Spécial drogues: Désintoxication, les méthodes douteuses de la scientologie
Zappiste: le voici ce lien entre la scientologie et non à la drogue oui à la vie .
Ils ont leurs centres d'intoxications par la désintoxication *NARCONON ces scatos.
http://www.lesinrocks.com/actualite/actu-article/t/51547/date/2010-10-02...
Spécial drogues: Désintoxication, les méthodes douteuses de la scientologie
02/10/2010 | 09H00
L’Eglise de scientologie propose de sevrer les accros à l’héroïne ou au crack. Avec des méthodes douteuses et dangereuses.
Italienne, jeune et héroïnomane, F. meurt du sida. Elle a développé la maladie dans un centre Narconon, l’antenne de l’Eglise de scientologie spécialisée dans la lutte contre la drogue. F. était séropositive. Ses “soignants” ne l’avaient juste pas diagnostiquée. Avant de succomber, F. avait confessé que toutes sortes de produits prohibés circulaient dans le centre, où elle était littéralement internée.
Les paradis artificiels, on y entre facilement. Plus compliquée est la sortie. Parmi ceux qui proposent de s’extirper de la galère : Narconon, qui agit aussi sous l’appellation de Fondation pour un monde sans drogues. On sait la Scientologie investie dans la fabrique des “Clairs“, c’està- dire des surhommes, à partir des pauvres loques que nous serions avant d’être éclairés par ses lumières. Alors, des accros à l’héroïne, à la cocaïne, au crack ou même à la marijuana, c’est encore mieux pour la démonstration. Ils constituent des proies faciles, plus vulnérables.
Des centres Narconon, il y en a dans le monde entier. Officiellement, pas en France. Installée près de Dijon, la première officine avait été fermée en 1984 à la suite du décès d’une jeune femme, victime d’une crise d’épilepsie, et transportée trop tard dans un hôpital. Aujourd’hui, l’Eglise songerait à ouvrir un nouveau centre. En attendant, jamais elle ne retoquera une brebis égarée. En tapant “toxicomanie“ ou “drogue“ sur le net, on est discrètement renvoyé à quantité d’adresses sectaires, dont Non à la drogue, oui à la vie, autre émanation de l’Eglise.
On arrête toute prise de drogue, et on compense par la prise de vitamines
La méthode Narconon est calquée sur les stages de “purif“ de la Sciento. On arrête toute prise de drogue, tout de suite. Et on compense par l’absorption de quantités astronomiques de vitamines, notamment de la niacine, et par un minimum de quatre heures de sauna quotidiennes. Ce gavage intensif, quasi disciplinaire, dure entre trois et quatre mois. Et coûte bonbon.
Il n’y a sans doute pas de bonne méthode pour décrocher. Reste que les effets induits par un sevrage brutal peuvent être violents : outre les risques d’épilepsie et d’hallucinations, celui d’un arrêt cardiaque. Rien que ça. Un médecin, Armelle Guivier, qui a consacré sa thèse aux risques d’atteinte à l’intégrité physique encourus par les adeptes de sectes, a listé ces dangers.
La Sciento s’en contrefiche. Elle conchie médecins et psys, ses rivaux. Mais la dépendance n’étant pas que physiologique, il faut aussi un suivi psychologique. Or, Narconon prétend le donner. Chaque centre est théoriquement placé sous la responsabilité d’un médecin… scientologue ! Et peut-être même pas médecin.
En attendant, l’organisation annonce 70% de succès. Ce pourcentage est à pondérer avec les rechutes. Ce qui ramène les réussites en dessous de la barre des 10%. En mars dernier, David Edgar Love, ancien “étudiant“ (patient) devenu cadre du Narconon de Trois-Rivières au Canada, poste une vidéo sur internet dénonçant la fatwa dont il est victime. Il a claqué la porte de l’organisation qu’il jugeait “criminelle” pour l’avoir forcé à mentir sur les chiffres. Apostat, Love !
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http://narconon.critique.free.fr/nn-et-critiques.htm
Narconon, tout comme la scientologie et autres entités liées, souscrit aux théories hubbardiennes "d'évaluation humaine" et au régime strict de "l'éthique scientologue". La scientologie a largement gagné sa réputation d'intolérance vindicative envers la critique. Comme le dit le Juge Breckenridge lors d'un jugement de 1984, "l'organisation est manifestement schizophrène et paranoïde, ceci semblant refléter son fondateur L. Ron Hubbard". Elle se déclare en guerre permanente contre une "conspiration" qu'elle prétend avoir été organisée par les psychiatres, les médecins, les gouvernements, les journalistes etc. Les psychiatres sont supposés être les maîtres secrets du monde et responsables de tout problème, guerre, folie, crime, l'Holocauste, la guerre dans les Balkans, le Communisme, les attaques du 11 septembre - Le patron de la secte déclara même à des dizaines de milliers d'exemplaires par écrit que le lieutenant d'Ousama Bin Laden était un psychiatre (il est chirurgien). La secte opére selon le dicton hubbardien: Il faut une volonté constante de répliquer pour obtenir la liberté. Certes, Narconon démontre son acceptation du dicton.
