Cannabis au Québec Faillites : Groupe Fuga inc. (Stoneham-et-Tewkesbury) : Local à louer !

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Les producteurs de cannabis en arrachent au Québec: on dénombre au moins six faillites depuis 2021 et ce n'est pas terminé

Avis d'intention de faire une proposition
2024: Groupe Fuga inc. (Stoneham-et-Tewkesbury) 3 018 197$

Cannabis au Québec Faillites : Groupe Fuga inc. (Stoneham-et-Tewkesbury) : Local à louer !

Hier en allant faire changer les pneus
j’ai vu la pancarte Local à louer où était le Groupe Fuga inc.
2753, boulevard Talbot. Stoneham-et-Tewkesbury
https://www.fuga.ca/fr/home

Vous m'avez monté un beau grand bateau.
Vous m'avez fait de bien grandes vagues.
Un Beau Grand Bateau - Par Gerry Boulet ‧ 1988

Criminalisation de 200,000 adultes canadiens du Québec
Criminalisation des parents qui consomment avec leurs adultes
Pas d’endroit de consommation
Pas de vente par le privé
Pas de visite ni vente directe
Pas le droit de choisir, de prendre des risques
Interdit aux moins de 21 ans au cas ou nous deviendrions le 51ème État
Pas de culture personnelle
Pas de vente de boutures et graines

Je passe devant en vélo à assistance au pédalage.

Si ils avaient eu le droit de visites et de vente directe aux amateurs
la fidélisation et dégustation/consommation sur place
ils seraient peut-être toujours ouvert ?

Autre avantage ils étaient près d’un Mac Dho 24/7
et de beaux endroits pour consommer,
ramasser des petites fraises sauvages en saison !;O)

Leurs produits :

Mandarin Cookies
Hybride
THC : 25-30 %
CBD : 0-1 %

Crescendo
Hybride à dominance sativa
THC : 21-26 %
CBD : 0-1 %

Tropicanna Cookies
Hybride à dominance sativa
THC : 15-20 %
CBD : 0-0,25 %

Même si des statistiques de sondages affirment que les consommateurs
préfèrent les haute teneur en THC et des souches "Québécoises",
apparemment ça ne suffit pas pour survivre !

HISTORIQUE

» Des citoyens de Stoneham inquiets de l'arrivée d'une usine ...
Le Journal de Québec
https://www.journaldequebec.com
·Feb 5, 2019 — L'usine de 6800 pieds carrés produira près de 600 kilos de cannabis annuellement. La marchandise pourrait ensuite se retrouver sur les tablettes

» Une entreprise de cannabis de Stoneham en pleine ...
TVA Nouvelles
https://www.tvanouvelles.ca
Jul 20, 2021 — En moins d'un an, une jeune entreprise basée à Stoneham a connu une croissance impressionnante. Le Groupe FUGA, microproducteur de cannabis ...

» Lundi, 19 février 2024 00:00
Un pétard mouillé !;O)

https://www.journaldequebec.com/2024/02/19/les-producteurs-de-cannabis-e...

Des dettes pour le Groupe Fuga
Parmi les entreprises en difficulté, le Groupe Fuga croule sous des dettes de 3 M$ et a ainsi déposé un avis d’intention de faire une proposition à ses créanciers en vertu de la Loi sur la faillite et l’insolvabilité.

Les producteurs de cannabis en arrachent au Québec: on dénombre au moins six faillites depuis 2021 et ce n'est pas terminé

Les producteurs de cannabis en arrachent au Québec - Reportage, 17h
Play Video

Logo de la journaliste Diane Tremblay du Journal de Quebec, vendredi le 29 mars 2019. STEVENS LEBLANC/JOURNAL DE QUEBEC/AGENCE QMI)
Diane Tremblay
Lundi, 19 février 2024 00:00

MISE À JOUR Lundi, 19 février 2024 00:00

Les temps sont durs dans l'industrie du cannabis au Québec, alors que Le Journal a pu répertorier une douzaine d'entreprises qui ont fait faillite ou qui sont en sérieuses difficultés financières, dont la dernière en liste, le Groupe Fuga, de Stoneham-et-Tewkesbury, dans la Capitale-Nationale.

