Comment la santé mentale joue un rôle dans la consommation de cannabis

Plus d'un Canadien sur neuf souffrant d'un problème de santé mentale utilise du cannabis pour aider à le traiter, et il existe un potentiel de croissance important, selon la dernière étude sur les consommateurs de cannabis de Vivintel.

Les nouvelles données Vivintel révèlent les canaux, les formats et les données démographiques d'un cas d'utilisation croissant.

Par Christophe Lombardo il y a 4 jours Marijuana Médicale/ Cannabis Et Accessoires

Plus d'un Canadien sur neuf souffrant d'un problème de santé mentale utilise du cannabis pour aider à le traiter, et il existe un potentiel de croissance important, selon la dernière étude sur les consommateurs de cannabis de Vivintel.

Vivintel s'est associé à la société de recherche sur les consommateurs de cannabis Strainprint pour sonder plus de 5 000 Canadiens, en utilisant les données de session en temps réel de l'application de suivi des utilisateurs médicaux de cette dernière, pour aider à faire la lumière sur les applications de santé mentale pour le cannabis.

Le nombre global de consommateurs de cannabis a augmenté d'environ un million depuis 2019. Et selon les chiffres, alors que le nombre de Canadiens consommant du cannabis pour des raisons de santé et de bien-être a légèrement augmenté de 2019 à 2021 par rapport à l'ensemble des consommateurs de cannabis, l'augmentation est alimentée par des Canadiens utilisant du cannabis pour traiter un problème de santé mentale, suggérant un domaine de croissance future.

C'est en grande partie le résultat de l'augmentation des problèmes de santé mentale signalés au cours de cette période, en particulier chez les moins de 35 ans, une démonstration qui a signalé une augmentation de 40 % de ces problèmes sur une période de deux ans. Dans l'ensemble : 31 % de Canadiens de plus déclarent un problème de santé mentale depuis 2019.

Dans toutes les démonstrations d'utilisateurs de cannabis, il existe un large accord concernant son efficacité perçue pour traiter la santé mentale, avec une majorité écrasante d'accord que le cannabis peut offrir des avantages pour le bien-être ou thérapeutiques, les utilisateurs à long terme (six ans ou plus) ouvrant la voie (96 %) par rapport aux novices (89 %) et à ceux qui utilisent depuis un à cinq ans (86 %).

De plus, le traitement d'un problème de santé mentale est l'un des deux principaux moteurs de ceux qui déclarent qu'ils sont très ou assez susceptibles d'essayer du cannabis dans un avenir proche, juste derrière le traitement de la douleur générale (47 %).

Les trois quarts des répondants qui ont utilisé du cannabis pour traiter des problèmes de santé mentale l'ont obtenu auprès de canaux légaux. Cependant, la plupart d'entre eux le font à partir de canaux de vente au détail plutôt que médicaux, 20% déclarant une autorisation médicale pour la consommation de cannabis.

Les utilisateurs à long terme pour la santé mentale ont tendance à opter de manière disproportionnée pour les bourgeons/fleurs (62%), tandis que les novices avec moins d'un an d'expérience dans le cannabis privilégient les comestibles (24%) et les vapes (23%). Les utilisateurs modérément expérimentés privilégient les comestibles, les bourgeons et les vapes (29%, 27% et 18%)

Les hommes sont des utilisateurs de santé mentale légèrement plus fréquents, selon les données, et le groupe est légèrement plus jeune que l'utilisateur moyen de cannabis. Les jeunes consommateurs se sont également principalement tournés vers le cannabis comme mécanisme d'adaptation, grâce à COVID. Les personnes BIPOC et LGBTQ+ sont également 30 % plus susceptibles que le Canadien moyen de consommer du cannabis pour la santé mentale.

Au niveau régional, selon le rapport, il existe également des différences.

Les utilisateurs de services de santé mentale en Ontario, par exemple, sont de 35 à 49, sont des adoptants récents ou s'identifient comme faisant partie d'une communauté diversifiée. En revanche, les Québécois sont des utilisateurs moins fréquents, avec des revenus inférieurs à la moyenne nationale et un surindice chez les jeunes hommes et les personnes vivant seules. Dans l'Ouest, à l'exception de la Colombie-Britannique, ce sont les femmes de moins de 50 ans à revenu élevé du ménage qui stimulent la demande et celles qui ont des enfants à la maison.

L'Ontario et les Prairies sur-indice en ce qui concerne les utilisateurs potentiels de cannabis pour la santé mentale.

