La légalisation c'est la permission de choisir sa substance récréative mortelle ou non !
Le droit de choisir, de prendre des risques
Les entreprises sont désormais confrontées à des avertissements croissants
de la part des autorités de santé publique,
qui affirment que la consommation même de petites quantités d’alcool
est associée « à au moins sept types de cancer ».
Pour des méfaits du cannabis il faut que la consommation soit excessive et non de petites quantités !
Est-ce que la consommation de 2 grammes par jour de cannabis médical prescrit
est de la consommation excessive pour les mêmes produits des mêmes producteurs ?
Faire de l'alcool au cannabis c'est un jeu d'enfant de moins de 21 ans !
Ajouter des extraits de cannabis sans Dose Létale (DL50)
Ne changera rien aux conclusions de recherches scientifiques :
L’alcool cancérigène est un fléau mondial.
Dans certains pays.
Accepté, publicisé, fidélisé, et légal à la consommation par des enfants
de 6-12 ans et moins dont le cerveau ne sera complété qu’à 23-25 ans*.
Alcool LA drogue avec le plus grand nombre de drogués légaux et illégaux
à dépendance physique et psychique très forte comme l’héroïne et mortel.
Une, drogue sans usage médical actuellement reconnu et présentant un fort potentiel d'abus.
Qui comme la tabac n’ont jamais été inscrits aux États-Unis dans l’Annexe I ?
Les drogues, substances ou produits chimiques du tableau I
sont définis comme des drogues sans usage médical actuellement reconnu
et présentant un fort potentiel d'abus.
Voici quelques exemples de drogues du tableau I :
l'héroïne, le diéthylamide de l'acide lysergique (LSD), la marijuana (cannabis),
la 3,4-méthylènedioxyméthamphétamine (ecstasy), la méthaqualone et le peyotl.
Veuillez noter qu'il n'est pas nécessaire qu'une substance soit inscrite comme substance règlementée
pour être considérée comme une substance de l'annexe I en vue de poursuites pénales.
*Ce seraient les parents qui, en faisant goûter de l’alcool à leur enfant,
en banaliseraient la consommation,
ce que le chercheur qualifie avec regret d’ “attitudes de laisser-faire”.
Pourquoi ils ne font d'alcool à saveur de tabac ?
La légalisation c'est la permission de choisir sa substance récréative mortelle ou non !
Le droit de choisir, de prendre des risques
Les entreprises sont désormais confrontées à des avertissements croissants
de la part des autorités de santé publique,
qui affirment que la consommation même de petites quantités d’alcool
est associée « à au moins sept types de cancer ».
Pour des méfaits du cannabis il faut que la consommation soit excessive et non de petites quantités !
Est-ce que la consommation de 2 grammes par jour de cannabis médical prescrit
est de la consommation excessive pour les mêmes produits des mêmes producteurs ?
Faire de l'alcool au cannabis c'est un jeu d'enfant de moins de 21 ans !
Ajouter des extraits de cannabis sans Dose Létale (DL50)
Ne changera rien aux conclusions de recherches scientifiques :
L’alcool cancérigène est un fléau mondial.
Dans certains pays.
Accepté, publicisé, fidélisé, et légal à la consommation par des enfants
de 6-12 ans et moins dont le cerveau ne sera complété qu’à 23-25 ans*.
Alcool LA drogue avec le plus grand nombre de drogués légaux et illégaux
à dépendance physique et psychique très forte comme l’héroïne et mortel.
Une, drogue sans usage médical actuellement reconnu et présentant un fort potentiel d'abus.
Qui comme la tabac n’ont jamais été inscrits aux États-Unis dans l’Annexe I ?
Les drogues, substances ou produits chimiques du tableau I
sont définis comme des drogues sans usage médical actuellement reconnu
et présentant un fort potentiel d'abus.
Voici quelques exemples de drogues du tableau I :
l'héroïne, le diéthylamide de l'acide lysergique (LSD), la marijuana (cannabis),
la 3,4-méthylènedioxyméthamphétamine (ecstasy), la méthaqualone et le peyotl.
Veuillez noter qu'il n'est pas nécessaire qu'une substance soit inscrite comme substance règlementée
pour être considérée comme une substance de l'annexe I en vue de poursuites pénales.
*Ce seraient les parents qui, en faisant goûter de l’alcool à leur enfant,
en banaliseraient la consommation,
ce que le chercheur qualifie avec regret d’ “attitudes de laisser-faire”.
Soumis par Zappiste le 7 mars 2018 -
https://www.blocpot.qc.ca/fr/forum/4475