Cannabis: «je suis sûr qu’un nuage vert flotte au-dessus de la ville!»

Cannabis: «je suis sûr qu’un nuage vert flotte au-dessus de la ville!»
TVA Nouvelles

| Publié le 10 juin 2019 à 09:33 - Mis à jour le 10 juin 2019 à 09:39

Le beau temps et les festivités qui accompagnent l’été sont bien installés à Montréal, tout comme les consommateurs de cannabis qui ne se gênent pas pour griller des joints un peu partout au centre-ville.

Voyez l’autre chronique de Martineau

Le plastique est utile... et dangereux

Dans le cadre de sa chronique «Réveillez-vous» diffusée au Québec Matin, Richard Martineau a soulevé le fait que cette drogue est probablement mal contrôlée.

«Montréal n’était pas F1 en fin de semaine, elle était pot! J’habite dans le centre-ville de Montréal, et je m’y promène beaucoup : ça sent le pot c’est incroyable. Sur Sainte-Catherine, de Guy à Berry, ça sent le pot de façon constante. J’étais avec mon fils, on marchait et il se bouchait le nez avec son chandail!», déplore-t-il.

Selon lui, le problème est peut-être lié au fait qu’on a traité le «cannabis comme le cousin du tabac alors que c’est le cousin de l’alcool! Est-ce qu’on laisserait des gens boire de l’alcool sur la rue? Non. Pourquoi on laisse des gens se geler la bine et fumer des gros joints?»

Il aurait fallu faire comme à Amsterdam, où il est interdit de fumer du cannabis dans la rue, assure-t-il.

«Tu fumes ton pot dans les coffee shop, pas dans la rue. Ça aurait été parfait des endroits des cafés où on trouve des gens qui s’y connaissent pour te conseiller, t’encadrer», ajoute-t-il.

«Je suis sûr que de haut on doit voir un nuage vert au-dessus de la Ville!»

***Voyez sa chronique intégrale dans la vidéo ci-dessus. ***

Commentaires

Traiter le cannabis comme l’alcool Martineau ?

Traiter le cannabis comme l’alcool Martineau ?

Pour les mêmes droits et privilèges je suis entièremet d’accord !

On sait que les cannabis d’aujourd’hui sont trop fort pour lui
il en a abusé en onde aux francs-tireurs il y a plus de 10 ans !

Traiter le cannabis comme l’alcool.

Ça voudrait dire que les consommateurs pourraient fumer sur les terrasses
et à certains endroits les terrasses sont collées les unes aux autres
sur le même coté de la rue, boulevard, et parfois des deux cotés,
donc ça ne changerais rien à l’arôme ambiant.

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