La police de Saguenay saisit 63 livres de cannabis
Ce sont des informations provenant du public qui auraient alerté les autorités.
21 octobre 2020 17h48
Partager
LAURA LÉVESQUE
Le Quotidien
Le Service de police de Saguenay (SPS) vient d’ébranler, du moins temporairement, le marché noir du cannabis. Trois personnes du secteur Lac-Kénogami ont été arrêtées, mercredi, à la suite d’une saisie de 63 livres de cannabis illicite.
Les perquisitions, menées en matinée, se sont déroulées à deux adresses sur les rues des Pins et Arthur-Daniel, dans le secteur de Lac-Kénogami.
Une femme et deux hommes, âgés entre 37 et 43 ans, ont été arrêtés à la suite de l’opération menée par les enquêteurs de la section des projets spéciaux du SPS.
Ce sont des informations provenant du public qui auraient alerté les autorités.
La SPS n’a pas dévoilé la valeur marchande de ces quelque 63 livres. Sur le marché noir, un gramme se vend à environ 10 $. Des dizaines de milliers de dollars en cannabis ont donc été retirés du marché régional.
En plus du cannabis, les policiers ont saisi 23 000 $ en argent sur les lieux perquisitionnés.
Qui achète du cannabis à environ 10$/g ?
Ce sont des informations provenant du public qui auraient alerté les autorités !
Combien va revenir au délateur qui a fait leur travail ?
Qui achète du cannabis à environ 10$/g. Alors que la SQDC en vend à environ 5$/g ?
Des adultes de 18 ans qui y avaient droit légalement déjà stigmatisés, démonisés, par des années de campagnes de peur, des mensonges de la désinformation, avant d’être criminalisés et sacrifiés injustement, aux dealmakers des organisations criminelles par choix des membres de la CAQ.
La police de la parole et les prohibitionnistes cherchent à éliminer après la feuille le mot en "C" «cannabis», parce qu’il fait référence à la joie, le plaisir, le party.
Pourtant c’est ce que la SAQ et Éduc’alcool ont le droit de faire, associer plaisir et alcool, consommation régulière comme modération. ACCÈS-cannabis, qui protège le monopole, considère les adultes de 18 ans comme des jeunes. Seulement pour le cannabis depuis la criminalisation des adultes de moins de 21 ans.
Cannabis, COVID : Séparation de la science et de la politique.
Aucune séparation entre la vraie science avec des études sur des humains et le politique contre la légalisation avec ses sondages d’opinion peu fiables et YES man, médecins et psy.
Criminalisation d’Adultes Québécois qui n’a rien à voir avec la santé publique ni la “Justice égale pour tous” de M. Simon Jolin-Barrette contre le cannabis, sa légalisation, et les adultes de 18 ans !
Seulement pour être plus sévère avec cette plante aux multiples bienfaits et usages, sans dose mortelle et surtout pour tenir une promesse électoraliste en plus de protéger l’égo du Premier Ministre ainsi que les producteurs des drogues légales, l’alcool et le tabac, qui rendent accro, malade et tuent plus de 40 Québécois par jour, par acceptation culturelle et protéger des emplois.
Parmi les prédictions apocalyptiques, de fléaux, des comités "d'experts" en sondages d'opinions du Québec. Combien ne se sont pas réalisées ici et ailleurs au Canada là où ils n'ont pas créé une nouvelle classe d'adultes de 21 ans seulement pour le cannabis, qui n'ont pas de monopole, ont droit à la culture personnelle et boutures, de nombreux points de vente et autres produits offerts et à haute teneur en THC ?
Qui sont les fléaux qui rendent accros malade et tuent ?
Le tabac, l'alcool, les médicaments d'ordonnance prescrits à pochetée et à répétition.
Qui prescrit ces médicaments devenus des fléaux ?
Les opioïdes
Les antidépresseurs.
Les neuroleptiques (dits aussi antipsychotiques)
Les anxiolytiques (ou tranquillisants)
Les hypnotiques (ou somnifères)
Les stabilisants de l'humeur (dits aussi régulateurs de l'humeur, thymorégulateurs ou parfois normothymiques)
Et qui ont peur du cannabis sans dose mortelle ? 80% des médecins qui refusent de le prescrire !
