L'Université Saint-Pierre retire sa plainte visant à empêcher l'ouverture d'un dispensaire de cannabis
Un dispensaire de cannabis récréatif devrait être considéré de la même manière que les bars et les magasins d'alcools
Elgawly a pointé du doigt le pub McGinley Square situé de l'autre côté de la rue, en disant « quelle est la différence ? »
COMTÉ D'HUDSON
L'Université Saint-Pierre retire sa plainte visant à empêcher l'ouverture d'un dispensaire de cannabis
Mise à jour : 05 août 2024, 17h48|Publié le 05 août 2024 à 14h48
Salle Panepinto de Saint-Pierre
Le Panepinto Hall de St. Peter, situé au 762 Montgomery St. (vu à gauche) à Jersey City le lundi 5 août 2024. Michael Dempsey | Le Journal de Jersey Michael Dempsey | Le Journal de Jersey
ParMark Koosau | Le Journal de Jersey
L'Université Saint-Pierre a mis fin à son opposition contre un dispensaire de cannabis voisin en retirant une action en justice qui cherchait à empêcher son ouverture, libérant ainsi le dispensaire d'une bataille juridique à laquelle il était confronté depuis deux ans.
L'école de Jersey City avait poursuivi Xena, anciennement connue sous le nom de Medusa, arguant que le dispensaire, situé au 759A Bergen Ave., violait l'exigence selon laquelle il devait être à au moins 200 pieds de la propriété de l'école, ce qui étendait la définition d'« école » selon les lois de l'État.
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Le terme « école » fait traditionnellement référence aux écoles primaires et secondaires en vertu de ces lois ; et la propriété de Saint Peter en question est un dortoir.
Mais l'université a retiré sa plainte vendredi sans explication, près de deux ans après l'avoir déposée, selon les documents judiciaires. Le propriétaire de Xena, Haytham Elgawly, a déclaré lundi qu'il n'y avait pas eu d'accord dans le litige.
« Je suis heureux que l'université ait pris la bonne décision et qu'elle laisse les petites entreprises prospérer », a déclaré Elgawly. « Un dispensaire de cannabis récréatif devrait être considéré de la même manière que les bars et les magasins d'alcools, plutôt qu'une entité qui va causer du tort au quartier. »
L'université, notamment sous la direction de l'ancien président Eugène Cornacchia, s'est exprimée haut et fort dans son opposition à Xena depuis 2022, affirmant qu'elle s'inquiétait de l'impact du contrôle des foules et de la sécurité des étudiants dans leurs résidences universitaires.
La poursuite a également avancé l’argument infondé et absurde selon lequel le financement fédéral de l’école pourrait être retiré si du cannabis était vendu à proximité de l’école, car il est toujours illégal en vertu de la loi fédérale.
La plainte allègue que Xena se trouve à 20 mètres du dortoir Panepinto Hall de l'université, mais que le comité d'urbanisme de la ville a utilisé une carte différente au lieu d'une carte appropriée incluant les collèges ou universités lors de son approbation. Le comité d'urbanisme a également été cité comme défendeur dans le procès.
Cornacchia avait également écrit dans une chronique un mois avant le dépôt de la plainte que Xena, sans la mentionner nommément, « nuirait sérieusement à notre capacité à recruter des étudiants lorsque les parents verraient un tel établissement pratiquement à côté de l'endroit où vivra leur enfant ».
Elgawly a déclaré que le litige avait coûté à Xena du temps et de l'argent « dont nous n'avions pas besoin », en plus d'entraver la collecte de fonds. Mais la construction du magasin est désormais presque terminée, et l'ouverture est prévue en septembre ou début octobre.
