Gatineau dit NON au Canna...

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Gatineau dit NON au Canna...

Gatineau dit NON au candidat Cannavino Tony.
Qui se présentait comme candidat à la mairie de la Ville de Gatineau.

Oui Oui Tony Cannavino,
alias: Tony Cannabis No ou Tony Canne à Vino selon...

Celui qui était anti-cannabis et continuait à radoter les mensonges
sur les résultats des Pays-Bas même après la conclusion du rapport
du comité sénatorial sur les drogues illicites, auquel il aurait dû participer.
Et ce même après que l'Association des chefs de police
ait dû admettre qu'il était possible de consommer du cannabis
sans en abuser, sans l'escalade vers d'autres produits intoxicants.
Comme c'est le cas pour la consommation de produits intoxicants licites...
De peur que les jeunes qui ne sont pas débiles
"jettent le bébé avec l'eau du bain", comme disait Mme Beauchesne.
C'est à dire qu'en se rendant compte qu'on leur avait menti pour le cannabis,
les jeunes ne les croiraient plus, qu'ils auraient perdu leur crédibilité,
en ce qui concernait aussi les "drogues dures".

PS: Si j'étais méchant et je le suis à mes heures...
Je dirais que les mêmes qualificatifs qu'il a utilisé
envers Aurèle Desjardins:
"menteur", "une partie de l'anatomie qui est cachée"
et "faussetées répendues" s'appliquent aussi à lui.

http://www.cyberpresse.ca/le-droit/dossiers/elections-a-gatineau-2009/20...

Publié le 22 octobre 2009 à 22h59 | Mis à jour le 22 octobre 2009 à 23h04

Envers Aurèle Desjardins

Le maire sortant désapprouve
les propos injurieux de Tony Cannavino

Marc Bureau déplore les propos injurieux de ses adversaires dans la course à la mairie de Gatineau.

« Je trouve ça malheureux, c'est tout ce que je peux dire », a dit le maire sortant hier matin.

Tony Cannavino a traité son adversaire Aurèle Desjardins de « menteur » et de « trou de cul » mercredi soir.

C'était juste avant un débat électoral mettant aux prises tous les candidats à la mairie, sauf Marc Bureau.

Cannavino endosse ses propos

Ces déclarations, rapportées dans notre édition d'hier, M. Cannavino les a pleinement endossés hier matin sur les ondes de CJRC 104,7 FM. M. Cannavino a expliqué qu'il était furieux en arrivant au débat organisé par un groupe syndical. Au bulletin de nouvelles, il venait d'entendre M. Desjardins déclarer qu'il avait rallié 20 partisans de M. Cannavino.

« Alors je l'ai traité de menteur, a dit M. Cannavino à l'animateur Louis-Philippe Brûlé de CJRC. Effectivement, il est menteur, je pense qu'il faut que les gens le sachent. Et j'ai été poli. Mais vous connaissez mon franc-parler... Je me suis approché de lui, et je lui ai dit à l'oreille que moi je le qualifiais d'une partie de l'anatomie qui est cachée. » « Là où le dos perd son nom ? » a demandé Louis-Philippe Brûlé. « Vous avez bien identifié ça », a rétorqué M. Cannavino.

En entretien avec LeDroit, M. Cannavino s'est défendu d'avoir paniqué. Et il niait formellement avoir menacé son adversaire, comme l'a prétendu M. Desjardins. La vérité, dit-il, c'est qu'il est excédé par des « faussetés » répandues par le clan Desjardins pour ternir sa réputation. « J'ai passé l'éponge à plusieurs reprises [...] J'ai dit ce que je pensais de lui et j'ai été poli, je n'ai pas voulu le dire devant les personnes, je lui ai dit personnellement. Être menteur, ça ne marche pas quand tu aspires à devenir maire. »

M. Desjardins, lui, maintenait avoir été menacé par M. Cannavino. « Il m'a accroché par l'épaule, il m'a parlé dans l'oreille. Il m'a traité de menteur devant tout le monde. Puis il m'a dit dans l'oreille : t'es un trou de cul, je vais m'occuper de ton cas. » Durant le débat de mercredi soir. M. Desjardins a répété les paroles qu'il attribue à M. Cannavino. « Je me sentais menacé, j'ai voulu rendre ça public », dit-il.

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