Les médecins, les psy qui obligent les malades, et de jeunes enfants, à essayer des thérapies inefficaces avec des produits de pharmaceutiques à effets secondaires indésirables, dangereux et à dose mortelle pendant des années avant de prescrire du cannabis.
Chaque prescription que le produit soit efficace, dangereux ou non, c'est de l'argent pour le médecin et les pharmaceutiques pendant des années. Produit à effets indésirables qui nécessiteront d'autres prescriptions pour d'autres médicaments pour contrer les effets du premier et ainsi de suite.
Les ainés et dans les CHSLD consomment en moyenne 10 médicaments, remboursés, par jour !
Malheureux exemple de l'acharnement de médecins accros aux médicaments de pharmaceutique$ inefficaces !
Des benzodiazépine imposé à l'enfant de 7 ans, depuis qu'il a 16 mois ! Regardez leur effet sur l'enfant !
Utilisez le CC pour le sous-titre en français.
Ex: https://www.youtube.com/watch?v=TeFPTsTr0ZU
Du cannabis CBD contre l'épilepsie Jayden et le syndrome de Dravet STFR par Cannabis France 2017
L'histoire du petit Jayden atteint d'une épilepsie sévère. Comme "dernière" chance, son père décide de lui donner de l'huile de chanvre CBD, les résultats sont émouvants et surprenants !
https://www.youtube.com/results?search_query=cbd+enfant+crise+%C3%A9pile...
SERMENT PROFESSIONNEL DU COLLÈGE DES MÉDECINS DU QUÉBEC
Je remplirai mes devoirs de médecin envers tous les patients avec conscience, loyauté et intégrité ; ... – Je serai loyal à ma profession et je porterai respect à mes collègues ; – Je me comporterai toujours selon l'honneur et la dignité de la profession.»8 janv. 2014»
Voici ce que son fournisseur de soins de santé lui prescrivait dès l'âge de 16 mois !
Avec conscience, loyauté et intégrité envers ce patient ?
Au sujet des benzodiazépines
Les benzodiazépines sont des médicaments qui ralentissent l’activité cérébrale. Ils produisent ainsi un effet relaxant ou de somnolence qui peut être utilisé pour traiter les personnes ayant des troubles :
du sommeil
épileptiques
d’anxiété, y compris des crises de panique
Les benzodiazépines ne sont disponibles légalement que sur ordonnance. Ils se présentent sous forme liquide, de comprimé ou de gélule, mais ils sont habituellement prescrits sous la forme de cachets comme :
le diazépam (Valium)
l’alprazolam (Xanax)
le lorazepam (Ativan)
La consommation de benzodiazépines peut devenir problématique et entraîner un trouble lié à l’utilisation de substances, une surdose et même la mort. Pour cette raison, les benzodiazépines sont visées par l’annexe IV de la Loi réglementant certaines drogues et autres substances.
Effets à court terme des benzodiazépines
Parmi les effets secondaires* les plus fréquemment liés aux benzodiazépines, on trouve :
la confusion
la somnolence
la constipation
les étourdissements
les pertes de mémoire
la faiblesse musculaire
les problèmes d’élocution
la perte de coordination et d’équilibre
Certaines personnes peuvent aussi éprouver :
des délires
des hallucinations
une anxiété soudaine
des réactions cutanées
de la nervosité et de l’agitation
de l’irritabilité et de l’agressivité
une sensation d’euphorie (un « high »)
Effets à long terme des benzodiazépines
Parmi les effets à long terme des benzodiazépines, on trouve :
une dépendance physique
des problèmes d’apprentissage ou de concentration
Si l’on vous prescrit des benzodiazépines, discutez avec votre fournisseur de soins de santé en vue d’établir un plan visant à réduire le risque d’effets secondaires négatifs. La consommation de benzodiazépines pendant une période plus longue que celle qui est prescrite augmente le risque de développer un trouble lié à la consommation de substances et à une dépendance aux benzodiazépines.
*Ils n'utilisent pas effets secondaires indésirables ?
la confusion
la somnolence
la constipation
les étourdissements
les pertes de mémoire
la faiblesse musculaire
les problèmes d’élocution
la perte de coordination et d’équilibre
Etc.
Pages
Ajouter un commentaire