"Les bienfaits de l'esclavage" : le révisionnisme s'invite dans les manuels scolaires des enfants en Floride

Ron DeSantis est notamment à l'origine de la loi "Don't say gay" et du "Stop Woke Act" en Floride.

"Les bienfaits de l'esclavage" : le révisionnisme s'invite dans les manuels scolaires des enfants en Floride

Ron DeSantis est notamment à l'origine de la loi "Don't say gay" et du "Stop Woke Act" en Floride.

Ron DeSantis est notamment à l'origine de la loi "Don't say gay" et du "Stop Woke Act" en Floride. EPA - ADAM DAVIS
Société, Monde
Publié le 24/07/2023 à 18:46
MANON LOZANO

Un pas de plus vers la dystopie. Ce mercredi 19 juillet 2023, l'Etat de Floride a poursuivi son projet de réforme de l'enseignement public. Une nouvelle réglementation, donnant une approche révisionniste de l'histoire Afro-Américaine, a été votée par le conseil de l'Education de Floride.

L'ultra conservateur et gouverneur de Floride, Ron DeSantis, a encore frappé. Après s'être attaqué à l'identité de genre dans les écoles ainsi qu'à la théorie critique de la race, le "Donald Trump avec filtre" a voulu "corriger" l'histoire afro-américaine des Etats-Unis.

Un document de 216 pages niant les violences raciales anti-Noirs

C'est le conseil de l'éducation de Floride qui a validé cette nouvelle réglementation, ce mercredi 19 juillet 2023. Selon The Guardian, celle-ci a réexpliqué, dans un document de 216 pages, comment l'histoire afro-américaine devrait être enseignée dans les manuels scolaires.

Selon ces nouvelles directives éducatives, une séquence est dédiée aux prétendus bienfaits de l'esclavage. Les Noirs auraient ainsi pu "développer des compétences qui, dans certains cas, pouvaient être appliquées pour leur bénéfice personnel".

Par ailleurs, le document évoque notamment les "actes de violence perpétrés par les Africains-Américains". Un passage qui comprendrait les émeutes d'Atlanta en 1906 où au moins une douzaine d'Afro-Américains avaient été tués après une rumeur de viols sur des femmes blanches. Le massacre de Tulsa en 1921, l'un des plus grands lynchages de l'histoire américaine et où des centaines de Noirs avaient été massacrés.

Du révisionnisme historique
La vice-présidente des Etats-Unis, Kamala Harris s'est rendue dans le Sunshine State (NDLR, surnom de la Floride) ce vendredi 21 juillet pour dénoncer ces nouvelles normes éducatives : "Dans le monde entier, les gens connaissent notre histoire, […] et nous enverrions nos enfants à leur rencontre, ignorants de leur propre histoire ? C'est construire un handicap pour nos enfants", a-t-elle déclaré, selon Slate.

La Florida Education Association, a qualifié ce programme de "mauvais service rendu aux élèves de Floride" et de "grand pas en arrière". Andrew Spar, son président, a déclaré que "les élèves de Floride méritent une éducation de classe mondiale qui les prépare à devenir des adultes prospères, capables de guérir les divisions de notre pays au lieu de les aggraver".

Commentaires

Racisme/Misogynie/Homophobie/Ségrégation

Racisme/Misogynie/Homophobie/Ségrégation acceptable évitable
qui comme le marché illicite organisé n'ont jamais été éliminés !

Les Con-servateur ce n'était pas suffisant il y a des Ultra Con-servateur.
Un genre de caq ultra-conservateur
"Anti Justice Égale Pour Tout Le peuple Du Québec"

La prohibition internationale du cannabis a été imposé
par des dealmakers cupides, racistes, misogynes, homophobes, cannaphobes
propriétaires de compagnies devenu des fléaux mondiaux
le pétrole/plastiques, les médicaments, alcool et tabac, etc. ,
à qui le cannabis enlevait d'énormes profits et des femmes blanche.

Après l'abolition de l'esclavage dès que les noirs ont exigé les mêmes droits que les pastels.

Les racistes des États-Unis on fait comme Hitler avec les Juifs
ils ont inventé des lois pour les criminaliser les emprisonner les tuer,
en refaire des esclaves des non humains à louer aux dealmakers blanc !
Idem pour les Premières Nations ! L'assimilation ou la Destruction !

Inventé une loi discriminatoire dangereuse !
Qui exclus 200 000 adultes légaux de 18-21 ans du Québec du cannabis légal SQDC
les mettant en contact avec les organisations criminelles aux médoc$ dangereux,
leur enlevant le droit de choisir de prendre des risques (Accordés pour les Sports/Loisirs/Sexe/Religion/Etc.)
les privant de La Légalisation Harmonisation Canadienne efficace !

