Banalisation - Livre: Apologie de drogue dure chez les stars.

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Zappiste: heureusement que ce n'est pas une feuille ou du cannabis dont il est question et seulement une drogue dure, la plus consommée avec une trentaine de milliers morts, directes et indirectes annuellement en France, et de comportements antisociaux liés à son usage et abus.

Car ce serait considéré comme de: La provocation à l’usage - par la publicité ou l’incitation ou la présentation sous un jour favorable - (quel que soit le support choisi : vêtements, bijoux, livres, etc.) est punie de cinq ans d’emprisonnement et 75 000 euros d’amende, même si l’incitation est restée sans effet (article L3421-4 du Code de la santé publique).

La provocation à l’usage ou au trafic de stupéfiants, par la publicité ou l’incitation ou la présentation sous un jour favorable des produits classés stupéfiants, (quel que soit le support choisi : vêtements, bijoux, livres, etc.) est punie de cinq ans d’emprisonnement et 75 000 euros d’amende, même si l’incitation est restée sans effet (article L3421-4 du Code de la santé publique). Les peines sont aggravées lorsque les mineurs sont visés (sept ans d'emprisonnement et 150 000 euros d'amende). La provocation de mineurs de moins de 15 ans au trafic de stupéfiants est sanctionnée par une peine de dix ans d’emprisonnement et de 300 000 euros d’amende.

Livre: Apologie de drogue dure chez les stars.

Les meilleurs souvenirs alcoolisés des stars.

"Petits moments d'ivresse" ???

Depardieu: «son amour pour la bouteille»

«Un coma éthylique» overdose.

«les deux acteurs étaient tellement ivres qu'ils sont tombés de la moto de Depardieu et se sont endormis sur place.»

«Depardieu qui confie avoir vidé une lotion pour les cheveux en pensant que c'était de l'alcool.»

«"Epicurien", admet-il. "Alcoolique, je ne le suis pas»

http://www.7sur7.be/7s7/fr/1527/People/article/detail/1388405/2012/02/01...

Gérard Depardieu s'est penché sans tabou sur son amour pour la bouteille. Le comédien français a accepté de participer à un ouvrage reprenant les meilleurs souvenirs alcoolisés des stars.

Le livre intitulé "Petits moments d'ivresse" rédigé par Gustave Kerven et Stéphanie Pillonca s'articule autour de témoignages de stars quant à leurs "cuites les plus mémorables".

Et avec la participation de Gérard Depardieu, inutile de préciser, que les auteurs ont eu de la matière. Il faut dire que l'acteur a commencé tôt, une première cuite dans la petite enfance, ce n'est pas très courant. "Un coma éthylique à la fête foraine, au rosé chaud et au blanc qu'on avait gagnés dans une tombola", confie le héros "D'Asterix et Obelix". "Je me suis réveillé trois ou quatre heures après, et je n'ai rien vu, un trou noir".

S'en suivent une série d'autres incidents alcoolisés dont certains ont d'ailleurs fait les gros titres récemment. Depardieu avoue d'ailleurs avoir consommé beaucoup d'alcool sur le tournage de certains films. "C'était la jeunesse, on passait des nuits à boire et on tournait le lendemain", indique-t-il en se souvenant du tournage des "Valseuses".

Et Depardieu, qui a décidément beaucoup de choses à raconter sur le sujet, de se remémorer la fine équipe qu'il formait avec Jean Carmet. Il revient sur un dîner dans un restaurant parisien après lequel les deux acteurs étaient tellement ivres qu'ils sont tombés de la moto de Depardieu et se sont endormis sur place. "La cuite, c'était un peu comme le mistral, c'était trois jours, neuf jours ou... neuf semaines", lance Depardieu qui confie avoir vidé une lotion pour les cheveux en pensant que c'était de l'alcool.

Toutefois pas question de le qualifier d'alcoolique. "Epicurien", admet-il. "Alcoolique, je ne le suis pas. En revanche je suis vivant, donc j'ai des états d'âme qui peuvent être très chiants pour moi". (CB)

01/02/12 12h30

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http://www.parl.gc.ca/Content/SEN/Committee/362/ille/01eva-f.htm

Honorables sénateurs, le témoin suivant est un professeur du département de criminologie de l'université Simon Fraser. Il est l'auteur de cinq livres, de plusieurs douzaines d'articles publiés dans des revues professionnelles et de nombreux articles publiés dans les journaux de vulgarisation. Il a beaucoup écrit sur les drogues et la violence. Son ouvrage intitulé High Society: Legal and Illegal Drugs in Canada, qui a été publié en 1991, faisait un examen critique des politiques antidrogues passées et actuelles.

M. Neil Boyd, professeur, Département de criminologie, université Simon Fraser

EXTRAIT:

Les capitaines de l'industrie des boissons alcoolisées sont traités comme des citoyens honorables alors que les personnes qui vendent des drogues illégales sont traitées comme des trafiquants.

Il me semble que c'est là une logique perverse.

Les personnes qui sont sanctionnées par l'opinion et à qui l'on donne le droit de faire la promotion d'une drogue sont, eux, les trafiquants. Celles qui vendent des drogues dans la clandestinité à des consommateurs consentants ne sont pas plus des trafiquants que les dirigeants de sociétés d'alcool et de tabac.

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