SAISIES EUROPE

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CÔTES-D'ARMOR
19-11-2009
Trafic de cannabis. Prison ferme au Rostrenois

Le trafic de cannabis a été dénoncé par la concubine d'un des fournisseurs, demeurant à Rostrenen au moment des faits. Mère de trois enfants, celle-ci aurait pris peur en voyant arriver à son domicile 3 kg de résine de cannabis, destiné à un gérant de bar, à Saint-Nicodème. Ce dernier, âgé de 45ans, consommait lui-même et fournissait régulièrement amis et clients.

De Nantes à Saint-Nicodème

Les faits, jugés hier par le tribunal correctionnel de Guingamp, remontent à l'année 2005, et portent sur un trafic de 8 à 10kg de résine de cannabis. Le fournisseur s'approvisionnait lui-même à Nantes. Seuls étaient présents à l'audience «le Nantais» et l'ancien gérant de bar, aujourd'hui reconverti dans la culture de champignons. «À45ans, soit on a compris que c'est interdit par la loi, soit on n'a pas compris», lance la substitut du procureur à l'adresse des prévenus. Elle requiert trois ans de prison ferme à l'encontre de Marcel Le Denmat, dont le casier judiciaire est chargé, et «de deux à trois ans de prison en partie assortis du sursis», à l'encontre du Nantais et de l'ancien gérant de bar, trouvant sa nouvelle profession «mal appropriée» mais «pas dans la mesure de l'empêcher». Ne pouvant plus exercer dans un débit de boissons, «il a déjà été lourdement pénalisé durant tout le temps qu'a duré l'instruction», a plaidé son avocat. Marcel Le Denmat, 46 ans, a été condamné à deux ans de prison ferme et à payer 10.000€ d'amende. Les deux autres prévenus ont écopé chacun de dix-huit mois de prison avec sursis et 1.000 € d'amende

http://www.lavoixdunord.fr/Locales/Arras/actualite/Secteur_Arras/2009/11...

Trafic de cannabis : vingt-quatre Arrageois arrêtés, des dizaines de kilos écoulées
mercredi 18.11.2009, 05:01 - La Voix du Nord

DROGUES
Ils étaient encore vingt-trois, hier, en garde à vue, à répondre aux questions des enquêteurs. ...

Vingt-trois jeunes âgés de 18 à 30 ans, suspectés d'avoir participé à un vaste trafic de cannabis à Arras et dans sa communauté urbaine. Comme nous le relations hier, les forces de l'ordre ont procédé à une vaste série d'interpellations, lundi matin. Principalement dans les quartiers dits ouest d'Arras, notamment tours Verlaine et Voltaire, mais aussi à Beaurains ou Achicourt. Au total, vingt et un logements de clients et fournisseurs, perquisitionnés simultanément dès 6 heures, heure légale.

Les enquêteurs, appuyés par cinq équipes de maîtres-chiens stupéfiants, ont agi en coopération avec le groupement d'intervention de la police nationale (GIPN), certains des suspects pouvant se révéler dangereux.

Plus intéressant encore, la présence du groupement régional d'intervention (GIR) de la police judiciaire lilloise (SRPJ), qui a largement contribué à arrêter les vingt-quatre individus, dont l'un a déjà été laissé libre.

Des dizaines de policiers
Lors de cette opération, plus d'une cinquantaine de policiers ont été mobilisés. L'intervention du GIR a permis de faire intervenir l'URSSAF, les impôts, les douanes... Autant de compétences pour taper là où ça fait mal : le porte-monnaie. Parmi les vingt-trois jeunes encore en garde à vue hier figure la tête présumée du réseau de revente de résine et d'herbe de cannabis. Une nébuleuse qui oeuvrait depuis le mois d'avril, au moins, date du début de l'enquête.

Des revendeurs alliés à la tête de réseau ont aussi été arrêtés dans ce dossier, qui porterait sur des dizaines de kilos de cannabis écoulées. Certains, bien connus du tribunal d'Arras pour trafic de stupéfiants, entreposaient la marchandise chez eux. On les appelle les « nourrices ». Les perquisitions de lundi ne seraient guère « significatives ». En revanche, les chiens stupéfiants ont « marqué » plusieurs fois dans les logements, prouvant que du cannabis avait été entreposé.

Les interrogatoires doivent se poursuivre jusqu'à demain, avant les présentations au parquet. Des incarcérations pourraient être demandées. •

SAMUEL COGEZ

http://tempsreel.nouvelobs.com/depeches/societe/20091118.FAP3801/tours_l...

Près de 300 kilos de résine de cannabis ont été saisis dans la nuit de mardi à mercredi par le Groupe d'intervention de la gendarmerie nationale (GIGN) qui a intercepté un "go fast" au niveau du péage de Tours sur l'A10, a-t-on appris de source proche de l'enquête. Les deux conducteurs ont été placés en garde à vue.
Saisis dans le cadre d'une enquête de la section de recherches d'Angers, les hommes du GIGN ont intercepté deux véhicules qui se suivaient en provenance de Marseille et qui devaient approvisionner la région nantaise. L'opération a eu lieu vers 0h45 et n'a pas fait de blessés, ajoute-t-on de même source. Deux cent quatre-vingt-dix-sept kilos ont été saisis dans le véhicule "suiveur", une berline de forte cylindrée.

