Grève à la SQDC : les négociations sont au point mort dans 22 succursales
Le salaire horaire à l'embauche est de 17,12 $, ce que le SCFP juge insuffisant pour une société d'État.
Grève à la SQDC : les négociations sont au point mort dans 22 succursales
Le salaire horaire à l'embauche est de 17,12 $, ce que le SCFP juge insuffisant pour une société d'État.
Le logo de la SQDC avec des autocollants sur lesquels on lit « En grève ».
Le personnel de 22 succursales de la SQDC est en grève illimitée depuis le 20 mai.
PHOTO : RADIO-CANADA / SAMUEL RANGER
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La Presse canadienne
Publié le 6 juillet 2022
Les négociations sont au point mort entre la Société québécoise du cannabis (SQDC) et le Syndicat canadien de la fonction publique (SCFP), qui représente le plus grand nombre de travailleurs dans les succursales au Québec, dont plusieurs sont touchées par une grève illimitée.
Si les syndicats rattachés à la CSN ont accepté un règlement, il en est autrement de ceux du SCFP, affiliés à la FTQ.
Vingt-deux succursales où le SCFP représente les travailleurs de la Société québécoise du cannabis sont touchées par une grève illimitée depuis le 20 mai; d'autres ont un mandat de moyens de pression, mais pas de grève. Le SCFP représente les travailleurs dans 27 succursales maintenant.
En entrevue mercredi, le président de la section locale du SCFP, David Clément, a dit avoir proposé une offre de règlement en conciliation, la semaine dernière, et attend depuis une réponse de la part de la direction. C'est le silence radio, selon lui.
Le litige porte particulièrement sur les salaires.
M. Clément soutient qu'à l'heure actuelle, le salaire à l'embauche à la SQDC est de 17,12 $, ce qu'il juge insuffisant pour une société d'État. Il affirme que la dernière offre de l'employeur porterait ce salaire à 17,46 $, mais ses membres n'ont pas l'intention d'accepter un salaire d'embauche inférieur à 20 $ l'heure, rapporte-t-il.
Et ils ne sont pas prêts à accepter ce que les membres de la CSN ont accepté, rapporte-t-il. Ces derniers ont entériné à la fin de juin l'entente de principe qui était intervenue avec la SQDC, mais la CSN n'a pas voulu révéler le pourcentage d'appuis. Elle a des membres dans une quinzaine de succursales.
« La SQDC ne nous a pas fait cette offre-là; elle nous a présenté l'entente qu'elle a eue avec la CSN sur le côté salarial. Effectivement, pour notre comité de négo, notre conseil exécutif, ce n'est pas une entente ou une offre qui serait intéressante, parce qu'elle nous maintiendrait somme toute, pendant les quatre prochaines années, avec des salaires qui sont dérisoires pour une société d'État et pour la job qu'on fait. »
— Une citation de David Clément, président de la section locale du SCFP.
On a même mis l'employeur au défi de nous proposer une offre hostile qu'on serait obligés de présenter à nos membres. Nous, nécessairement, on a une structure démocratique, on consulte nos instances. Et ce n'était pas des blagues, ce n'était pas du théâtre quand nos assemblées générales nous disaient qu'on n'accepterait aucun salaire d'entrée en bas de 20 piastres de l'heure en 2022, a lancé M. Clément.
Du côté de la direction de la SQDC, on a préféré rester discret sur la teneur des négociations avec le SCFP. Par respect pour le processus qui suit son cours avec le médiateur désigné par le ministère du Travail, nous ne négocierons pas sur la place publique et conserverons la nature confidentielle des discussions à la table prévue à cet effet, a-t-elle fait savoir.
La direction reste optimiste : Notre objectif est toujours d'en arriver à une entente négociée à la satisfaction des parties concernées.
Fermetures et heures d'ouverture
La direction confirme que certaines succursales qui sont présentement exploitées par des cadres en raison de la grève seront momentanément touchées par des fermetures, le temps des vacances de ces cadres.
Comme notre mission est de faire migrer les consommateurs vers le marché légal du cannabis et de les y maintenir, nous désirons poursuivre, tant que possible, les opérations dans les succursales touchées par la grève. Pendant cette période, les 22 succursales concernées [par la grève] auront des horaires modifiés, afin de donner un peu de répit aux gestionnaires qui assurent le service aux clients. Pour ces points de vente, l'horaire est de midi à 17 h du mardi au samedi. Elles seront fermées les dimanches et lundis.
Toujours dans le but de permettre un temps de repos aux gestionnaires, les points de vente suivants seront prochainement fermés, a précisé la direction : Les Saules à Québec, fermée du 3 au 18 juillet inclusivement; Drummondville, fermée du 3 au 11 juillet inclusivement; Métro Snowdon à Montréal, fermée du 3 au 11 juillet inclusivement; et Président-Kennedy à Lévis, fermée pour une durée indéterminée.
