Suisse: L'accès au cannabis médical doit être facilité
La modification de loi ne prend pas en compte le remboursement des traitements à base de cannabis par l'assurance obligatoire des soins. Plusieurs orateurs se sont élevées pour dénoncer cet aspect. D'aucuns craignent que le prix des médicaments à base de cannabis ne soit un obstacle à l'utilisation de ces produits.
VERS UN ACCÈS FACILITÉ AU CANNABIS MÉDICAL Aujourd'hui, 10:27 0Drucken L'accès au cannabis médical doit être facilité
Les médecins doivent pouvoir prescrire du cannabis à des fins médicales sans autorisation. Les malades auraient ainsi plus facilement accès à ces médicaments. Le National a approuvé mardi, par 143 voix contre 33, une modification de la loi sur les stupéfiants.
(ats) Le cannabis, récréatif ou médical, est interdit en Suisse depuis 1951. Les médecins peuvent toutefois prescrire un médicament à base de cette substance s'ils obtiennent une autorisation exceptionnelle de l'Office fédéral de la santé publique.
Près de 3000 autorisations de ce type sont délivrées chaque année pour des patients cancéreux, souffrant de maladies neurologiques ou atteints de sclérose en plaques. Avec de tels chiffres, il n'est plus vraiment possible de parler d'autorisation exceptionnelle, a noté le ministre de la santé Alain Berset.
Les obstacles administratifs et la procédure couteuse poussent par ailleurs certains patients à se fournir directement sur le marché noir, a poursuivi le conseiller fédéral. Le système actuel n'est plus adapté, a reconnu Céline Amaudruz (UDC/GE) pour la commission. Et de déplorer la longue attente de certains patients souffrant de maladies chroniques avant de pouvoir être soulagés.
Pour faciliter l'utilisation du cannabis à des fins médicales, le Conseil fédéral propose la suppression de l'interdiction actuelle dans la loi sur les stupéfiants. La décision de l'opportunité de prescrire un tel médicament sera prise entre le médecin et le patient. Le cannabis récréatif continuera d'être interdit.
La culture, la fabrication et la mise sur le marché du cannabis à usage médical seront possibles dans le cadre du système d'autorisation et de contrôle assuré par Swissmedic. L'exportation commerciale de cannabis à usage médical sera autorisée.
Les médecins traitants devront transmettre les données sur le traitement et l'usage de médicaments à base de cannabis. Ces données permettront de suivre l'évolution de l'utilisation du cannabis à usage médical et d'accroître les connaissances sur son efficacité. Les députés ont tenu à préciser cette disposition. La récolte de données doit porter notamment sur les effets secondaires.
La gauche aurait souhaité autoriser la production de cannabis médical à des fins privées, pour autant qu'elle soit faite sous supervision médicale. La mesure a de nombreux avantages, a souligné Léonore Porchet (Verts/VD).
Comme le montre l'exemple du Canada, le marché noir serait réduit et le cannabis accessible à des prix moins élevés, a poursuivi la Vaudoise. De plus, les patients seraient libérés de l'emprise de la chimie et de l'industrie pharmaceutique. La proposition n'a pas été suivie, tout comme celles issues du camp bourgeois visant à durcir les conditions d'accès.
L'UDC et une partie du PDC ont plaidé pour que les médicaments destinés à être fumés ne puissent pas être prescrits ou remis. "Fumer du cannabis est mauvais pour la santé", a tenté de faire valoir Verena Herzog (UDC/TG). Cela peut provoquer des infections pulmonaires et des effets secondaires psychologiques.
Le parti conservateur voulait également obliger les patients à porter sur eux une ordonnance en cas de contrôle de police. Pour Verena Herzog, il s'agit avant tout d'éviter des malentendus et des énervements. L'UDC n'a pourtant pas été beaucoup suivie au-delà de ses rangs sur cette proposition.