Au Québec, on compte six faillites commerciales dans le marché de la production et de la transformation de cannabis depuis 2021, dont quatre uniquement l’an dernier.

Certaines faillites sont retentissantes comme celle de Zenabis à Montréal (114 M$) ou encore Navaya à Boisbriand (35 M$) (voir tableau). C’est sans compter la dizaine d’entreprises qui font l’objet d’une hypothèque légale de construction parce qu’elles n’ont toujours pas payé leurs fournisseurs.

Écoutez la revue de presse commentée par Alexandre Dubé via QUB:

Le problème rencontré par les entreprises actuellement serait lié à un manque de liquidités, selon Pierre Leclerc, président-directeur général de l’Association québécoise de l’industrie du cannabis (AQIC).

«C’est un phénomène qu’on a vu émerger plus tôt l’année dernière dans l’Ouest du pays et en Ontario. On pensait que le Québec serait épargné parce qu’on est arrivés un peu tardivement. Malheureusement, nous ne le sommes pas. Il y a un nombre important d’entreprises qui vivent actuellement des difficultés financières», a-t-il reconnu.

Photo Stevens LeBlanc
Concurrence du marché noir
D’après M. Leclerc, il est extrêmement difficile de vendre des produits à profit en ce moment en raison de la concurrence sur le marché noir et du fardeau fiscal imposé aux producteurs.

«Dès qu’on dit le mot cannabis, on est exclus de toute mesure et de tout programme du gouvernement. Ce qui veut dire que l’argent injecté dans le système provient à 100 pour 100 de capitaux privés.»

Plusieurs sociétés sont publiques, mais au Québec, les entreprises dans le domaine sont en grande majorité privées, dit-il.

«Donc, elles ne sont pas capables de se financer. Elles n’ont pas de marge de crédit. Elles n’ont pas de prêts. Elles n’ont pas d’hypothèques sur les bâtiments. Tout est payé avec de l’équité. Alors, vous voyez le fardeau pour les entreprises lorsqu’elles ne sont pas capables d’avoir de facilités bancaires pour pallier aux fluctuations qu’elles rencontrent», a-t-il expliqué.

Les producteurs reprochent aussi la rigidité du système de distribution de la Société québécoise du cannabis, avec qui ils font affaire.

«La vraie vie, c’est que si, dans six mois, il y a un autre appel à produit et que vous êtes déclassé, vous ne vendez plus rien à personne. Il n’y a pas de contrats d’approvisionnement en continu.»

On dénombre environ 75 producteurs de cannabis en activité dans la province, selon M. Leclerc. L’industrie, qui est naissante, ne perd pas espoir de voir les choses s’améliorer. Le marché de l’exportation s’annonce prometteur et on est confiant que le développement de nouvelles filières finira par donner des résultats concrets.

Des dettes pour le Groupe Fuga
Parmi les entreprises en difficulté, le Groupe Fuga croule sous des dettes de 3 M$ et a ainsi déposé un avis d’intention de faire une proposition à ses créanciers en vertu de la Loi sur la faillite et l’insolvabilité.

Le Journal a pu joindre son président, Philippe Laperrière. Ce dernier a décliné notre demande d’entrevue. Il a toutefois laissé entendre qu’il travaillait à une relance.

«On est concentrés à relancer l’entreprise et à faire une proposition aux créanciers», a-t-il affirmé.

L’avis d’intention de Groupe Fuga a été enregistré le 30 janvier dernier, ce qui laisse à l’entreprise 30 jours pour préparer une proposition, tout en étant à l’abri de ses créanciers. Cette période pourrait être prolongée par le tribunal.

–Avec la collaboration de Philippe Langlois

Des temps difficiles pour les entreprises de cannabis
Depuis 2020, de nombreuses entreprises œuvrant dans le domaine du cannabis ont éprouvé des difficultés financières.