Les 67 autres succursales du réseau demeurent ouvertes selon l'horaire normal : de 10 h à 21 h du lundi au vendredi et de 10 h à 17 h samedi et dimanche, a fait savoir la SQDC.
À lire aussi :
Difficile pour la SQDC de s’implanter dans certains quartiers de Montréal
Les 18-21 ans exclus socialement s'en foutent !
Le salaire horaire à l'embauche est de 17,12 $, ce que le SCFP juge insuffisant pour une société d'État.
Des gardiennes d’enfants dont beaucoup sont payées en dessous de la table au "N",
gagnent entre 8$ (pour une ado) et 20$ de l’heure (pour « une pro »).
Les 18-21 ans exclus socialement s'en foutent !
Depuis 3 ans ils ont les autres provinces qui ont harmonisé,
permis la culture perso et la vente par le privé.
Et ou les organisations criminelles qui n'ont jamais connu de pénurie, ruptures de stocks, de déficits, aux nombreux points de vente de proximité, produits de pharmaceutique$, la fidélisation à la SAQ...
François Legault « C’est clair, je ne me conte pas d’histoires.
Des “jeunes” de 18 à 21 ans vont aller sur le marché noir acheter du cannabis.»
(Le 21 ans a été choisi pour exclure ses deux slowmo de Tanguy de la criminalisation ?)
Christ de caquistes ! (« Christ de péquistes ! » Geneviève Guilbault, 2019)
Marché organisé aux nombreux produits contaminés, contrefaits
et non réglementés, sans être renseignés sur leur puissance.
Incluant le tabac et l'alcool qui n'ont jamais été éliminés du marché organisé en 100 ans par les forces de l'ordre.
Les 18-21 ne sont pas des “jeunes” selon la loi, ce sont des adultes légaux !
Legault refusait les profits du cannabis de reconnaitre ses nombreux bienfaits et usages !
Bienfaits récréatifs, thérapeutiques, économique$ même si il rapporte beaucoup plus que le tabac protégé et l’alcool protégé incité mortels cancérigènes.
Les bienfaits économique$ du cannabis légal sont annulés
avec la discrimination envers les adultes de 18-21 ans exclus du cannabis légal.
La criminalisation de CAQ des 18-21 ans
fourni des dizaines de millions trimestre au marché “N” organisé.
Millions enlevés à l’aide immédiate et gratuite, la prévention, l'éducation, la recherche, la Santé publique.
Cette exclusion sociale, criminalisation selon l’âge, depuis 3 ans, pour une drogue légale, n’a rien a voir avec la réduction des méfaits ni la santé publique.
Sauf pour les CAQ les associations de médecins/psychiatres/pédiatres cannaphobes dépendant$ du Québec !
« Mais je ne veux pas être connu comme le premier ministre du Québec à envoyer le signal que c’est banal de consommer du cannabis avant 21 ans. » François Legault.
CAQ suprême qui depuis 3 ans laisse les industries mortelles cancérigènes du tabac qu’il protège
et de l’alcool qu’il protège et incite *, tuer et rendre malade plus de de 65 000 Québécois.
Morts et maladies journalières évitables mais acceptables socialement, culturellement.
Legault pire que les méfaits bénins non mortels, non cancérigènes des cannabis et extraits.
Fleurs de cannabis jusqu’à 29% de THC et extraits jusqu’à 99,6% de THC.
Les achetables influençables prétendent toujours que le taux de THC augmente exponentiellement.
Pourcentages qui n’ont pas augmenté depuis 5 ans malgré des conditions de cultures idéales optimales.
Difficile d’augmenter exponentiellement un extrait à 99,6 % ?
A moins de croire au 110% ! Les promesses électoralistes/mensonges et les faux espoirs des CAQ.
Cannabis et extraits utilisés légalement depuis plus de 20 ans au Canada en Californie au Colorado.
*Rappelons que quand un journaliste a demandé à Legault ce qui lui manquait pendant le COVID.
il a répondu “De pouvoir trinquer en présentiel !” *.
Alors que des milliers de Québécois ont perdu des aînés si précieux, en parole, qui ont soufferts été affamés, laissés dans leurs excréments, sont morts, seuls, sans aide. Milliers de familles de Québécois à qui il n'a fourni aucune aide pour payer pour les funérailles prématurées. Lui qui aide financièrement les industries polluantes mortelles.
Lui qui a trinqué le sourire au bec, sans masque ni distanciation avec Ford.
Attitudes de laisser-faire !
Pour lui ce n’est pas banal, de l’incitation, ni banaliser, de laisser des enfants de 6-12 ans et moins dont le cerveau ne sera complété qu'à 23-25 ans, se droguer, consommer de l’alcool un dépresseur psychotrope, mortel cancérigène, à dépendance physique et psychique très forte comme l’héroïne.
Pour les CAQ être cool c'est de ne pas porter de cravate et le col déboutonné !
Porter la coupe de cheveux qui ne bougent pas, homme d'affaire, pensionnats autochtones.