Une quarantaine de gendarmes avaient été mobilisés pour cette opération. AP

http://www.gendarmerie.interieur.gouv.fr/fre/sites/Gendarmerie/Actus/200...

Go-Fast, intervention du GIGN
Mercredi 18 Novembre 2009

Les gendarmes du Groupe d'intervention de la gendarmerie nationale (GIGN) sont intervenus dans la nuit du 17 au 18 novembre pour intercepter deux véhicules « go-fast ». Près de 300 kilogrammes de cannabis ont été saisis et deux hommes interpellés.

Le 18 novembre à 00h45 sur l'autoroute A.85 au péage de VEIGNÉ (Indre-et-Loire), le GIGN procède à l'interception de deux véhicules de fortes puissances et à l'interpellation de deux individus. Les gendarmes agissent en soutien à la cellule d'enquête mise en place par la gendarmerie dans le cadre d'une commission rogatoire relative à un trafic et une importation de stupéfiants.

Le convoi est parti le 17 novembre de SAINT-ÉTIENNE (Loire) à destination de NANTES (Loire-Atlantique), lieu supposé du chargement de la résine de cannabis. Les voitures sont interceptées lors du trajet retour. Les perquisitions effectuées dans les véhicules permettent de découvrir 297 kilogrammes de résine de cannabis. Un véhicule du GIGN, utilisé pour procéder à l'immobilisation, ainsi que l'un des deux véhicules utilisés pour ce go-fast sont accidentés. Aucun blessé n'est à déplorer.

La cellule d'enquête est constituée de gendarmes de la section de recherches d'Angers, du groupe d'intervention régional de Nantes et des groupements de gendarmerie départementale de Loire-Atlantique et du Maine-et-Loire.

En quelques jours, cette unité d'élite de la gendarmerie a montré, lors de plusieurs récentes interventions, un large panel de savoir-faire.

Le 9 novembre, à CHEVAL-BLANC (Vaucluse), grâce à un tir de précision à grande distance d'un homme du GIGN, le forcené retranché à son domicile est neutralisé et maîtrisé alors qu'il tire sur les forces de l'ordre.

Le 17 novembre, à CLAIRVAUX (Aube), les négociateurs du GIGN parviennent, lors de la prise d'otage d'un gardien dans la prison, à la libération de la victime et à la reddition de l'auteur.

Enfin, au cours de cette opération du 18 novembre , le GIGN parvient, lors d'une intervention très délicate se déroulant de nuit et sur des routes peu fréquentées, à intercepter deux véhicules go-fast.

Sources : Sirpa Gendarmerie

Credits photo : Sirpa Gendarmerie

Contact : Sirpa Gendarmerie

http://www.leprogres.fr/fr/region/le-rhone/rhone/article/2206172,184/Can...

Cannabis : sixième condamnation pour un trafiquant de 20 ans
le 19.11.2009 04h00

« Avant j'ai fait des conneries ; mais c'est fini ! »

A 20 ans seulement, Bessem El Kamel affiche un passé judiciaire lourd de cinq condamnations pour infraction à la législation sur les stupéfiants ; ce qui témoigne en effet d'une vraie précocité. Mais quand, comparaissant une nouvelle fois devant le tribunal, il évoque une « retraite » tout aussi précoce, il a un peu de mal à convaincre. D'autant que ce gaillard râblé, au regard noir et au poil assorti, paraissant plus que son âge, a un ton plutôt agressif pour nier toute participation au trafic de cannabis qui lui vaut de se retrouver dans le box.

Interpellé fin octobre, El Kamel avait échappé quelques jours plus tôt aux policiers qui surveillaient depuis quelque temps déjà le manège auquel il se livrait dans le quartier de la place Gabriel-Péri à Lyon : la revente au détail de résine de cannabis. Produit dont les enquêteurs avaient la conviction qu'il était entreposé en grosse quantité dans un appartement de la rue Moncey où El Kamel ne cessait d'entrer et sortir à chaque transaction. A une centaine de mètres du commissariat d'arrondissement. Appartement où furent effectivement découverts un peu plus de 5 kg de résine de cannabis et où fut interpellé Riad T., 33 ans, qui vivait là chez ses parents.

