Les taux d'accidents augmentent après la légalisation de la marijuana à des fins récréatives, selon de nouvelles études
Cependant, malgré l'augmentation du nombre d'accidents, les recherches ont été incohérentes quant à savoir si la marijuana elle-même rend les conducteurs plus susceptibles d'avoir un accident. La dernière étude de l'Insurance Institute, par exemple, qui a utilisé des données recueillies auprès de plus de 1 200 conducteurs blessés dans trois salles d'urgence à Denver, Colorado ; Portland, Oregon; et Sacramento, en Californie, n'ont montré aucune augmentation du risque d'accident associé à la drogue, sauf lorsqu'elle est associée à de l'alcool.
21 juin 2021,20 h 11 HAE| 1 564 vues
Tanya Mohn Donateur
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Lorsque les États légalisent l'utilisation et la vente au détail de marijuana à des fins récréatives, les taux de collision augmentent.
Les taux de blessures et d'accidents mortels ont bondi de 6 % et 4 %, respectivement, en Californie, au Colorado, au Nevada, en Oregon et à Washington suite à l'assouplissement des lois sur la marijuana par rapport à d'autres États occidentaux où l'usage récréatif de la marijuana était illégal. Les dossiers d'assurance ont montré une augmentation similaire des réclamations pour collision après que la marijuana est devenue légale.
Telles sont les principales conclusions de deux nouvelles études publiées jeudi par l' Insurance Institute for Highway Safety, https://www.iihs.org/ une organisation à but non lucratif financée par le secteur des assurances.
"Nos dernières recherches montrent clairement que la légalisation de la marijuana à des fins récréatives augmente le taux global d'accidents", a déclaré David Harkey, président de l'Insurance Institute et de son affilié, le Highway Loss Data Institute, dans un communiqué.
La nouvelle recherche, conforme aux études antérieures qui ont examiné comment la légalisation a affecté les taux d'accidents et les réclamations d'assurance, s'ajoute aux preuves croissantes du lien entre la consommation de marijuana légalisée et le risque d'accident accru, selon les deux instituts, qui ont chacun mené une étude distincte.
La tendance est préoccupante, ont déclaré les groupes de sécurité, car plus d'un tiers des États américains ont déjà légalisé la marijuana à des fins récréatives pour les adultes de 21 ans et plus, d'autres États envisagent la légalisation et la consommation est en hausse.
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"C'est évidemment quelque chose que les décideurs politiques et les professionnels de la sécurité devront aborder alors que de plus en plus d'États s'apprêtent à libéraliser leurs lois, même si la manière dont la marijuana affecte le risque d'accident pour les conducteurs individuels reste incertaine", a ajouté Harkey.
Cependant, malgré l'augmentation du nombre d'accidents, les recherches ont été incohérentes quant à savoir si la marijuana elle-même rend les conducteurs plus susceptibles d'avoir un accident. La dernière étude de l'Insurance Institute, par exemple, qui a utilisé des données recueillies auprès de plus de 1 200 conducteurs blessés dans trois salles d'urgence à Denver, Colorado ; Portland, Oregon; et Sacramento, en Californie, n'ont montré aucune augmentation du risque d'accident associé à la drogue, sauf lorsqu'elle est associée à de l'alcool.
Des tests antérieurs effectués dans des simulateurs ont indiqué que les conducteurs qui consomment beaucoup de marijuana réagissent plus lentement, ont plus de difficulté à faire attention, ont plus de difficulté à maintenir la position de leur voiture sur la voie et font plus d'erreurs lorsque quelque chose ne va pas que lorsqu'ils sont sobres, ont déclaré les groupes de sécurité. Mais les tests ont également indiqué que les conducteurs aux facultés affaiblies par la marijuana sont susceptibles de conduire à des vitesses plus lentes, de faire moins de tentatives de dépassement et de garder plus de distance entre leur véhicule et celui qui les précède.
La légalisation pourrait encourager davantage de personnes à boire et à consommer de la marijuana ensemble, une explication possible de l'augmentation des taux d'accidents, selon les chercheurs.