* Trinquer en présentiel avec Deltell un autre conservateur alcoolo cannaphobe nul en géographie qui affirme que "Non l'alcool n'affecte pas le cerveau". Deltell que Legault, et ses marionnettes à gaines, a aidé à se faire réélire.
https://blocpot.qc.ca/fr/forum/5413
L’INSUPPORTABLE CROISADE DE GÉRARD DELTELL
https://blocpot.qc.ca/fr/forum/4925
Légalisation du cannabis: les prophètes de malheur à la Gérard Deltell sont confondus
https://www.santemagazine.fr/actualites/alcool-en-faire-gouter-aux-enfan...
En croyant prévenir la surconsommation d'alcool de leurs enfants, les parents leur ferait en fait ferait en fait aimer et apprécier le goût des boissons alcoolisées.
C'est ce qu'Éduc'alcool affirme lui qui reçoit des millions annuellement de la société d'alcoolisation des Québécois.
Vous pouvez le laisser tremper ses lèvres dans votre verre ou en prendre une gorgée pour ne pas qu’il le fasse en cachette ou en vidant les restes des verres ou des bouteilles.
Vous pouvez le laisser prendre un verre dans lequel l’alcool est dilué dans de l’eau; ce qui n’est pas pour autant une autorisation ouverte à consommer.
Expliquez aux 6-12 ans et moins la différence entre consommer de façon réfléchie et abuser.
Au Québec des enfants de 12 ans consomment régulièrement, illégalement, de l'alcool mortel cancérigène !
« Alcool : en faire goûter aux enfants ne serait pas une si bonne idée »
Selon une étude réalisée par un psychologue américain, faire goûter de l’alcool à un enfant peut contribuer à ce qu’il ait une consommation trop importante d’alcool une fois parvenu à l’adolescence.
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© Istock
Voilà des résultats qui vont à l’encontre de la croyance populaire, qui laisse penser que permettre aux enfants de goûter à un peu d’alcool serait inoffensif, voire que cela pourrait les aider à adopter des comportements responsables à l’âge adulte.
Selon une nouvelle étude publiée dans la revue , faire goûter de l’alcool à un enfant pourrait avoir l’effet inverse, en augmentant la consommation de boissons alcoolisées à la fin de l’adolescence.
“Prendre une petit gorgée ou déguster de l’alcool prédit une augmentation du comportement de consommation d’alcool chez les jeunes adultes”, assure ainsi Craig Colder, professeur au Département de psychologie de l’Université de Buffalo (Etats-Unis), et auteur principal de l’étude. “Siroter et goûter de l’alcool dans l’enfance avec la permission des adultes est associé à une consommation plus fréquente et plus importante en quantité à chaque épisode de consommation de boissons alcoolisées” ajoute-t-il. Le scientifique précise en outre que ce ne sont pas seulement le nombre de fois et la quantité d’alcool que le jeune adulte va boire qui va augmenter : les conséquences négatives liées à la prise d’alcool seront aussi en hausse (disputes, bagarres, gueule de bois etc.).
En croyant prévenir la surconsommation d’alcool de leurs enfants, les parents leur ferait en fait aimer et apprécier le goût des boissons alcoolisées, ce qui augmenterait le risque d’une consommation démesurée une fois l’enfant parvenu à l’adolescence.
Pour Craig Colder, qui a mené son étude auprès de 380 familles durant sept ans, il s’agit de rappeler aux parents que le fait de faire goûter de l’alcool à leurs enfants n’est pas quelque chose d’anodin. Lors de l’étude, le chercheur a observé que les enfants ne grandissaient pourtant pas dans des familles à problèmes. Ce seraient les parents qui, en faisant goûter de l’alcool à leur enfant, en banaliseraient la consommation, ce que le chercheur qualifie avec regret d’ “attitudes de laisser-faire”.
En France, l'initiation des enfants de moins de 12 ans à l'alcool apparaît être la règle plutôt que l'exception !
« La masturbation, c'est comme une bonne bière , ça forge la jeunesse et le caractère. »
Une pub de bière du Québec disait à propos des Québécois: "Du caractère autant que sa bière !".
« La bière la cause et la solution de tous nos problèmes » Homer Simpson
Moine, Religieux, Scientifique, Théologien (1483 - 1546)
Voici le bon grain. Le manger est à la portée de tous les imbéciles, mais notre seigneur dans sa divine sagesse a prévu une meilleure façon de le consommer. Et levons une prière de remerciement à nôtre créateur qui dans sa bonté céleste nous a donné... la bière.
Bon grains et eaux potables enlevés à la consommation humaine pour de l'alcool mortel cancérigènes un fléau !
Ce que subissent les pays pauvres en manque de nourriture et eau, aux politiques corruptibles !
Qui ont un produit intérieur brut (PIB) moindre que les industries mortelles cancérigènes et leurs lobby$ !
5 litres d'eau pour un litre de bière.
Il faut ajouter l'eau potable pour laver les bouteilles, le matos, les planchers, etc.
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