Cannabis médical au Royaume-Uni - ignorance policière et besoin de formation

Un policier britannique sur cinq ne sait pas que le cannabis médical est légal au Royaume-Uni

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MAI-23
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Cannabis médical au Royaume-Uni - ignorance policière et besoin de formation
Un policier britannique sur cinq ne sait pas que le cannabis médical est légal au Royaume-Uni

L’utilisation de cannabis médical est légale au Royaume-Uni depuis novembre 2018, mais une enquête récente révèle qu’une proportion significative des forces de l’ordre britanniques n’en est toujours pas consciente. Plus d’un policier britannique sur cinq croit encore que le cannabis médical est illégal, soulignant un déficit de formation et de sensibilisation parmi les agents. Cet article examine les résultats de cette enquête, les réactions des policiers face aux patients utilisant du cannabis médical, et les implications de ces lacunes pour la police et les patients.

Résultats de l’Enquête
Connaissances des Policiers sur le Cannabis Médical
Les chercheurs ont mené une étude transversale entre le 24 octobre et le 1er novembre 2022, impliquant un échantillon national représentatif de 200 policiers britanniques. Les résultats montrent que 21 % des policiers pensent que le cannabis médical est toujours illégal, tandis que 7,5 % ne sont pas sûrs de son statut légal. Bien que 71,5 % des participants soient au courant de la légalité du cannabis sur ordonnance, ces chiffres indiquent un besoin urgent d’amélioration de la formation.

Formation Inadéquate
Près d’un quart des policiers interrogés (23,5 %) ont admis n’avoir jamais reçu de formation officielle sur le cannabis médical. De plus, 42,5 % des participants ont estimé que la formation reçue était « inadéquate ». Une majorité écrasante (88,5 %) a exprimé le désir de bénéficier d’une formation plus poussée sur les produits à base de cannabis à usage médical (CBPM), y compris sur la manière d’identifier les patients légalement prescrits.

Réactions des Policiers face aux Patients Utilisant du Cannabis Médical
L’enquête a également exploré les réponses des policiers lorsqu’ils rencontrent des patients affirmant avoir une prescription de cannabis médical. Quarante pour cent des policiers interrogés ont été confrontés à cette situation. Les réactions incluent la demande de preuves à la personne concernée (42,5 %), la vérification auprès d’un professionnel de la santé (13,8 %), et la consultation d’un collègue (10 %). Cependant, 7,5 % des réponses mentionnaient la détention ou l’arrestation des patients, et 2,5 % prévoyaient la confiscation de leur cannabis.

Expériences Négatives des Patients
Malgré la légalisation du cannabis médical, de nombreux patients continuent de rapporter des expériences négatives avec les forces de l’ordre. En novembre 2023, le Guardian a documenté 24 cas individuels où des patients ont subi des arrestations ou des confiscations injustifiées de leurs médicaments prescrits. Cette situation a conduit Release, un centre national d’expertise sur les drogues, à lancer une campagne pour protéger les droits des patients utilisant du cannabis médical.

Stephen Cutter, responsable des services juridiques de Release, a déclaré : « Même si cela fait plus de cinq ans que la loi a été modifiée pour permettre la prescription de cannabis, nous savons que de nombreux patients continuent de se heurter à la confusion des forces de l’ordre. Cela a conduit à l’arrestation de patients, à la confiscation de leurs médicaments ou à la remise en cause de la validité de leur prescription. »

Besoin Impératif d’Améliorer l’Éducation
Cette enquête est la première à évaluer les connaissances des policiers britanniques sur le cannabis médical. Les auteurs de l’étude soulignent que « les résultats montrent qu’une proportion significative (28,5 %) des policiers interrogés ne connaissaient pas le statut légal du cannabis au Royaume-Uni quatre ans après la mise en œuvre du changement de calendrier ». Ils ajoutent que « les deux tiers des policiers n’avaient pas reçu de formation sur la légalité des CBPM ou l’avaient jugée inadéquate ».