C'est ce que Legault et son ministre de l'injustice Jolin-Barrette
ont fait en 2018 en créant une loi spéciale modifiant augmentant l'âge de 18 ans
pour être reconnu comme un adulte légal à 21 ans, pour le cannabis seulement.

Préférant se fier aux sondages d'opinions des associations de médecins/psychiatres, pro médoc$ cannaphobes
et non aux recherches scientifiques double aveugle, sur des humains à qui on a fourni les cannabis !

Pour le cannabis, pas pour les drogues mortelles, cancérigène à dépendance très forte qu'il protège et incite
qui nous coutent plus cher en méfaits sur la santé publique/physique/mentale/économique
que les taxes qu'ils rapportent !

Des fléaux mondiaux acceptable, évitable. qui sont resté légaux à 18 ans:
Pour l'achat, la possession, la combustion/consommation*, la production;
pour le tabac cancérigène mortel addictif avec ses 13 000 morts annuelles;
18 ans pour l'alcool un dépresseur psychoactif, cancérigène, mortel, addictif.

Trudeau à Légalisé pour faire cesser la criminalisation des adultes légaux !
Il devait respecter l'autonomie des provinces leurs choix.

Seulement une province lamentable parmi les 10 Provinces et 3 Territoires
a refusé la Légalisation Harmonisation Canadienne efficace pour leurs adultes légaux de 18-19 ans !

Cette province, le Québec n'a atteint qu'un seul de ses buts et objectifs concernant la légalisation:
tenir sa promesse électoraliste de criminaliser discriminer les 200 000 adultes légaux
et les mettre en contact avec les organisations criminelles
à qui la caq fourni 20 MILLION$ trimestre non taxée depuis 2018.

* La consommation d'alcool par des enfants de 6-12 ans et moins est légale !
Dont le cerveau ne sera complété qu'à 23-25 ans (utilisé dans la propagande cannaphobe).
Malgré les méfaits reconnus scientifiquement aucun âge minimum de consommation n'est exigé !?

« Ennuis du REM: la commissaire scolaire Sophie De Vito tient des propos racistes anti-francophones »

https://www.journaldequebec.com/2023/08/04/la-commissaire-sophie-de-vito...

« JE m'excuse ? »
Si « grammaticalement, la forme «je m'excuse» est correcte,
on considère qu'il est un peu impoli de s'excuser soi-même »

Il faut demander aux personnes offensées de nous excuser, nous pardonner nos offenses comme nous... !
C'est la faute de la drogue ses propos offensants ? Zappiste

Je reconnais que mes propos étaient offensants et ne reflétaient pas les valeurs que je m’efforce de défendre.

Ennuis du REM: la commissaire scolaire Sophie De Vito tient des propos racistes anti-francophones
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Québec
PATRICK BELLEROSE
Vendredi, 4 août 2023 09:42

MISE À JOUR Vendredi, 4 août 2023 10:20

Le nouveau Réseau express métropolitain a connu des ennuis depuis son lancement? C’est parce qu’il a été construit par des francophones, selon une commissaire scolaire anglophone.

• À lire aussi: EN VIDÉO | Le REM «probablement frappé par la foudre»!

• À lire aussi: Troisième jour, troisième panne pour le Réseau express métropolitain

«Comment ça se passe avec le REM? Laissez-le aux francophones pour le faire fonctionner. Les Anglos et les immigrants l’auraient fait fonctionner correctement. Tout devait être fait en français», a écrit Sophie De Vito hier sur la plateforme X, anciennement Twitter.

Ennuis du REM: la commissaire scolaire Sophie De Vito tient des propos racistes anti-francophones

Mme De Vito est une élue de la commission scolaire English Montreal School Board. Elle y est notamment membre du comité sur la gouvernance et l’éthique. Sur sa page Facebook, elle se présente également comme une militante pour les droits des anglophones.

Devant la controverse, elle a depuis retiré son message.

Écoutez la rencontre Lorange-Montpetit avec Philippe Lorange, bachelier en science politique et philosophie à l'UDM via QUB radio :

Excuses

En fin d’avant-midi, vendredi, le ministre de la Langue française, Jean-François Roberge, a exigé des excuses de la part de la commissaire. «Ces propos sont indignes et inacceptables. Mme De Vito doit retirer ses propos et s’excuser à tous les francophones», a-t-il écrit sur X.

Au même moment, la commission scolaire English Montreal School Board faisait parvenir ce message de Mme De Vito au Journal: «Je m’excuse sincèrement pour mon tweet inapproprié que j’ai publié plus tôt. Je reconnais que mes propos étaient offensants et ne reflétaient pas les valeurs que je m’efforce de défendre. Pour l’avenir, je m’engage à construire des ponts pour tous les Québécois».

Aucun message public n’a toutefois été partagé sur les réseaux sociaux de la commissaire.

