La Colombie-Britannique autorise les producteurs de cannabis à donner des échantillons aux détaillants
Le changement juridique entre en vigueur immédiatement et arrive à temps pour une conférence à Victoria en octobre
Économie, droit et politique
La Colombie-Britannique autorise les producteurs de cannabis à donner des échantillons aux détaillants
Le changement juridique entre en vigueur immédiatement et arrive à temps pour une conférence à Victoria en octobre
Par Glen Korstrom | 25 septembre 2023, 14h00
Des produits à base de cannabis sont posés sur une étagère dans un magasin Muse Cannabis à Vancouver | Rob Kruyt
Le gouvernement de la Colombie-Britannique a modifié aujourd'hui la réglementation pour permettre aux producteurs de cannabis agréés par le gouvernement fédéral de fournir des échantillons de produits aux détaillants agréés moyennant des frais minimes.
Il s'agit d'une excellente nouvelle pour les organisateurs de conférences, comme ceux à l'origine de la Grow Up Conference & Expo qui se tiendra à Victoria du 1er au 3 octobre. https://growupconference.com/
"Nous sommes ravis d'être la première exposition industrielle en Colombie-Britannique à bénéficier de la possibilité de permettre aux producteurs agréés de fournir des échantillons de cannabis aux détaillants agréés", a déclaré Randy Rowe, président de la société organisatrice de l'exposition.
"La possibilité de fournir des échantillons aux détaillants à des fins de marketing est un outil essentiel permettant aux marques de présenter leurs produits et d'entrer en contact avec les détaillants."
La conférence de Rowe devrait avoir ce qu'il appelle une « zone de marque et d'acheteur ».
C'est dans cette zone que les producteurs agréés, les micro-producteurs et les artisans pourront présenter leurs produits et leurs marques aux grands détaillants. Les détaillants peuvent ensuite organiser des rencontres avec des représentants de la marque pour leur donner un retour immédiat sur leurs produits.
Les changements juridiques exigent que les producteurs fournissent des échantillons de cannabis en quantités « raisonnables », qui ont peu de valeur au détail. Il n’y a pas de quantité maximale prescrite pour les échantillons de cannabis. Toutefois, les échantillons ne doivent pas être utilisés pour induire des partenariats ou d’autres avantages. Les détaillants doivent conserver une trace des échantillons qu'ils reçoivent.
Il reste illégal pour les producteurs de cannabis de donner des échantillons de produits au grand public.
Le propriétaire d'Evergreen Cannabis, Mike Babins, a déclaré à BIV qu'il étudiait la nouvelle réglementation mais qu'il ne savait pas encore dans quelle mesure elle pourrait modifier les produits qu'il vend.
"Cela ne changera probablement pas ce que je vends, mais cela pourrait nécessiter davantage de paperasse", a-t-il déclaré.
twitter.com/glenkorstrom
Déjà Vu ! Avec les pharmaceutique$
Déjà Vu ! Avec les pharmaceutique$
Elles donnaient des échantillons de médoc$
pour inciter les médecins achetable accros aux pots-de-vin et bénéfices marginaux
à pusher leurs produits dangereux, mortels, addictifs auprès de malades.
Idem pour les pharmaciens !
Qui se fiaient aveuglément aux informations sur les dépliants publicitaires des compagnies.
Informations non vérifiées ni répétées par des chercheurs indépendants !
La médecine est une putain et son maquereau c'est le pharmacien !
de Renaud issue de Étudiant - poil aux dents
https://youtu.be/kHorvQ7AZ38
Rappelons que les/des médecins sont responsable de la $urprescription et la surconsommation
de médicaments psychotropes de pharmaceutique$ qui ont rendu accro et tué des malades.
Genre: Si ce n'est pas moi qui leur en fourni, prescrit, ils vont aller voir ailleurs. (Preuve qu'ils sont plusieurs !)
C'est sa réponse, réaction, quand il a été confronté aux images de caméra cachée
après qu'il ait prescrit des médocs sans examen !
La $anté Économique des pharmaceutiques et actionnaires, avant La Santé Publique !
Le viol du Serment "De Tout Faire Pour Soulager La Souffrance" pour le fric !
Aussi:
https://habarirdc.net/medecin-pot-de-vin-ecouler-produits-pharmaceutiques/
Des pots-de-vin versés aux médecins pour écouler les produits pharmaceutiques ?
Santé
Société
Par Costa Tshinzam le 8 juillet 2021
C’est devenu monnaie courante à Lubumbashi : les dépôts pharmaceutiques sollicitent médecins et infirmiers pour les inciter à ne prescrire que les produits portant leurs marques. La technique est simple : organiser une conférence-débat au cours de laquelle les médecins parlent des maladies courantes du milieu. Des tenanciers de pharmacies proposent leurs produits comme unique solution aux problèmes, de telle sorte que les médecins puissent diriger tous leurs patients vers ces pharmacies.
Le prix des produits est souvent qualifié d’« abordable », mais ce qu’on ne dit pas c’est qu’il y a aussi un prix pour les médecins. C’est pour qu’ils n’oublient pas les marques, les molécules, et les adresses des fournisseurs. Ces derniers couvrent de présents leurs hôtes. Les plus visibles sont de simples stylos et des ordonnances estampillées aux marques des producteurs de médicaments… On ne saura peut-être pas facilement ce qui se trame en dessous. Et l’éthique et la déontologie de leur profession dans tout ça ?
« Ils m’ont appelé un jour et m’ont remercié et remis une enveloppe pour avoir constaté le nombre galopant de prescriptions que j’ai signées ou dirigées vers leurs pharmacies », confie une femme médecin. Je n’indiquerai pas son nom. Mais ce témoignage, alors que je bavardais sur la question, ne m’a pas étonné. Le médecin explique : « Je sais que c’est contre mon éthique mais face aux réalités existentielles, on n’a pas toujours le choix. »
Et c’est tout le problème. Sauf qu’à ce niveau-là, je me demande si certaines molécules ne risquent pas d’être prescrites en pensant à des gratifications. On joue avec des vies, non ?
Les pharmaciens traditionnels emboîtent le pas aux modernes
La pratique est très lucrative. Des fabricants ou représentants des firmes de produits traditionnels n’entendent pas rester trop en retard. Ils remplissent aussi leurs carnets d’adresses avec des personnels soignants et récompensent ceux qui signent plus de prescriptions, pour permettre l’écoulement de leurs produits. Dans Lubumbashi où les gens savent lister des maladies soignables à l’hôpital et ailleurs, quoi de plus normal que de connaître des « tradi » !
Freddy, un agent commis au marketing d’un produit traditionnel, explique le discours sur « les limites de la médecine moderne ». Pour des maladies comme « le diabète, nous incitons les médecins à prescrire nos produits, en leur donnant une prime d’encouragement ». Cela n’étonne pas non plus, n’est-ce pas ? Et la santé dans tout ça ?
Non, ne dites pas qu’on s’en fout de la santé. Car ce sont des vies que notre système de santé piège avec une si grande légèreté. C’est en réalité criminel. Combien de vies seulement sont mises en danger à cause de cette corruption ?
C’est devenu monnaie courante à Lubumbashi et malheureusement ailleurs dans le monde !;O)
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