En réponse aux critiques de l'université selon lesquelles Xena est trop proche de son dortoir, Elgawly a pointé du doigt le pub McGinley Square situé de l'autre côté de la rue, en disant « quelle est la différence ? »
« Ce sont des adultes », a déclaré Elgawly. « Ils pourront acheter ce qu'ils veulent, que ce soit sur leur téléphone comme UberEats ou dans un magasin à quelques pas de chez eux. »
Xena espère bientôt rejoindre la scène florissante du cannabis de Jersey City, qui compte actuellement le plus grand nombre de dispensaires du Garden State, soit 10. Uforia, situé à Heights près de Central Avenue, prévoit d'ouvrir à la mi-août en tant que 11e dispensaire de la ville.
Cornacchia a pris sa retraite en tant que président de l'université à la fin de l'année scolaire 2023-24 en juin et a été remplacé par le président actuel Hubert Benitez. Un avocat et une porte-parole de l'université n'ont pas répondu à une demande de commentaires sur les raisons pour lesquelles la plainte a été retirée.
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Ce qui est bon pour pitou est bon pour minou
Ce qui est bon pour pitou est bon pour minou
(Québec) (Sens figuré)
Ce qui est bénéfique pour un peut l'être également pour l'autre.
Ce qui est bénéfique pour un "devrait" l'être également pour l'autre. Zappiste
Exemple: la Légalisation Harmonisation Canadienne Fédérale Efficace Du Récréatif de 2018
Bonne pour les adultes légaux de 18-19 ans de 9 des 10 provinces et 3 territoires
mais pas les canadiens du Québec caquiste de 18-21 ans plus stupide et irresponsable
que le reste des adultes du Canada. Et les enfants de 6-12 ans et moins consommateurs d'alcool légalement !;O)
Selon le ministère de la santé, de l'injustice et les associations de médecins/psychiatres* du Québec
pro médocs (même inefficaces) qui ont participé à la recriminalisation des adultes légaux, favorisant/préférant
la mise en contact avec les organisations criminelles et leur fournir 20 MILLION$ trimestre non taxés.
Pour protéger les profits du monopole, comme la SQ, et ceux des médecins et pharmaceutiques !;O)
Les Responsables doivent rendre compte de leur politique, et doivent réparer les dommages qu'il ont causés !
Un dispensaire de cannabis récréatif devrait être considéré de la même manière
que les bars et les magasins d'alcools.
Elgawly a pointé du doigt le pub McGinley Square situé de l'autre côté de la rue,
en disant « quelle est la différence ? »
Au Québec des Vendeurs/Dépanneurs de drogues cancérigènes addictives et mortelles
comme le tabac l'alcool les boissons énergisante et les chips sont près des écoles.
Tabac et alcool qui rendent malade et tuent plus de 45 Québécois journalièrement,
nous coutent 6,8 MILLIARDS en méfaits annuels acceptables/évitables.
Pas de statistiques sur le couts des méfaits des chips, la pauvreté, le manque de nourriture, médecins ?
La différence c’est que le cannabis aux multiples bienfaits et usages millénaires
n’a aucune Dose Léthale (DL50) pour les humains et les animaux
ni aucune mort directe pour usage seul sans mélanges,
consommation avec les drogues, fléaux mondiaux, cancérigènes, addictives, mortelles.
Comme le tabac, l’alcool et les médicaments légaux ou non.
Comme le disent nos amis du peuple de l'herbe du CIRC
https://www.circ-asso.net/
La bête prohibitionniste est à présent affaiblie, mais n’en reste pas moins dangereuse...
avec un discours moyenâgeux, promouvant une répression toujours plus excessive.
* Et nos soi-disant alliés de l’addictocratie ? Ils ne voleront pas à notre secours.
Ils préfèrent répandre leur discours alarmiste, décrivant la jeunesse comme une maladie,
une génération perdue, ignorant et désespérée. (Les médecins/psychiatres du Québec !)
Le CIRC est une association engagée pour un changement de législation en matière de cannabis
Les objectifs du CIRC sont :
Le retrait du Cannabis Sativa L. et de tous ses dérivés du tableau des stupéfiants,
La légalisation de l’autoproduction, de la production et de la distribution du cannabis à des fins récréatives et thérapeutiques, dans un cadre équitable et respectueux de l’environnement,
La réintroduction du Cannabis Sativa L. dans la pharmacopée
La décriminalisation de l’usage de TOUS les stupéfiants et leur légalisation en des modalités différentes selon chacun,
L’amnistie pour toutes les personnes victimes de ce classement inepte et non-impliquées dans des crimes de sang.
