La Nouvelle-Zélande approuve l'euthanasie et s'apprête à rejeter la marijuana récréative
(Reuters) - La Nouvelle-Zélande a voté provisoirement en faveur de la légalisation de l'euthanasie, mais est en passe de rejeter les modifications législatives qui autoriseraient l'usage récréatif de marijuana, a déclaré vendredi la commission électorale du pays.
29 OCTOBRE 202021H52 MIS À JOUR IL Y A 3 HEURES
Par Colin Packham
La Nouvelle-Zélande a voté sur les deux référendums ce mois-ci tout en votant lors d'une élection générale qui a ramené le Premier ministre Jacinda Ardern au pouvoir.
Publiant les résultats préliminaires, la commission a déclaré qu'il restait près d'un demi-million de votes spéciaux principalement basés à l'étranger à compter. Ces votes ne suffiront pas à modifier le vote sur l'euthanasie, mais pourraient suffire à faire basculer le décompte sur la marijuana récréative, a-t-il déclaré.
Les résultats complets seront publiés le 6 novembre, mais avec plus de 65,2% des électeurs en faveur de la législation récemment adoptée permettant l'euthanasie, la Nouvelle-Zélande deviendra le septième pays à autoriser le suicide assisté.
La loi - qui permet aux patients en phase terminale avec moins de six mois à vivre de demander l'aide au suicide - entrera en vigueur en novembre 2021.
Ceux qui demandent l'euthanasie devront avoir 18 ans et auront besoin de l'approbation de deux médecins.
Bien que l'euthanasie ait été approuvée, la consommation de marijuana à des fins récréatives est toujours en suspens.
La commission électorale néo-zélandaise a déclaré que 53,1% des électeurs étaient opposés au fait que le pays ne devienne que le troisième à légaliser l'usage et la vente de cannabis par les adultes, après le Canada et l'Uruguay.
En 2017, Ardern a soutenu le plan de référendum sur le cannabis afin d'obtenir un soutien suffisant pour former un gouvernement de coalition.
Ardern tout au long de la campagne a refusé de dire de quelle manière elle voterait, mais un représentant a déclaré vendredi que le Premier ministre avait voté en faveur des deux référendums.
Reportage de Colin Packham; Montage par Tom Hogue et Michael Perry
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Le droit de mourir avant celui au plaisir du cannabis !
Va savoir ?
La criminalisation est le plus grand danger pour la santé du consommateur de cannabis sans dose mortelle.
18 ans seulement pour demander l'euthanasie et besoin de l'approbation de deux médecins.
Au Canada pour le Mourir dans la dignité:
- être âgé d'au moins 18 ans et mentalement capable. Cela signifie avoir la capacité de prendre des décisions en matière de soins de santé par vous-même
Au Québec droit à mourir être un adulte de "plus" de 18 ans.
- Le rapport propose au gouvernement de légiférer en deux temps : la loi ne s’appliquerait d’abord qu’aux personnes de plus de 18 ans ; plus tard, elle pourrait étendre la pratique aux « mineurs matures ».
Les comités d'experts en santé publique n'exigent pas 21 ans pour le droit à mourir imposé pour le cannabis ?
Québec droit au cannabis 21 ans, 18 pour le tabac son achat, sa possession sa culture de 15 Kg par personne adulte par foyer. Pour l'alcool c'est moins de 18 ans pour la consommation et 18 ans pour l'achat, sans limite sur la possession et la production personnelle sans limite sur le nombre et aucune limite sur le taux d'alcool.
Des mineurs "matures" pourraient y avoir droit plus tard ?
Mais ces mineurs "matures" qui pourront décider de leur mort n'auront pas droit au cannabis seront toujours des criminalisés par les membres de la CAQ et des comités "d'experts". Indépendants ou dépendants ?
Pour le cannabis "avoir la capacité de prendre des décisions en matière de soins de santé par vous-même" ne compte pas ?
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