Le chroniqueur David Santarossa s'est prononcé sur le mépris contre le Québec, disponible en balado et en audiovisuel via la plateforme audio QUB radio :

Le ministre de la Justice Simon Jolin-Barrette a aussi dénoncé les propos de la commissaire, plus tard dans la journée.

Rappelons que les commissions scolaires anglophones ont remporté une victoire importante devant la Cour supérieure cette semaine. Elles pourront continuer d’élire des commissaires parmi la population anglophone, un droit aboli du côté francophone.

À Concordia aussi

Il s’agit d’une dure semaine pour les francophones au Québec. Il y a quelques jours, le professeur à l’Université Concordia Gad Saad affirmait dans un populaire balado américain que le français québécois est «un affront à la dignité humaine».

L’Université Concordia s’est depuis dissociée de ses propos.

Pendant qu'une ministre terroriste affirme à tort que les Anglos ne peuvent pas être soignés
dans les hôpitaux du Québec si ils ne parlent pas français:

https://www.tvanouvelles.ca/2023/07/14/victime-de-viol-a-montreal-un-hop...

Victime de viol: l'Hôpital général de Montréal la refuse... car elle est francophone

L'Office québécois de la langue française a annoncé l'ouverture d'une enquête

Michael Nguyen et Camille Payant| Publié le 14 juillet 2023 à 11 h 11 - Mis à jour le 14 juillet 2023 à 14 h 03
Photo Agence QMI, Joël Lemay

Une victime de viol à Montréal a dû être trimballée dans trois hôpitaux différents pour effectuer une trousse médico-légale, le premier établissement refusant de procéder parce qu’elle est francophone, a révélé un juge. L'Office québécois de la langue française a annoncé l'ouverture d'une enquête tandis que le CUSM reconnaît qu'il s'agit d'une situation «inacceptable».

«Le premier [l’Hôpital général de Montréal] refuse de faire l’examen puisque sa langue maternelle est le français. [Les policiers] l’amènent à un second hôpital qui la refuse également puisqu’aucune trousse médico-légale n’est disponible à cet endroit. C’est finalement dans un troisième hôpital que l’examen sera fait», a expliqué le juge Alexandre Dalmau, ce matin, au palais de justice de Montréal.

Écoutez le segment Tout savoir en 24 minutes avec Florence Lamoureux et Jean-François Baril via QUB radio :

Le magistrat relatait une agression sexuelle survenue à l’été 2020, quand l’accusé Martin Jolicoeur, un résident de Lachine âgé de 45 ans, s’en était pris à une connaissance pendant le sommeil de cette dernière. Et ce, même si elle avait expressément affirmé qu’elle ne voulait pas de rapprochements.

Martin Jolicoeur, un résident de Lachine âgé de 45 ans, a été reconnu coupable d'avoir agressé sexuellement une connaissance à l'été 2020.
PHOTO FACEBOOK / Martin JolicoeurFacebook

Martin Jolicoeur, un résident de Lachine âgé de 45 ans, a été reconnu coupable d'avoir agressé sexuellement une connaissance à l'été 2020. PHOTO FACEBOOK / Martin Jolicoeur

Se sentant «trahie et sale, pas écoutée et respectée», la femme avait quitté les lieux. Elle s’est mise à chercher un poste de police, mais sans succès, a relaté le juge. La femme, dont l’identité est protégée par la cour, a alors appelé le 911.

«On a couru un peu les hôpitaux»

«Des patrouilleurs l’ont recueillie sur la rue, a expliqué le juge. Elle leur raconte ce qui est arrivé. Elle accepte de les accompagner à l’hôpital pour un examen médico-légal.»

C’est là que les choses se sont gâtées pour la femme, qui est francophone, alors qu’elle avait la nausée, qu’elle était très embrouillée et qu’elle n’allait pas bien, selon son témoignage lors du procès qui s’est tenu l’an passé.

«On a couru un peu les hôpitaux, a-t-elle dit. Le premier hôpital [l’Hôpital général de Montréal] m’a dit qu’il ne pouvait pas me donner du service [en français]. Au deuxième, on m’a dit qu’il n’y avait pas de trousse, après m’être enregistrée [à l’accueil].»

Photo Agence QMI, Joël Lemay

Ses propos ont été corroborés par le policier qui l’accompagnait.

«Malheureusement, puisque madame parle en français, le Montreal General décide de nous refuser et de nous rediriger au CHUM», avait témoigné l’agent Marc-André Lacroix.

C’est seulement à l’hôpital Notre-Dame, près de deux heures plus tard après l’arrivée des policiers, que la femme a pu être prise en charge par une travailleuse sociale.

Depuis, la femme a subi de nombreux torts, dont de l'insomnie et de l'anxiété, a noté le juge.

