com/new-study-shows-no-evidence-of-liver-toxicity-in-over...
Les silences, des indices aussi?
Il y a des années de ça j'ai remarqué un graphique fort évocateur dans un article de Leafly au sujet des 3 profils que sont le THC-centrique (comme j'aime l'appeler), le Tout-CBD puis le 1:1 moitié-moitié dit "balancé", mais qui à mon humble avis demeure l'expression d'un excès du principe de précaution à travers ce qui pour moi ressemble davantage à un renforcement de sélections génétiques extrémistes potentiellement socio-toxiques, et voici pourquoi.
Si on s'accorde sur l'évidence simple que la plante de cannabis a une capacité matériellement finie de production de molécules nobles - telles que le THC et le CBD, mais pas seulement, car on se doit également de valoriser le rôle des "effets d'entourage" dans un modèle contredisant l'approche à mono-molécules typique de l'industrie pharmaceutique, euh... Alors donc, si ces deux concepts de base s'avèrent au moins recevables dans un débat sur les réformes cannabiques je me trouve forcé de signaler l'absence de palettes dans des catégories autres que ces-là. Ce qui combiné à l'interdiction de transporter plus de 28 grammes à la fois implique des compromis impactant négativement des adultes responsable et émancipés n'ayant rien à se reprocher. L'un de ces compromis résulte dans la difficulté d'explorer des spectres autres que extrêmes où on nie clairement la vraissemblance de profils mieux adaptés, en particulier 2 THC pour 1 CBD, par exemple: le graphique de Leafly révélait des absences marquées ailleurs que dans ces 3 groupes en question. Tant pis pour moi si j'ai besoin de 2:1 (THC:CBD) afin de profier à la fois de l'effet d'entourage et du ratio THC:CBD, sachant que les 2 catégories THC-centrique et Full-CBD (totalitaires) laissent sans doute trop peu de codage génétique pour autre chose et par conséquent que ce pourraient être une façon détournée d'appauvrir l'offre de spectres cannabiques (et autres) tout en espérant collecter davantage de statistiques défavorables puisque contaminées cette fois-ci par une suppression dont je gage que les fameuse études "scientifiques" tardent à tenir compte.
Bref, y-a-til autre chose chez la SQdC que du THC-centrique sans CBD, du Full-CBD sans THC ou même pour berner les plus naïf: du 1:1 dit "balancé"?? Hummm...
Mieux encore, si on promeut l'optimisation des sélections génétiques vers l'idéal pharmacologique à base de mono-molécules avec numéro DIN alors les éventuels "problèmes" du cannabis ne doivent-ils pas être d'abord attribués à l'influence de nos illustres "élite$", "expert$"/"spé¢iali$tes" qui ont jugé bon passer pareille considération on ne peut plus basique sous silence! Une décision clairement coupable puisqu'on aura beau faire des mélanges, à la fin il restera toujours des zones d'ombres majeures perpétuant le déni, lequel à son tour pouvant expliquer des cas d'anxiété pour des usagers de THC-centrique à qui un léger complément de CBD apporterait un certain degré de protection, ou une peut de THC pour des patients s'étant mis au Full-CBD et à qui un brin de THC redonnerait le sourire, je présume. Mais rien de ce qu'on imagine entre les 3 grand groupes ne se trouve "légalement" sur un marché où même le CBD (qui n'a aucun attrait ni pour les enfants d'école ni pour leurs revendeurs...) demeure démonisé comme s'il s'agissait de plutonium, avec nous les usagers faisant figure de terroristes. J'exagère à peine.
Reste que pour un Canadien-Français du 3ième âge vivant au Québec la nécessité de limiter les voyages impose des choix déchirants et iréconcilliables. Et si d'aventure on s'essaie à concocter des mélanges tendant vers un ratio THC:CBD particulier ça restera une sélection génétique centrée sur un extrême ou l'autre, avec trop peu d'espace laissé aux actions synergiques.
Bref on vilifie davantage sans en avoir l'air et après les masse-médias font mine de s'étonner qu'il existe encore des réticences parmi la population alors que le seul exemple venu d'en haut en est un de prédateurs incompétents et irresponsables dénués d'un sens adéquat de notions de proportionnalité. Sans compter que ces mélanges vont occasionner une surcharge à la caisse, environ 50 $ pour quelqu'un désirant s'éloigner de la tangeante THC-centrique, juste pour voir.
En conclusion on nous sert punition par-dessus punition de manière autoritaire et paternaliste et rien que ça déjà me semble autrement plus déraisonnable que tous les "dealers" m'ayant accommodé par le passé.
Etc., etc.
La fiabilité de l'OMS
A mon avis, l'OMS dit clairement ce que beaucoup de médecins et de scientifiques ont toujours dit. L'usage du CBD pour un but thérapeutique est avantageux pour la santé et ne représenterait pas de danger, sinon minime. Même l'ONU reconnaît aussi les vertus du CBD. Cet article en parle
[url=https://www.20minutes.fr/societe/2924059-20201204-drogues-onu-reconnait-.... Néanmoins, comme tout produit, il a aussi des effets secondaires qu'il ne faudrait pas négliger.
Zappiste
Effets secondaires indésirables bénins temporaires du CBD !
Si ça fonctionne vous continuez ! Si ça ne fonctionne pas vous arrêtez !
Bien que le CBD soit généralement considéré comme sûr, il peut provoquer des effets indésirables comme la diarrhée et la fatigue chez certaines personnes.
Ni dangereux ni mortel !
La diarrhée n'est pas causée provoquée par le CBD mais par l'huile.
Le cannabis offre plusieurs types de consommation sans huile.
La fatigue dû au CBD. Chronique, Extrême ?
La fatigue est souvent considérée comme une sensation d'épuisement, de lassitude ou de somnolence consécutive découlant de diverses sources, comme un manque de sommeil, à une activité mentale ou physique prolongée, ou à de longues périodes de stress ou d'angoisse.
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