La modification de loi ne prend pas en compte le remboursement des traitements à base de cannabis par l'assurance obligatoire des soins. Plusieurs orateurs se sont élevées pour dénoncer cet aspect. D'aucuns craignent que le prix des médicaments à base de cannabis ne soit un obstacle à l'utilisation de ces produits.
Cet aspect fait l'objet d'une évaluation distincte, a répondu Alain Berset. Un rapport sur l'efficacité des médicaments à base de cannabis en vue d'un éventuel remboursement est attendu pour 2021.
Le projet retourne au Conseil des Etats.
L'exemple du Canada. La prohibition du Québec caquiste !
Comme le montre l'exemple du Canada, le marché noir serait réduit et le cannabis accessible à des prix moins élevés, a poursuivi la Vaudoise. De plus, les patients seraient libérés de l'emprise de la chimie et de l'industrie pharmaceutique.
Le but premier de la légalisation était
de faire cesser les méfaits de la prohibition injuste sans fondement scientifique.
Un dossier criminel, une incarcération, sont plus dommageable pour la santé physique et mentale
que l’abus de cannabis, sans dose ni surdose mortelle !
Être un adulte légal sans discrimination sur le produit légal qu'il consomme.
Fournir une vaste gamme de produits de qualité contrôlé respectant les plus hautes normes de Santé Canada.
Des points de vente.
La vente au privé pas seulement d'un monopole.
Le droit à la culture personnelle accordé au tabac (15Kg/adulte) et à l'alcool qui tuent !
Au Québec les membres de la CAQ ont choisi d’alimenter le marché au noir, marchés clandestins, en leur sacrifiant les adultes légaux de 18 ans de moins de 21 ans par la création d’une catégorie d’adulte à partir de 21 ans pour le produit intoxicant légal sans dose ni surdose mortelle qu'il consomme. Pour tenir une promesse électoraliste !
La légalisation pour les adultes du Canada n’aura duré que deux mois au Québec !
Ce faisant ils ont criminalisé les parents du Québec qui consommaient responsablement cette plante avec leurs adultes de 18 ans. Jusqu’à 14 ans de prison pour un parent qui consomme avec son adulte. Votre gouvernement.
Des adultes de 18 ans qui avaient décidé d'essayer le marché licite malgré ses ruptures de stock à répétition, des prix trop élevés, très peu de points de vente, sans livraison, sans pouvoir sentir et voir le produit ont dû retourner vers le marché illicite organisé avec la bénédiction des membres de la CAQ qui leur a sacrifié les adultes de moins de 21 ans. Le plus grand nombre de consommateur$ expérimentateur$.
« C’est clair, je ne me conte pas d’histoires. Des jeunes de 18 à 21 ans vont aller sur le marché noir acheter du cannabis. Mais je ne veux pas être connu comme le premier ministre du Québec à envoyer le signal que c’est banal de consommer du cannabis avant 21 ans. » François Legault
Selon des experts le cerveau ne sera complètement développé qu'à 25-30 ans ?
Moins de 18 ans pour consommer de l’alcool avec un parent, sa permission.
Alcool un dépresseur protégé par la CAQ qui rend accro, malade, à dose mortelle,
causant 10 morts évitables acceptables culturellement chaque jour .
Coté addiction légale, nombre de drogués et morts évitables annuelles.
#1 pour le nombre de morts annuelles (13 000): le Tabac.
#1 pour le nombre de drogués 82% des Québécois de 12 ans et plus: l'Alcool.
12 ans pour avoir un permis de chasse et la possession d’une arme à feu.
12 ans pour être reconnu criminellement responsable de ses actes.
Même si le cerveau ne sera complètement développé qu'à 25-30 ans !
L'intelligence est la capacité de raisonnement et de réflexion d'une personne.
Les médias utilisent souvent "connu des policiers".
Le premier et quelques autres ministres sont aussi "connus des policiers" ?
Les cousins ajoutent "criminellement" à connu des fonctionnaires de police !
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