De santé fragile, à tous égards, ce dernier aurait cédé aux pressions pour offrir ainsi un entrepôt d'accès facile ; sans prendre pour autant une part active dans le trafic dont la durée n'a pas été établie avec précision. Un mois, un an ? Une différence de taille que n'a pas manqué de pointer Me David Metaxas dans une vigoureuse plaidoirie ; alors que le ministère public venait de requérir la peine plancher, soit 4 ans d'emprisonnement, dont 18 mois avec sursis et mise à l'épreuve, contre son client. Soulignant notamment que la seule infraction caractérisée portait sur la manipulation de quelques barrettes et que la durée du trafic n'était pas avérée au delà d'un mois. Arguments qui ont fait mouche puisque le tribunal a porté la durée du sursis à 30 mois. Avec dix-huit mois ferme seulement, Bessem EL Kamel pouvait s'estimer heureux. Et Me Metaxas satisfait, de voir là « un bon aménagement de la loi sur la récidive ».

http://www.francesoir.fr/faits-divers/2009/11/13/saisie-cannabis.html

Saisie record de cannabis à Avignon

De notre correspondant à Avignon, Romain Capdepon, le vendredi 13 novembre 2009 à 04:00

Quelques paquets scellés, scotchés de larges adhésifs et posés au sol. Plutôt anodins ces paquets. Et pourtant, là s’étale la plus grosse saisie de cannabis jamais réalisée par les enquêteurs de la police judiciaire d’Avignon : 400 kg de résine, pour un montant à la revente avoisinant les 4 millions d’euros !
Le sourire apparaît et ne se détache plus, après huit mois de labeur, du visage des limiers des « stups », à l’heure de faire la photo souvenir. « On a détaché six de nos policiers sur cette enquête diligentée par le juge Voglimacci de la juridiction interrégionale spécialisée de Marseille », explique Ingrid Weber, le commissaire principal de la PJ, qui, accompagnée de son adjoint, s’est, elle aussi, investie dans ce dossier. Car dans les affaires de stups, il faut différencier les « saisies sèches », comme on dit dans le jargon, des saisies agrémentées d’un réel démantèlement de réseau.

Pour le coup, la PJ s’est également offert l’un des principaux dealers vauclusiens, Tarik, un Carpentrassien d’environ 35 ans, qu’ils avaient déjà fait « tomber » en 2002 avec une saisie de 200 kg de résine en Espagne. Les enquêteurs estiment d’ailleurs qu’il est le « boss » du réseau local et l’une des têtes pensantes des trafics de drogue du département. Il aurait même une renommée nationale et des contacts étroits avec des caïds à travers tout le pays.

2 millions de joints
C’est au retour d’un approvisionnement à Paris, le week-end dernier, que Tarik et quelques-uns de ses « lieutenants » ont été cueillis par les enquêteurs. « Grâce à des moyens techniques, on a pu constater qu’ils prenaient la route dimanche, depuis Avignon vers le Nord. On savait qu’ils partaient pour une transaction parce qu’à un moment donné, et instantanément, les téléphones portables des principaux protagonistes du réseau ont été éteints », détaille la patronne de la PJ d’Avignon.

« Comme d’habitude, il y avait une voiture ouvreuse et leur gros 4 x 4 suivait peu après. On a planqué plus de vingt-quatre heures aux péages de Vienne et de Villefranche, près de Lyon », continue-t-elle. Et puis, lundi après-midi, tout bascule en quelques minutes. La voiture ouvreuse est, par un pur hasard, arrêtée par des douaniers. Un coup de fil et le 4 x 4 chargé de came s’échappe de l’autoroute pour s’arrêter sur une petite place derrière l’église d’Ampuis (69). Les interpellations s’ensuivent avec, donc, une saisie record. « Tous les lots de cannabis étaient étalés sur les sièges arrière et sur le plancher du 4 x 4, ils n’étaient même pas dissimulés », s’étonnait l’adjoint du commissaire principal de la PJ. Mardi, à l’aube, trois interpellations supplémentaires ont été réalisées aux domiciles d’autres trafiquants.

Au total, six gardés à vue, âgés de 30 à 40 ans, tous résidents vauclusiens, devraient être déférés aujourd’hui et demain. Et un petit cours de maths et de santé publique en prime : si l’on considère qu’une barrette de 2 g suffit à faire une dizaine de joints, la PJ vient d’empêcher la consommation d’environ 2 millions de joints ! « On devrait, plaisante un enquêteur, être décoré par la ministre de la Santé ! »

http://www.aisnenouvelle.fr/index.php/cms/13/article/383982/Coup_double_...

Coup double pour la BAC

Les faits remontent à vendredi tard dans la soirée, mais du fait de la garde à vue n'ont pu être divulgués avant.

Vendredi, vers 23 heures, les policiers de la brigade anticriminalité (BAC) circulent sur la D977. Là, au niveau du lieu-dit La Raperie, ils se font doubler, sur une ligne continue, par une BMW dont l'éclairage est défectueux.
Les fonctionnaires arrêtent le véhicule, commencent à contrôler le chauffeur et remarquent qu'une forte odeur de cannabis imprègne l'habitacle.
À la demande des policiers, le chauffeur, un homme de 25 ans qui demeure à Vailly-sur-Aisne, leur remet un sachet contenant quelques grammes d'herbe et une barrette de 4 grammes de résine de cannabis. Placé en garde à vue, il est convoqué devant le délégué du procureur le 27 novembre.

Auteur : Florence DELTOUR
Article paru le : 18 novembre 2009

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