En voici la liste:

Faillites commerciales

2023: 9327-2359 Québec inc. (Montréal-Est) 282 714$

2023: 9477-5632 Québec inc. "ZENABIS ®" (Montréal) 114 671 231$

2023: AMDJ-Canna inc. (Amos) 2 282 630$

2023: Navaya inc. (Boisbriand) 35 906 696$

2021: Bo Star Holdings inc. (Montréal) 899 127$

2021: Laboratoire Artémix inc. (Notre-Dame-des-Prairies) 94 172$

Avis d'intention de faire une proposition

2024: Groupe Fuga inc. (Stoneham-et-Tewkesbury) 3 018 197$

2020: Tidal Health Solutions Ltd (Montréal) 17 753 510$

Loi C-36 sur les arrangements avec les créanciers

2023: Société Gelcan inc. (Pointe-Claire) 26 744 722$

2022: MYM Nutraceuticals inc (Vancouver) et

Trichome JWC Acquisition Corp. & Als. (Toronto) * 70 339 814$

2022: Zenabis Ltd. "ZENABIS ®" & Als. 128 500 000$

Proposition suivant avis d'intention

2023: Corporation Terranueva (L'Assomption) 10 131 920$

* Les deux entités sont liées par le même dossier

Source: iTerram Technologies inc. (Terram.io)

Commentaires

FUGA et l'Université Laval s'unissent

Rappelons que Carmant qui voulait pour faire son Papa Doc, imposer 25 ans au lieu de 21,
et promettait de faire du Québec LE leadeur mondial en recherche sur le cannabis.

C'est un échec lamentable et dangereux comme les promesses électoralistes de caq en 2012 sur la Santé !
Promesses toujours non tenue en 2025 et ça ne fait qu'empirer.

Dupé par Dubé ?
Mar 17, 2025 — Le Collège des médecins du Québec sonne l'alarme :
les problèmes d'accès aux soins sont « de plus en plus grands » dans la province.

Oct 10, 2024 — Ce rapport de l' INESSS indique que 500 000 Québécois malades n'ont pas de médecin de famille

Mar 23, 2024 — Plus de 2,3 millions de Québécois n'ont pas de médecin de famille
et de plus en plus de professionnels partent à la retraite.

Publié le 17 mars —Plus d’un Québécois sur deux s’est privé de consulter un médecin dans la dernière année

But : Le privé pour les privés !? Privé que tous les élus et réélus peuvent se payer.

Pour Carmant, qui s'est fait rembourser jusqu'à l'achat de fraises,
et les associations de médecins/psychiatres du Québec pro-médoc$
cela veut dire être devenir le leadeur mondial en études/sondages
et compilation de sondages d'opinions personnelles peu fiables.

Sondages peu fiables utilisé par les associations de médecins/psychiatres du Québec achetable antiscience
pour imposer avec les caq le 21 ans, leur mise en contact avec les organisations criminelles
aux nombreux produits et de pharmaceutiques addictifs, dangereux, mortels.
Ajoutons le tabac et l'alcool cancérigènes toujours disponible sur le marché illicite bien que légaux.

Legault PROMET !
Des promesses impossible pour ne pas y être tenu comme le Nul !

Legault qui ne veut pas être connu comme le premier ministre du Québec (du Canada)
à avoir imposé une limite d'âge minimum sécuritaire pour la consommation d'alcool
par des enfants de 6-12-17 ans et moins dont le cerveau ne sera complété qu'à 23-25 ans !?

FUGA + Université Laval : l’Innovation au cœur d’une riche collaboration

https://www.fuga.ca/blogue/fuga-et-luniversite-laval

FUGA + Université Laval : l’Innovation au cœur d’une riche collaboration
FUGA et l'Université Laval s'unissent dans le cadre d'un projet de recherche appelé à révolutionner le
développement de nouvelles variétés de cannabis

Fuga est fière de s’associer à Davoud Torkamaneh, chercheur et professeur à l’Université Laval, dans le cadre de la toute première recherche menée dans le monde visant à créer un programme d’amélioration génétique du cannabis.

