Zappiste: L'alcool est la drogue mortelle licite la plus consommée et tue plus que tous les opiacés réunis.

De toute façon ils ne voulaient pas soigner les toxicomanes !

Voici leur bullshit !

http://larussiedaujourdhui.fr/ps/2013/07/03/la_russie_consacrera_6_milli...

La Russie consacrera 6 milliards de dollars au traitement de la toxicomanie
3 juillet, 2013 Viatcheslav Kozlov, Kommersant

Les spécialistes sont sceptiques vis-à-vis de l’initiative du SFCN. Alexandre Savytski, psychologue spécialisé en réhabilitation des toxicomanes, indique que le SFCN ne fixe pas de critères pour la certification des centres de réhabilitation, aussi les fonds budgétaires pourraient être alloués aux « personnes très éloignées de la médecine »: « Je pense, notamment, au centre orthodoxe la Confrérie du Saint-Esprit ou aux centres de scientologie qui, plutôt que soigner, prêchent leur doctrine. »

Zappiste: L'organisme "Non à la drogue Oui (aux sectes) à la vie sont parrainés par la secte de scientologie et font du recrutement de personnes vulnérables pour leurs centres d'intoxications.

Oleg Zykov, président du fonds Non à l’alcoolisme et à la toxicomanie et membre de la Douma, émet des doutes sur l’utilisation efficace des moyens budgétaires. « Nous avons des raisons de croire que l’argent échouera sur les comptes des organismes proches des employés du SFCN car ce sont les commissions antidrogue qui seront responsables de la répartition budgétaire localement, a-t-il affirmé. Lorsqu’il s’agit de subventions de l’État, il y a toujours une multitude d’organisations pas toujours scrupuleuses qui veulent obtenir ces subventions. »

Texte original (en russe) publié sur le site de Kommersant le 1er juillet 2013.

http://french.ruvr.ru/2013_11_20/Une-responsabilite-penale-est-proposee-...

20 novembre, 23:32 0
Russie : vers la responsabilité pénale pour les drogués ?

Par La Voix de la Russie | La responsabilité pénale pourrait être octroyée, en Russie pour les accoutumés à la drogue. Une telle initiative émane du directeur du Service fédéral russe de contrôle des stupéfiants (FSNK), Viktor Ivanov. Ce dernier a expliqué que cela pourrait aider à enrayer ce problème, une telle pratique apportant selon lui de bons résultats dans de nombreux pays.

Le projet de loi pénalisant la consommation de drogue a été préparé par Service fédéral russe de contrôle des stupéfiants. Le FSNK espère qu’il pourra être examiné par la chambre basse du parlement avant la fin de l’année. Le Service propose la responsabilité pénale pour les drogués qui commettent systématiquement des violations de la loi. A titre de solution de substitution à la responsabilité pénale, le FSNK propose d’envoyer les accoutumés à la drogue suivre un traitement médical, s’ils ne perpétuent pas de crimes graves.

Suivant une statistique officielle, on compte en Russie quelque 8 millions de personnes consommant plus ou moins régulièrement des stupéfiants, a ajouté Viktor Ivanov. Dans la plupart des cas, il s’agit, selon le chef du Service, d’une forte dépendance de la drogue. Le plus souvent, ce sont 1,5 millions de consommateurs d'opiacés qui deviennent accoutumés à la drogue. A ce propos, Viktor Ivanov a relevé que le pays devait se doter de centres de réhabilitation supplémentaires, dont plus de 150.000 personnes avaient besoin chaque année.

« Un programme d’Etat de réhabilitation complexe a vocation à combler cette lacune. Un tel projet est déjà élaboré et concerté avec tous les départements concernés. Je voudrais noter que le financement de ce programme, qui se chiffre à environ 3 milliards de roubles, sera largement couvert, étant donné que le programme apportera un effet économique positif pourl’Etat. Cela parce que le niveau de la criminalité et de l’accoutumance à la drogue va baisser, ainsi que les dépenses à la réhabilitation des drogués. »

Le programme de l’Etat permettra de réhabiliter quelque 150.000 personnes accoutumées à la drogue chaque année, a dit M. Ivanov. Selon ses calculs, dans environ 2à 3 ans, le taux de toxicomanie en Russie diminuera de 30% au moins, est persuadé le chef du Service fédéral russe de contrôle des stupéfiants.

Lada Korotoune

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