Cette attitude vient évidemment d'Hubbard. Voici ce que disait Sir John Foster il y a une trentaine d'années lors d'une enquète publique au Royaume-Uni:
Les réactions des individus et groupes face à la critique varient de l'acceptation cordiale, à la tolérance amusée, et à l'autre bout de la corde, à un sens outragé accompagné d'une contre-attaque vindicative contre le critique. La scientologie est à ce niveau, malheureusement pour elle. Si l'on en juge d'après les documents, il semble que cela provienne de la personnalité de M. Hubbard, qui adopte une attitude d'extrème hostilité face à la critique. On peut estimer qu'il n'est guère étonnant que quelqu'un qui a adopté ce type d'attitude face à la critique obtienne méfiance en réaction, plutôt qu'amabilité.
[Rapport de Sir John Foster, sur les pratiques et les effets de la scientologie (HMSO, 1971), p. 127]
Le traducteur signale au passage que la secte a commencé à l'attaquer dès son départ en 1983, qu'elle a toujours réagi de façon hostile, et qu'elle est devenue enragée le jour où elle a pu observer que le traducteur devenait témoin devant les tribunaux. Elle en est à 9 procès contre lui, dont trois repris deux fois, soit douze.
Le thème clé de l'approche d'Hubbard c'est qu'il existerait trois groupes de gens dans la société. Le premier, ce sont les scientologues et leurs alléis. Le second, la grande majorité des individus non initiés , que la scientologie dénommé du terme raciste "wogs" (le traducteur pense ici que l'auteur a tort en expliquant que ce "wog" ne vient pas du terme raciste wog qui correspond en fait à "bougnoule" en français, car le dictionnaire technique scientologue dit "Wog: worthy oriental gentleman" - une façon manifestement moqueuse ou péjorative de désigner les arabes "gentleman oriental de valeur" ayant probablement trouvé son origine dans l'armée de Sa Majesté aux Indes.
Tout cela se résume en pratique à ceci: est-ce que la personne est favorable (à la rigueur neutre) vis-à-vis de la scientlogie? Aux yeux des hubbardites, il est interdit de critiquer la secte, ses buts, ses méthodes, ses membres, ses chefs, son gourou, ou n'importe laquelle de ses déclarations . Dedans, ou dehors de la secte. Hubbard a produit une liste d'attributs "de la personnalité anti-sociale". Pas de surprise: on y trouve des définitions qui serviront ensuite les intentions scientologues. (voir en anglais
La personnalité anti-sociale s'occuppe essentiellement de mauvaises nouvelles, de critiques ou remarques hostiles, d'invalidation et de suppression généralisée (on encourage les scientologues à ne pas faire part des échecs ni des difficultés). Peut-être cela épargne-t'il quelques ennuis aux dirigeants - mais l'on voit mal comment cela résout les vrais problèmes.
"La personnalité anti-sociale choisit habituellement la mauvaise cible." En d'autres termes, si ce sont les drogues qui créent des problèmes, pourquoi critiquer Narconon...)
" La personnalité antisociale ne supporte que les ghropupes destructifs et peste et attaque les groupes constructifs ou d'amélioration"" (Narconon - Non à la Drogue Oui à la Vie est censé améliorer...)
"Aider les autres est une activité qui rend la personnilté anti-sociale complètement folle. Cependant, les activités qui détruisent sous couvert d'aide sont largement supportées..."Selon ceci, Narconon est attaqué parce qu'efficace.. les programmes des psychologues, psychiatres etc. pour aider les toxicos sont tous "destructifs")
On peut fort bien arguer d'une liberté d'expression pour critiquer la scientologie et Narconon. Mais pour la secte, cet argument ne tient pas: car Hubbard n'aime pas les valeurs démocratiques, et les rejette explicitement en scientologie. Voir la plus célèbre de ses "lettres de règlements", "Comment Faire en sorte que la sceintologie continue à fonctionner". On lit ailleurs:
Etant donné que la société ne survit que grâce aux efforts des personnalités sociales, on doit apprendre que c'est elles, et non les antisociales, qui ont une valeur. C'est eux qui doivent obtenir des droits et la liberté.