Des études comparant la consommation simultanée d'alcool et de marijuana dans les États où la marijuana est légale avec les États où elle n'est pas nécessaire pour tester cette hypothèse, ont noté les groupes de sécurité, ajoutant que certaines premières preuves ont déjà émergé qui montrent des auto-déclarations de marijuana récente. et la consommation d'alcool ont augmenté, tandis que la consommation signalée d'alcool seul a diminué, en particulier dans les États où l'usage récréatif de la marijuana est désormais légal.
Une récente enquête nationale menée par la Fondation AAA pour la sécurité routière a également révélé que les conducteurs qui déclaraient consommer à la fois de l'alcool et de la marijuana étaient plus susceptibles que ceux qui n'avaient consommé que de l'alcool de dire qu'ils avaient conduit avec les facultés affaiblies et adoptaient des comportements de conduite dangereux.
Pour plus d'informations sur l'étude récente et des recherches supplémentaires, cliquez ici .
https://www.iihs.org/news/detail/crash-rates-jump-in-wake-of-marijuana-l...
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Tanya Mohn
Aucune augmentation sauf lorsqu'elle est associée à de l'alcool
La dernière étude de l'Insurance Institute, par exemple, qui a utilisé des données recueillies auprès de plus de 1 200 conducteurs blessés dans trois salles d'urgence à Denver, Colorado ; Portland, Oregon; et Sacramento, en Californie, n'ont montré aucune augmentation du risque d'accident associé à la drogue, sauf lorsqu'elle est associée à de l'alcool.
Alcool une drogue, un dépresseur.
Il devrait y avoir un avertissement de Danger sur les contenants d'alcool en cas de mélange avec du cannabis.
Avertissement qui se retrouve sur les contenants de la SQDC
Éduc'alcool prétend selon Sa publication que l'alcool et le cannabis sont "des dépresseurs".
Sa publication
Elle repose sur quelle étude/recherche rigoureuse sur un nombre suffisant d'humains, double aveugle, en ayant fourni la substance contrôlé et un placébo tout au long de l'étude, qui devra être répétée par des chercheurs indépendants et donner les mêmes résultats à chaque fois. Ou sur des sondages d'opinions peu fiables non scientifiques ?
Dans SA publication « Alcool et cannabis : un bien mauvais mélange », Éduc’alcool:
Les effets dépresseurs de l’alcool et du cannabis se multipliant lorsqu’ils sont combinés, la publication pointe du doigt le fait que le jugement, le temps de réaction et la coordination sont particulièrement affectés alors que la conduite automobile est absolument contre-indiquée.
FAUX !
OUI l'alcool est une drogue dangereuse, un dépresseur comme l'héroïne et autres dépresseurs !
NON le cannabis n'est pas un dépresseur !
Ce n'est que par acceptabilité sociale/culturelle et un lobby puissant qu'il n'est pas sur la liste des dépresseurs ?
L'alcool est classé comme un aliment !
Vous remarquerez que sur leur site ils utilisent "drogue" seulement pour le cannabis mais jamais pour l'alcool ?
« L’organisme signale que s’ils n’ont pas consommé leur drogue, les fumeurs habituels de cannabis... »
Rappelons qu'ils reçoivent des millions annuellement de la SAQ.
Au lieu de donner des conseils pour mélanger 2 verres d'alcool par jour avec le cannabis.
Et faire de l'incitation à la consommation régulière, satisfaire, justifier sa dépendance.
Ils devraient exiger un âge minimum de consommation par des jeunes au lieu de donner des conseils:
« À l’âge de six ans, ils ont déjà une idée des normes sociales relatives à la consommation d’alcool des adultes et des enfants. Vous pouvez donc aborder la question de la consommation dès le jeune âge. »
Comment être avec les 8 à 11 ans.
C'est un comportement irresponsable d'inciter, de laisser de jeunes enfants dont le cerveau ne sera entièrement complété qu'à 25-35 ans, gouter et consommer de l'alcool un dépresseur, avant 18 ans !
Alcool responsable de 4000 morts annuelles et de maladies physiques (nombreux cancers) et mentales.
Dont les méfaits sociaux, sur la santé physique, mentale et économique ne dépassent pas les bénéfice$.
Il nous en coute des dizaines de milliards annuellement pour les méfaits directs ou indirectes causés par le tabac et l'alcool protégés.
Cannabis seul sans mélange Zéro mort directe en plus de 2000 ans d'usages thérapeutiques, récréatifs, agricoles/industriels.
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