Le manque de sensibilisation des policiers est préoccupant car il peut conduire à des interactions négatives avec les patients légitimes. Comme le nombre de patients utilisant des CBPM continue d’augmenter, il est crucial que les officiers de police reçoivent une meilleure formation, que ce soit au niveau local ou national.

Conclusion
L’enquête met en lumière un problème important : la méconnaissance par une partie significative des policiers britanniques de la légalité du cannabis médical. Cela souligne la nécessité d’améliorer la formation et la sensibilisation au sein des forces de l’ordre. Une meilleure éducation des policiers est essentielle pour garantir que les patients utilisant du cannabis médical ne soient pas injustement pénalisés et pour assurer une application juste et cohérente de la loi.

Commentaires

L'homme est responsable de son ignorance

« Le principal fléau de l'humanité n'est pas l'ignorance, mais le refus de savoir. »

Si l'on était responsable que des choses dont on a conscience,
les imbéciles seraient d'avance absous de toute faute.
[...] l'homme est tenu de savoir.
L'homme est responsable de son ignorance.
L'ignorance est une faute.
Milan Kundera

Les/des médecins du Royaume-Uni sont aussi ignorants que les Bobbys !

Les Responsables doivent rendre compte de leur politique, et doivent réparer les dommages qu'il ont causés !

Pire encore !
Ils n'acceptent comme faits scientifiques que les recherches faites par eux sur leur territoire !

Ils refusent toutes les recherches même sur des humains d'autres pays.
Exemple : 23 ans de légalisation du thérapeutique en Californie au Colorado et au Canada.

Et plus de 6 ans de légalisation du récréatif dont la
Légalisation Harmonisation Canadienne au niveau Fédéral, prouvé efficace .
À ce jour, bien qu'imparfaite, est reconnue comme la meilleure au monde
qui a demandé et reçu l'assentiment royal du Royaume-Uni !

Meilleur au monde en excluant le Québec caquiste
Anti : Justice Égale Pour Tout Le peuple Du Québec et Droits Humains !
La seule province qui a choisi la mise en contact et sa complicité
avec les organisation criminelles en augment l'âge de consommation du cannabis à 21 ans.
Privant les adulte légaux de 18-21 ans canadiens du Québec du cannabis légal du monopole.
Aux produits supposément non contaminés et réglementés,
tout en étant renseignés sur leur puissance.
La seule des 10 provinces et 3 territoires qui a refusé la Légalisation Harmonisation
et la culture personnelle de 4 plantes.

4 plantes par foyer au Canada fait parti de l'imperfection l'injustice !

Québec d'alcoalisés : Zéro Plante
Alors que pour les produits cancérigènes mortels légaux au Québec ils ont droit :

Tabac : 15 Kilos, 15,000 grammes par adulte de 18 ans par foyer.

Alcool : aucune limite sur le nombre à produire et posséder par adulte par foyer, achat à 18 ans.
Pour l'âge légal de consommation c'est 6-12 ans et moins pour les enfants
dont le cerveau ne sera complété qu'à 23-25 ans !

https://blocpot.qc.ca/fr/forum/4475
Ce seraient les parents qui, en faisant goûter de l’alcool à leur enfant, en banaliseraient la consommation,
ce que le chercheur qualifie avec regret d’ “attitudes de laisser-faire”.

Il se pourrait que le Québec caquiste demande la formation d'une nouvelle escouade spéciale à la SQ
pour chercher les amateurs de cannabis qui pourraient avoir plus de 150 g par foyer ?

Rappelons que :
Vladimir Vladimirovich Putin en Russie, Legault et Jolin-Barrette caquistes ségrégationnistes du Québec,
les associations de médecins/psychiatres achetables du Québec et Deltell conservateur canadien,
« ont condamné » le Canada pour avoir légalisé le cannabis à l’échelle nationale !

https://youtu.be/RtF_SlSJbXQ
https://youtu.be/JcpEXywIQQM
https://youtu.be/hzoN_bpL3FA
https://youtu.be/0DpbRzlRXdg

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