[Hubbard, Introduction to Scientology Ethics - also at
Ce qui implique évidemment que les antiosociaux n'ont ni droits ni libertés. Hubbard signifia très vivement qu'il leur refusait la moindre capacité à émettre une opinion valable.
Les attaquants sont simplement une agence de propagande anti-scientologue. Ils ont prouvé qu'ils refusaient les faits et mentaient, quelles que soient leurs découvertes. Aussi, bannissez toute idée qu'ils pouvaient avoir de bonnes intentions, et attaquez-les dès leur première respiration. N'attendez jamais. Ne parlez jamais de nous, seulement d'eux. Utilmisez leur sang, sexe, crimes pour faire la une des journaux. ne parlez pas de nous.
Je parle ici de quinze anénes d'expérience en la matière. Il n' y a jamais eu d'attaquants qui ne nageait pas dans le crime. Il suffit de chercher et de rouver le meurtre.
[Hubbard, "Attacks on Scientology", HCO Policy Letter of 15 Feb 1966]
Les scientologues croient vraiment ça, et expédient des enquèteurs sur la piste des critiques, journalistes etc. Pour eux, les "critiques sont des criminels" n'est pas seulement un image, c'est leur réalité..
Ne prenez pas ça pour une simple opinion, mais pour un fait technique. A chaque fois que nous avons investigué le passé d'un critique de la scientologie, on a trouvé des crimes pour lesquels la personne pouvait être emprisonnée selon les lois existantes. On ne trouve aucun critique de la scientologie qui n'ait un passé criminel. Nous le prouvons à chaque fois..
Le politicien A exige la condamnation de la scientologie au Parlement. On cherche, et on trouve des crimes, des fonds détournés, des immoralités, des choses sordides..
La femme B hurle sur son mari qui vient au cours scientologue. On cherche, et on découvre qu'elle a un gosse dont il ne savait rien..
Deux choses opèrent ici: les criminels haïssent d'instinct tout ce qui aide. Et tout aussi instinctivement, ils se battent contre tout ce qui pourrait exposer leur passé.
Nous enseignons lentement et soigneusement cette vilaine leçon. Voilà: "Nous ne sommes pas une agence destinée à faire respecter les lois. MAIS nous nous intéresserons aux crimes des gens qui essaient de nous arrèter. Si vous vous opposez à la scientologie, nous chercherons et nous exposerons vos crimes." Si vous nous laissez tranquilles, nous vous ficherons la paix.".
[Hubbard, "Critics of Scientology", HCO Bulletin of 5th November 1967]
Ndt: On peut ici remarquer qu'Hubbard prétend ne pas s'intéresser à dévoiler, comme tout bon citoyen est pourtant censé le faire, les crimes qu'il aurait découverts. C'est donc une fois encore un indice de l'irrespect que la secte porte envers les lois de spays où elle opère.
Rappelons qu'il s'agit d'une doctrine enseignée aux clients de Narconon, lors du programme. Cela informe aussi les gens quant à leurs devoirs envers les critiques de Narconon, comme pour la scientologie. Et Narconon, comme la secte, n'a pas hésité à attaquer, souvent en corrélation avec des éléments scientologues proprement dits, dès qu'il constatait que ses intérêts pourraient être menacés.
Narconon a adopté la ligne anti-critiques "ils sont criminels"... prétendant que les critiques seraient motivés par un désir que les gens continuent à se droguer. Accuser les critiques d'intentions sordides fait partie de leur habitude. De temps à autre, la scientologie accuse les critiques de Narconon, contrairement à leur soi-disant séparation. Les centres de profit de la secte distribuent une série de livrets du genre "La vérité sur le Joint" qui sont des pubs évidentes pour ses associations filles Narconon and c°, Non à la Drogue, Oui à la vie.
