Selon l'AQICM, la légalisation vise d'abord à améliorer l'accès du cannabis aux personnes malades. Zappiste: depuis 16 ans Ils ne sont plus des criminels, ils ont accès à tous les produits secs et dérivés du cannabis, pas d’âge minimal,l'auto-production

Selon l'AQICM, la légalisation vise d'abord à améliorer l'accès du cannabis aux personnes malades. Zappiste: depuis 16 ans Ils ne sont plus des criminels, ils ont accès à tous les produits secs et dérivés du cannabis, pas de d’âge minimal,le droit à la culture perso...

Il y a plus de consommateurs de cannabis récréatifs en danger que ceux qui utilisent le médical !

Mais depuis 16 ans, il n'y a pas de médecin qui le prescrit au Québec.
Ils sont trop accros aux opioïdes qui sont un danger pour la santé publique...

Zappiste: Coté médical ils ne sont plus des criminels, ils ont tous les produits du cannabis de la plante séchée aux dérivés et à des taux de THC différents. Il n’ont pas de limite d’âge il suffit d’une prescription, pas de limite pour la quantité à posséder et ils ont le droit d’en produire...

http://www.lavantposte.ca/actualites/2017/10/2/en-tournee-pour-rappeler-...
En tournée pour rappeler l'enjeu médical du cannabis

Jean-Philippe Langlais jean-philippe.langlais@tc.tc

Publié le 2 octobre 2017

LÉGALISATION. L'Association québécoise des intervenants en cannabis médical (AQICM) réalise ces jours-ci une tournée dans l'Est-du-Québec afin d'informer la population sur l'usage thérapeutique de la substance qui doit être légalisée au Canada, d'ici le 1er juillet 2018.

L'AQICM déplore le fait que lorsqu'il est question de la légalisation du cannabis, le volet récréatif de la consommation est souvent l'aspect plus abordé. L'Association souhaite donc répondre à un maximum de questions en ce qui concerne le cannabis médical.

Selon l'AQICM, la légalisation vise d'abord à améliorer l'accès du cannabis aux personnes malades. « Depuis 16 ans, on est le seul pays au monde à avoir un programme d'accès au cannabis médical. Mais depuis 16 ans, il n'y a pas de médecin qui le prescrit au Québec. Donc les gens doivent aller le chercher quelque part, soit sur le marché noir ou sur Internet », indique la propriétaire de la clinique spécialisée en cannabis médical La Croix Verte et membre de l'AQICM, Shantal Arroyo.

Oui à l'éducation

L'Association a présenté un mémoire lors de la consultation sur l'encadrement du cannabis, réalisée par le gouvernement du Québec. Elle est d'avis que l'usage du cannabis peut être bénéfique lors que bien encadré et bien dosé. L'AQICM ajoute que la vente par une société d'État serait acceptable dans la mesure où il y aurait aussi un système secondaire privé pour la vente de cannabis médical.

L'organisation se dit d'accord avec la mise en place d'une démarche de prévention. L'AQICM admet qu'il y aura une certaine effervescence au lendemain de la légalisation du cannabis et que le message devra être clair à ce moment.

« Il faut faire une prévention, c'est primordial. Où notre position diffère de celle du gouvernement, c'est qu'on ne pense pas que le monopole d'État, à l'image de la SAQ ou de Loto-Québec, fait de la prévention. Ces sociétés font beaucoup plus de banalisation. L'éducation est une réelle prévention. En éduquant les gens sur les apports thérapeutiques au lieu de mettre l'accent sur le récréatif et ses mauvais points, déjà on crée une prévention », estime Mme Arroyo.

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