Les ventes de cannabis totalisent 43M$, deux semaines après la légalisation
Les ventes de cannabis totalisent 43M$, deux semaines après la légalisation
Publié le 21/12/2018 à 16:49
Par La Presse Canadienne
Les ventes dans les magasins de cannabis dans les deux semaines qui ont suivi la légalisation de la marijuana récréative ont totalisé 43 millions $, a indiqué vendredi Statistique Canada.
L’agence a commencé à collecter des données sur les ventes en magasin et en ligne des détaillants de cannabis à partir du 17 octobre, soit lorsque des bourgeons frais ou séchés, les huiles, les plantes et les graines sont devenus légaux pour une utilisation récréative dans le pays.
Les premières données publiées vendredi, dans le cadre des chiffres mensuels de l’agence sur le commerce de détail, ne couvraient que deux semaines, mais ils tiendront compte d’un mois de référence complet à l’avenir.
Selon Statistique Canada, la disponibilité du cannabis a été touchée par les différences de structures de vente au détail dans chaque province et territoire.
Ainsi, les chiffres du commerce de détail vont varier à mesure que de nouveaux magasins continuent d’ouvrir en ligne et que le marché continue d’évoluer, a ajouté l’agence fédérale.
La pénurie d’approvisionnements en cannabis à usage récréatif est un problème persistant depuis la légalisation. Le premier ministre Justin Trudeau a récemment qualifié cette situation de défi majeur. Il a toutefois noté qu’il s’attendait à ce que le problème disparaisse d’ici un an.
La vente de produits comestibles à base de marijuana n’est pas encore légale, mais Santé Canada a publié jeudi une proposition de règles pour l’encadrer. Ces produits devraient être autorisés d’ici le 17 octobre 2019.
Ottawa, qui recueillera les commentaires du public sur ces propositions de règles jusqu’au 20 février, limiterait la vente de boissons alcoolisées infusées au cannabis et interdirait l’emballage ou l’étiquetage de produits à base de bière ou de vin avec du cannabis.
Les produits comestibles ne seraient pas autorisés à contenir plus de 10 milligrammes de THC, tandis que les extraits et les topiques ne pourraient pas dépasser 1000 milligrammes de THC.
Des restrictions seraient imposées sur les ingrédients susceptibles de rendre le cannabis comestible plus attrayant aux yeux des enfants, avec des édulcorants ou des colorants par exemple. Tous les emballages devraient être conçus pour empêcher les enfants de les ouvrir. Ils devraient porter le symbole standard du cannabis avec un « message d’alerte sanitaire ».
«...des bourgeons frais ou séchés...»???
«des bourgeons frais ou séchés»???
Manque de culture ?
Mauvais traducteur ?
Syndrome amotivationnel ?
Si ils avaient eu accès à internet
ils auraient trouvé tout ce qui concerne
la botanique des cannabis.
Un bourgeon frais ce n’est que le début...
Ça ne se fume pas !
Rien à voir avec les têtes en fleurs à maturité.
En botanique, un bourgeon est un ensemble de très jeunes pièces foliaires
regroupées sur un axe extrêmement court.
Il correspond généralement à une excroissance apparaissant sur certaines parties des végétaux
et donnant naissance aux branches, aux feuilles, aux fleurs
(le bourgeon est alors nommé bouton) et aux fruits.
Je ne sais pas où ils se vend des fleurs de cannabis mature fraiches.
Qui achèterais des fleurs fraiches et à quel prix,
sachant qu’il faudra la faire sécher,
ce qui entrainera une perte du poids.
43M$, deux semaines après la légalisation pour le Canada ?
Le marché organisé, au noir, du cannabis pour le Québec, c’est 43M par jour !
Grâce au cafouillage de la pseudo légalisation et des interdictions
de provinces comme le Québec, avec la LQDC et son monopole,
la Criminalisation d'Adultes Québécois de moins de 21 ans,
l'interdiction de la production maison ,
et le manque d’endroits de consommation équitable.
Pour la CAQ l'alcool le tabac et le crucifix
font parti du patrimoine de l'acceptation culturelle.
Alors ils ne faut pas y toucher...
Pages
Ajouter un commentaire