Le partenariat vise à optimiser le potentiel du cannabis en s’appuyant sur la technologie génomique et l’intelligence artificielle. Ce programme d’amélioration génétique permettra de créer des hybrides en fonction des besoins des producteurs, des utilisateurs de cannabis à des fins médicales et des consommateurs de cannabis récréatif.

Cela permettra aux producteurs de choisir des espèces qui auront toujours les mêmes caractéristiques et qui produiront ainsi des effets identiques d’une récolte à l’autre. Cela permettra de « faire entrer le cannabis dans le 21e siècle », précise Davoud Torkamaneh.

« En ce moment, sur le plan des connaissances de la plante, le cannabis accuse un retard d’au moins 100 ans sur des espèces communes comme le blé, l’orge ou le soya », explique le professeur, qui enseigne au Département de phytologie de la Faculté des sciences de l’agriculture et de l’alimentation de l’Université Laval à Québec, au Canada. Son étude vise à pallier ce manque pour obtenir des variétés stables aux composés et aux effets prévisibles.

‍Fuga, un partenaire idéal
« Fuga est une entreprise visionnaire qui comprend bien les problèmes de l’industrie et, élément très important, qui s’appuie sur la science pour améliorer ses procédés et rester concurrentielle », soutient Davoud Torkamaneh afin d’expliquer les motifs qui ont orienté le choix de son partenaire de recherche.

« Dans chaque projet auquel j’ai participé dans ma carrière, j’ai toujours collaboré avec les institutions d’enseignement, raconte Philippe Laperrière, PDG de Fuga. Il est important pour moi de rester à l’affût des nouveautés et d’être mis au défi par les nouvelles générations qui nous suivent et qui, souvent, posent un regard rafraîchissant et éclairé sur les méthodes en place. Avoir le privilège de travailler avec le professeur Torkamaneh est pour nous une occasion incroyable d’en apprendre plus. L’équipe de Fuga est très enthousiasmée par ce partenariat. »

Davoud Torkamaneh renchérit : « J’ai contacté Philippe et on a eu un très bon échange. Pour ce genre de travail, il faut des gens qui aiment l’innovation et qui ont une vision à long terme. On a besoin de partenaires qui s’engagent pour plusieurs années. »

‍Obiectirs ambitieux et visees revolutionnaires
L’objectif, à court terme, est de concevoir un programme d’amélioration génétique et de sélection génomique. À long terme, il consiste à élaborer de nouvelles variétés avec des profils précis et des caractéristiques intéressantes pour les différents types d’utilisation.

Le milieu médical sera le premier bénéficiaire de ces découvertes, puisqu’il sera alors possible de reproduire à l’identique des variétés dont on aura décrit au préalable les effets sur les patients.

« On compte à la fois un grand nombre de médecins qui travaillent sur le cannabis et un grand nombre d’entreprises qui en produisent. Mais si on ne comprend pas comment la plante fonctionne, on ne peut pas faire avancer la science et exploiter tout le potentiel qu’elle recèle », conclut Davoud Torkamaneh.

Ce processus de sélection génomique appliqué au cannabis est une première mondiale qui promet de transformer cette industrie.

‍À propos de Fuga
‍Groupe Fuga est une société privée par actions établie à Stoneham, dans la région de Québec. Son PDG est Philippe Laperrière. Ses installations de microproduction totalisent 800 mètres carrés. Son équipe y cultive du cannabis médical et récréatif de première qualité, en petits lots, dans des sols vivants, suivant les règles de la culture biologique.
www.fuga.ca

Philippe Laperrière, PDG
phil@fuga.ca
418 456-2936

‍À propos de Davoud Torkamaneh
‍Davoud Torkamaneh détient un baccalauréat en agronomie de l’Université des sciences appliquées et de la technologie, obtenu à Téhéran, ainsi qu’une maîtrise et un doctorat en biologie végétale de l’Université Laval. Il a effectué un stage postdoctoral en biologie computationnelle à l’Université Laval et à l’Université de Guelph, en Ontario. Avant d’être engagé à l’Université Laval en tant que professeur adjoint au Département de phytologie, il était professeur associé en biologie computationnelle à l’Université de Guelph.
Davoud.torkamaneh.1@ulaval.ca

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