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Quand en 1988 les autorités espagnoles, suite à diverses plaintes, accusèrent Narconon de divers méfaits la scientologie attaqua immédiatement Interpol et l'état espagnol, les accusant de profiter du commerce de la drogue, en particulier lors d'un entretien du porte-parole scientologue Richard Haworth au St Petersburg Time. La scientologie fit de même en Angleterre à East grinstead, attaquant Jon Atack, auteur d'un livre très documenté sur la secte, ajoutant:
"On devrait demander à M. Atack quels intérèts il défend lorsqu'il cherche à laisser perdurer l'usage des drogues dans la société." [Jonathan Caven-Atack vs Church of Scientology Religious Education College Inc. et al, case no. HH 402401 -
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Il est arrivé que la réaction de Narconon aille encore bien au delà de ce genre de réactions. Narconon engagea par exemple un détective privé, Woody Bastemeyer, après que les critiques sur Narconon Oklahoma aient eu lieu, afin de découvrir "qui s'opposait à des programmes effices pour réhabiliter les drogués". [Source: "Scientology Group Hires Investigator, Buys Ad" - Newkirk Herald Journal, 31 August 1989]
Cette tactique d'espionnage est une des procédures standard de l'a secte scientologue, qui l'appelle "Investigation bruyante". Dans le manuel de justice confidentiel publié en 1959 par Hubbard, on lira:
"On devrait plus souvent utiliser les investigations contre quelqu'un ou quelque chose qui nous attaque, en se servant d'une agence de détectives. C'est très efficace. Plus d'une fois, l'enquète par détective privé a permis à elle seule de stopper une source d'enthéta ou une organisation squirrel [squirrel désigne en scientologie les gens qui passent d'un sytéme à un autre, ou qui pratiquent une scientologie déformée, ndt] A l'instant où j'écris, je ne me souviens pas d'une seule fois où ça n'ait pas marché!
La raison en est fort simple. Sur 21 personnes qu'on a vues en train d'attaquer la scientologie ou la dianétique avec des rumeurs et de l'enthéta, on a constaté après enquète que dix-huit d'entre elles étaient criminelles ou membres du Parti Communiste, généralement les deux. La seule odeur de la police ou des détectives privés a provoqué leur fuite, ou leur confession, ou ils ont fermé boutique.
Engagez-en et tant pis pour le prix, s'il le faut."
[Hubbard, Manuel de Justice de HCO, 1959]
Après l'affaire de l'enquète de l'état d'Oklahoma, Narconon a entrepris ses habituelles tactiques scientologues. En juillet 1990, le Conseil de l'état indiquait très justement que Narconon opérait sans autorisation; il exigeait des tribunaux une injonction destinée à fermer le centre de profit Narconon jusqu'à ce qu'il obtienne l'autorisation. En réaction, Narconon s'attaquait au Ministère de la santé oklahomien, qu'il accusa de "bigotisme racial et religieux", "coupable de conspiration"... Lorsque la commission envoya un psychiatre pour évaluer les méthodes de Narconon, il ne put travailler sans obtenir d'abord une couverture légale, au cas ù on le poursuivrait en justice. Au même moment, le CCHR - autre façade de la secte qui fait campagne contre la psychiatrie commençait une campagne contre le ministère de la santé, qu'il accusait de cacher la mort de patients psychiatriques. L'une des cibles visées était la clinique psychiatrique de Tulsa, dont bien entendu, l'un des membres était le psychiatre Dwight Holden... Après que Narconon ait quand-même obtenu son accréditation par une voie officieuse, les poursuites et critiques stoppèrent.
Il est donc tout à fait justifié de dire que Narconon s'attaque très durement à toute critique... ce qui ne peut bien entendu que lui nuire en fin de compte. La scientologie utilise ces méthodes depuis un demi-siècle et n'a en aucun cas réussi à améliorer son image auprès du public et des madia. L'image de la secte est tellement catastrophique qu'elle ne peut qu'ajouter de jour en jour de nouvelles attaques et en recevoir. Si elle réussit de temps à autre à "abattre un critique", à le faire au moins taire ou à le ruiner, elle se retrouve le lendemain avec de nouveaux fronts pour prendre le relai du disparu, et la preuve en est le nombre dans le nombre des sites critiques qui sont nés au cours des années Internet.
Pourquoi attaquer Narconon, alors que ce programme marche ?
La Scientologie a l'espoir que la drogue puisse être un jour totalement éradiquée, et il est vrai que les centres Narconon aident les personnes à sortir définitivement de la dépendance avec une dignité et une éthique de comportement retrouvées. La méthode utilisée n'a recours à aucun produit chimique de substitution, et se trouve donc bien moins chère que tout "accompagnement" officiel des drogués. Les résultats des centres Narconon sont quatre fois meilleurs que la moyenne internationale. Au moment où certains voudraient ouvrir des salles de shoot en France, ce savoir-faire peut gêner. Car qu'y a-t-il derrière une salle de shoot, sinon une perpétuation du commerce de la drogue, aux frais du contribuable cette fois-ci, et l'acceptation que le drogué puisse rester drogué, même si le souhait affiché est de l'aider à "en" sortir. L'ambiance sinistre, cadavérique qui règne autour des centres de shoot à Genève, la tristesse infinie des drogués qui en sortent, laissent à penser que s'il existe une meilleure solution, alors n'hésitons pas. Les centres Narconon sont une solution qui rend la joie de vivre. Elle a aidé les pompiers intoxiqués par les émanations chimiques inhalées alors qu'ils s'activaient dans les décombres du World Trade Center, elle aide les adultes accro aux somnifères ou aux antidépresseurs. Ses campagnes de prévention sont appréciées et soutenues par les autorités de nombreux pays. "La Scientologie aide tout le monde, pas seulement ses membres. Elle aide l'humanité à ne pas prendre de drogues" explique un juge de la Cour d'appel du Mexique, tandis que le Chef de police de Los Angeles affirme à propos de la Scientologie : "Cela fait de nombreuses années que je m'efforce de faire respecter la loi et il ne fait aucun doute qu'il n'existe pas de meilleure documentation sur les dangers de la drogue que la vôtre. Nous l'utilisons tout le temps."