«L’événement a mené à une baisse d’estime personnelle, a-t-il également mentionné. Elle vit des sentiments de trahison, d’incompréhension, de colère et de honte, ainsi que de la peine.»

Indignation

Mis au courant de l’affaire, des organismes voués à la protection du français n’ont pas caché leur indignation face à cette situation.

«C’est la pire des raisons à donner, a mentionné Paul Brunet du Conseil de la protection des malades. C’est complètement illégal. [...] Les services en français, c’est obligatoire. La langue d’usage est le français.»

De son côté, le président d’Impératif français Jean-Paul Perreault affirme qu’il s’agit malheureusement «d’un témoignage parmi tant d’autres» en matière de service en français dans les centres de santé montréalais. Il déplore une «situation incroyablement baveuse et provocante de la part de l’hôpital». Le traitement qu’a reçu la victime de viol est selon lui «inexcusable».

«C’est invraisemblable, il n’y a pas de mot pour décrire à quel point c’est scandaleux», affirme de son côté Maxime Laporte, président du Mouvement Québec français.

Le cabinet du ministre de la Langue française, Jean-François Roberge, a pour sa part qualifié cette situation «d’inacceptable» et confirme que l'Office québécois de la langue française [OQLF] allait enquêter sur la disponibilité des services en français à cet hôpital.

«Les faits rapportés par le juge sont extrêmement troublants. Nous sommes de tout cœur avec la victime. Tous les hôpitaux au Québec doivent offrir des services en français», a réagi, par écrit, le gouvernement.

«Inacceptable»

À Montréal, les victimes d’agression sexuelle doivent se rendre dans un centre désigné selon leur langue maternelle : l’hôpital Général de Montréal pour les anglophones, et l’hôpital Notre-Dame pour les francophones.

Ainsi, selon Deborah Trent, directrice générale du Centre pour les victimes d’agression sexuelle de Montréal, la femme a été conduite au mauvais endroit, puis référée à une mauvaise place.

« Elle a été mal référée et ça ce n’est pas acceptable, a-t-elle commenté. Est-ce qu’à ce moment-là [à l’hôpital Général de Montréal], on aurait dû faire une exception pour cette personne-là ? Probablement. Mais pourquoi ça n’a pas été fait ? Je ne peux pas vous dire. »

Contacté par Le Journal, le Centre universitaire de santé McGill [CUSM] a reconnu qu'il s'agissait d'une situation inacceptable.

«Les faits rapportés font état d'un événement inacceptable et incompatible avec les responsabilités, les valeurs et la mission du CUSM. Nous ne refusons jamais aucun patient. Nous sommes fiers d’offrir, dans tous nos établissements, des soins et des services en français et en anglais selon la préférence du patient », a dit la Dre Lucie Opatrny, présidente-directrice générale du CUSM.

Elle a précisé qu'en dehors «sous aucun prétexte, nous ne refusons de traiter une personne qui préfère demeurer à l'Hôpital général de Montréal, peu importe la langue».

Une enquête a d'ailleurs été enclenchée à l'interne, a-t-elle ajouté.

Pas de clémence

Le violeur avait été arrêté et à la suite de son procès, il avait été déclaré coupable d’agression sexuelle. Et même s’il espérait s’en sortir avec un sursis, le juge a plutôt décidé de l’envoyer en prison pour 18 mois, malgré sa réhabilitation.

«Le délinquant a transgressé les limites de la victime, alors qu’elle était vulnérable», a entre autres dit le juge.

Une fois sorti de prison, Jolicoeur devra respecter une probation de trois ans. Il sera également inscrit au registre des délinquants sexuels pour deux décennies.

Jolicoeur était défendu par Me Alan Guttman, tandis que Me Geneviève Rondeau-Marchand agissait pour la Couronne.

-Avec la collaboration de Nicolas Lachance

LE DÉROULEMENT DES ÉVÉNEMENTS
5h00: Rue Notre-Dame, à Lachine

La victime cherche un poste de police. Elle appelle finalement le 911 et des patrouilleurs la recueillent sur la rue.

5h38: Hôpital Général de Montréal

La victime, accompagnée d’agents du Service de police de la Ville de Montréal, se rend à cet hôpital afin d’obtenir une trousse médicolégale. Même s’il s’agit d’un centre désigné pour les agressions sexuelle, elle se voit refuser l’examen «puisque sa langue maternelle est le français» et on la redirige vers le Centre hospitalier de l'Université de Montréal (CHUM).

6h02: CHUM

Une fois arrivés au CHUM, la victime et les policiers apprennent que le centre désigné se trouve plutôt à l’hôpital Notre-Dame. Aucune trousse médicolégale ne s’y trouve.

6h47: Hôpital Notre-Dame

Les policiers accompagnent la victime, qui est finalement prise en charge par la travailleuse sociale de l’hôpital. Elle pourra finalement passer tous les examens nécessaires.

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