PS : 114 587 $ par année ou 314 $ par jour par délinquant.
Selon le Bureau du directeur parlementaire du budget du gouvernement du Canada.
Deux systèmes d’emprisonnement parallèles
Il existe deux systèmes parallèles en matière d’administration pénitentiaire, le provincial et le fédéral.
Ces deux systèmes visent les mêmes objectifs :
Évaluer la dangerosité sociale d’un détenu ;
Assurer la gestion du risque d’un prisonnier ;
Assurer une réinsertion sociale efficace afin que le prévenu devienne un citoyen respectueux des lois ;
Assurer la protection du public ;
Selon la durée de la peine d’emprisonnement
Lorsqu’un individu est condamné à une sentence d’emprisonnement, il va se diriger vers une prison provinciale ou vers un pénitencier fédéral suivant la logique suivante :
Une peine d’emprisonnement de deux ans moins un jour = Prison provinciale
Une peine d’emprisonnement de deux ans ou plus = Pénitencier fédéral
Pour le Québec, ces deux systèmes sont respectivement règlementés par :
Le Service correctionnel du Québec (SCQ)
Loi sur le système correctionnel du Québec
et pour le Canada
Le Service correctionnel du Canada (SCC)
Loi sur le système correctionnel et la mise en liberté sous conditions
Provincial et fédéral, des gestions très distinctes
Il existe une différence concrète au sein des murs entre les paliers fédéraux et provinciaux.
Le fait que les sentences au niveau provincial soient plus brèves et que les ressources octroyées soient moins nombreuses entraine une gestion beaucoup plus souple qu’au niveau fédéral. Souplesse ne signifie pas que les détenus n’en tirent que des avantages.
Les adultes qui purgent une peine d’emprisonnement de moins de deux ans et ceux qui sont détenus en attendant leur procès ou le prononcé de leur sentence, ainsi que ceux qui purgent une peine au sein de la collectivité, relèvent des programmes de services correctionnels des provinces et territoires.
En ce qui concerne les jeunes, les provinces et territoires sont responsables de l’administration des services correctionnels pour les jeunes placés sous garde ou sous surveillance au sein de la collectivité, y compris les jeunes maintenus sous garde dans l’attente de leur procès ou du prononcé de leur sentence.
Le temps d'emprisonnement des délinquants au niveau provincial est d'environ un mois !
Ce qui rend difficile d' Assurer une réinsertion sociale efficace
afin que le prévenu devienne un citoyen respectueux des lois.
Construire d'autres prisons n'est pas la meilleure solution ni la moins couteuse.
En Théorie : Droits et recours des personnes incarcérées
La personne incarcérée a droit à une intervention qui se fait :
par du personnel compétent et intègre;
dans le respect de ses droits fondamentaux;
avec les limitations nécessaires et requises conformément aux lois et aux règlements en vigueur;
sans discrimination;
suivant le principe selon lequel toutes les personnes ont la capacité d’évoluer positivement.
Réclamation pour détention illégale
Dans de rares cas, une erreur administrative du ministère de la Sécurité publique ou du ministère de la Justice peut survenir. Il peut s’agir d’une erreur lors de la validation de l’identité de la personne incarcérée, de la rédaction, de la lecture ou de l’échange des documents légaux, ou du calcul de la durée de la peine.
Une personne qui croit avoir été incarcérée injustement ou trop longtemps en raison d’une erreur administrative peut demander à être dédommagée en remplissant le formulaire de réclamation pour détention illégale (PDF 113 Ko). La demande de réclamation sera analysée et une indemnisation peut être offerte, le cas échéant.
Dans de rares cas ? Un c'est déjà trop !
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