Commentaires

Les 8 autres utilisent quoi pour leur problème de santé mentale?

Plus d’un mais moins que deux !
Les 8 autres utilisent quoi pour leur problème de santé mentale ?

Le Québec champion des médicaments
https://www.journaldequebec.com/2021/04/25/le-quebec-champion-des-medica...
ELISA CLOUTIER Dimanche, 25 avril 2021 00:00
MISE À JOUR Dimanche, 25 avril 2021 16:26
Extrait
De 2017 à 2020, le nombre de prescriptions de comprimés provenant des quatre classes de médicaments utilisés en santé mentale, soit les antidépresseurs, anxiolytiques, antipsychotiques et psychostimulants, est en constante hausse au Québec. Et c’est chez nous que l’on en consomme le plus par habitant. En 2020, ce sont un peu plus d’un milliard de comprimés qui ont été prescrits en santé mentale au Québec.

Prescrit-on trop de médicaments en santé mentale?
https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1152632/surmedication-medicaments-s...
Les organismes de défense des droits des malades trouvent qu'il y a surprescription de médicaments au détriment d'autres formes de traitements.

« Je prenais des neuroleptiques, je prenais des antidépresseurs, je prenais des anxiolytiques, je prenais des somnifères aussi. Donc, j'en avais lourd à sevrer et j'étais au maximum de la dose qu'on peut prendre de tous ces médicaments-là. »

Qui lui a prescrit ces neuroleptiques, ces antidépresseurs, ces anxiolytiques, ces somnifères au maximum de la dose qu'elle pouvait prendre ? Médicament$ inefficaces !

Les associations de médecins/psychiatres cannaphobes qui pre$crivent à pocheté et répétition des médicament$ inefficaces, remboursés, à dose et sevrage parfois mortel, dangereux pour la santé physique et mentale doivent utiliser toutes les thérapies et médicament$ de pharmaceutique$, même inefficaces, avant de prescrire le cannabis efficace bénin, sans dose ni surdose mortelle ! Même pour de jeunes enfants souffrants et mourants !

Serment d'Hippocrate ou d'hypocrites ? (serpents d'hypocrites)
Ils violent leur serment "De tout faire pour soulager la souffrance"
"Sans acharnement pharmaceutique".

« Que les hommes et mes confrères m’accordent leur estime si je suis fidèle à mes promesses ;
que je sois déshonoré(e) et méprisé(e) si j’y manque. »

C'est cool si leur promesse est: de tout essayer avant de prescrire les cannabis et extraits/concentrés efficaces.

« Je donnerai mes soins à l’indigent et à quiconque me les demandera. »
« Je ne me laisserai pas influencer par la soif du gain ou la recherche de la gloire. »

Les associations de médecins/psychiatres du Québec ont recherché la gloire la visibilité en appuyant la CAQ et en criminalisant les adultes de 18-21 ans sans preuve scientifique et de leur sacrifice aux organisations criminelles !

La soif du gain: en appuyant la CAQ pour obtenir plus de fric, et faire plus de compilations de sondages d'opinion !
Les prescription$ à pochetée et répétition de médoc$ sont beaucoup plus payantes que celles pour le cannabis.

80% des médecins/psychiatres du Québec refusent de prescrire du cannabis thérapeutique efficace ?
Effet de pervers:
C'est la SQDC dont ce n'est pas le mandat qui procure sans prescription les mêmes produits des mêmes producteurs
légaux aux malades Québécois abandonnés par les médecins/psychiatres cannaphobes peureux sans compassion.

Combien de médecins/psychiatres ont accepté et acceptent toujours des pots-de-vin direct ou déguisés des pharmaceutiques pour rendre accro et plus rapidement aux produits dangereux pour la santé mentale et physique et qui sont des fléaux mortels mondiaux ?

Je ne suis pas animé par un désir de vengeance mais de Justice égale pour tous ! Zappiste

Justice imposé selon l'âge et la substance consommé qui ne tient pas compte des plus de 51 000 décès prématurés évitables acceptables depuis l'élection de la CAQ et par son ministre d'une justice inégale ciblée pour certains.

Alors qu'un vrai gouvernement démocratique doit représenter tous ses citoyens sans ségrégation, stigmatisation !

Il vaudrait mieux assurément pouvoir se fier sur des données scientifiques probantes plutôt qu'au pif, l'orgueil, le pouvoir, des politiciens, médecins/psychiatres dépendant$ ou l’humeur de l’électorat !

https://www.youtube.com/watch?v=xP094LrNTMw

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