Pourquoi venir sur ce site, nous sommes que des drogués!
La scientologie est une arnaque.
Que tu crois toutes leur sornettes, c'est ton affaire.
Par contre, je peux t'assurer que la drogue est là pour rester!
Depuis le début des temps, les animaux dont les humains ont consommé des substances pour altérer leur corps.
Par contre, auparavant chez les humains il y avait une relation sacrée entre la substance et l'utilisateur comparativement à aujourd'hui où nous ne sommes que des consommateurs lâchés lousses dans le magasin de bonbons.
Avec une société où la sur-consommation est la norme, il ne faut pas se surprendre qu'il y ait sur-consommation de drogues.
Je ne crois pas au système NARCONON. Il y a plusieurs histoires qui confirment ce que Zappiste a mis sur notre forum contrairement à la propagande que vous nous transmettez chère Pascale.
Et en effet, il y a une meilleure solution... il faut mettre fin à la prohibition des drogues et dénoncer les églises malveillantes...
http://www.anti-scientologie.ch/canada.htm
P.S. Comment une église qui comporte moins de 2000 membres au Québec peut-elle s'acheter un building de plusieurs millions (http://www.ccmm.asso.fr/spip.php?article1637 et http://bit.ly/bvD1yW)?
Quelle dévotion !
Utiliser "drogués" et "centre de shoot" démontre bien votre compassion.
Est-ce que Narconon utilises ces termes ?
S.V.P pourriez-vous donner des liens indépendants qui confirment:
1- "sortir définitivement de la dépendance"
2- "quatre fois meilleurs que la moyenne internationale"
3- c'est combien la moyenne INTERNATIONALE ?
4- est-ce que cette "moyenne internationale" inclus les pays avec la peine de mort ?
UN un juge de la Cour d'appel du Mexique,
et UN chef de police, qui s'efforce de faire respecter une loi injuste, ne sont pas des experts en santé publique.
"Il n’y a sans doute pas de bonne méthode pour décrocher"
Je m’inscris en faux contre cette assertion gratuite et dommageable reprise dans l’article : « Il n’y a sans doute pas de bonne méthode pour décrocher. »
La drogue apporte à l’organisme une « aide » certaine : anesthésier un stress, de calmer ou au contraire dynamiser, permettre de transgresser des limites infranchissables…
Vouloir supprimer une substance qui apporte un tel soulagement c’est reporter alors la dépendance sur un autre objet : on explique ainsi que beaucoup de personnes qui arrêtent de se droguer reportent leur dépendance sur autre chose (tabagisme, malbouffe…) ce qui leur procure alors un effet similaire.
En pareil cas, cela peut effectivement être tout aussi dangereux pour la santé.
Toute assuétude s’est installée à cause d’un code psychologique et ce sont des situations conflictuelles non résolues qui l’ont installée. La mise au jour de ce code est la première étape qui permet à tout dépendant de pouvoir vraiment se libérer de son assuétude.
On court tout droit à l''échec en recourant seulement au sevrage, à des approches comme l'hypnose ou à d'autres techniques comportementales si on se prive d'en analyser les vraies causes, qui sont toujours psychobiologiques, qui expriment aussi les conflits liés à notre incarnation et qui sont en lien également avec l'histoire de la famille.
"Une grande partie des thérapeutes offrent des thérapies comportementales pour combattre les symptômes des patients sans chercher leurs significations et leurs causes, parce qu’ils sont persuadés qu’elles sont introuvables.
Pourtant, dans la plupart des cas elles le sont mais elles sont toujours cachées dans l’enfance, et rares sont les personnes qui veulent la confronter. " Alice Miller, psychothérapeute.
En savoir plus sur les dépendances :
http://www.retrouversonnord.be/dependances.htm
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