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NOTRE MISSION
L‘AQLPA est un regroupement indépendant de personnes physiques et morales travaillant activement à améliorer la qualité de l’atmosphère au Québec. Nous avons pour objectif principal de favoriser la mise en place de solutions concrètes et adaptées à la réalité des besoins des parties prenantes, par l’acquisition de connaissances, l’éducation et la sensibilisation.

Afin de réaliser sa mission, l’AQLPA :

Assure une veille stratégique sur les questions liées à la qualité de l’air, les changements climatiques et les polluants atmosphériques;
Sensibilise et informe les intervenants du milieu face aux méfaits de ce type de pollution: citoyens, groupes, organismes, industries, commerces et gouvernements;
Fait la promotion d'idées, de stratégies et de recommandations visant la réduction des polluants;
Mobilise les intervenants du milieu autour de projets communs et rassembleurs favorisant ainsi une concertation et des échanges constructifs;
Représente et fait connaître les intérêts, les choix, les préoccupations ou encore les positions des intervenants du milieu auprès des décideurs;
Collabore à des accords communs;
Participe activement à tout mandat confié par les différents paliers de gouvernements;
Élabore un centre de documentation et offre un service de conférences.

NOS VALEURS
Solidarité
Derrière toute décision, il y a des gens;
Chaque geste, chaque action posée a des impacts sur des milliers d’êtres humains : des voisins, des amis, nos enfants;
Contribuer à leur bien-être, c’est aussi contribuer au nôtre.
Intégrité
La cohérence entre ce qui est affirmé et ce qui est fait.

Responsabilité
Faire primer le principe de précaution dans certaines circonstances;
Nécessité dans tous les cas d’agir et de ne plus reporter à demain et/ou balayer aux générations futures.

NOTRE VISION
L’AQLPA est déterminée à demeurer une référence citoyenne incontournable au Québec, en matière d’actions et de solutions, quant aux enjeux liés à la pollution atmosphérique.

L’humain est au cœur de tous les enjeux que nous défendons. La santé est au premier plan.
La pérennité des ressources pour les générations futures doit être défendue.
L’écologie stimule l’économie : protéger l’environnement crée des emplois.

NOTRE HISTORIQUE - PLUS DE 30 ANS DE VICTOIRES
Les actions de l’AQLPA depuis plus de 30 ans prouvent sa pensée et son engagement pour un environnement sain et une meilleure qualité de vie des Québécoises et des Québécois.
1982 - L’Association québécoise de lutte contre les pluies acides (AQLPA) voit officiellement le jour à Montréal.
1988 - Les actions de l’AQLPA dans le dossier des pluies acides conduisent à un traité de réduction de près de 50% des émissions d’oxydes de soufre dans l’est du continent.
1990 - L’AQLPA forme la « Coalition québécoise pour un débat public sur l’énergie ». Cela mène à la création de la Régie de l’énergie et de l’Agence de l’efficacité énergétique et à la réalisation d’une première politique énergétique au Québec.
1997 - Projet pilote « Un air d’avenir » qui vise à jeter les bases d’un programme permanent et obligatoire d’inspection et d’entretien des véhicules automobiles au Québec.
2002 - Centrale du Suroît : la campagne de l'AQLPA donne naissance à la Coalition Québec Vert Kyoto (CQVK) et se conclut plus tard (2004) par l'abandon du projet et déclenche un virage important vers la production d’énergies vertes.
2004 - Organisation, par l’AQLPA et la CQVK, de la plus importante manifestation à caractère environnemental à ce jour au Québec : 7500 personnes sur le parvis d'Hydro Québec réclament l'abandon du Suroît.
2005 - L’AQLPA et son président sont victimes d’une poursuite baîllon.
2009 - Les efforts de l'AQLPA et ses partenaires résultent en l’adoption de la loi 9 visant à contrer les poursuites abusives.
2009 - Le programme Faites de l'air! / Adieu bazou prend son envol et recycle de vieilles voitures polluantes au-delà des attentes fixées.
2009 - L’AQLPA est la principale instigatrice du mouvement citoyen pour un moratoire sur l'exploration et l'exploitation des gaz de schiste.
2012 - L'AQLPA demande l'application du principe de précaution face à l’exposition aux ondes électromagnétiques.
2012 - Lancement du projet pilote CHANGEZ D'AIR! qui vise le retrait et le remplacement des vieux appareils de chauffage au bois.
2013 - Lancement du site web AutoAstuce.org - une plateforme de sensibilisation sur l'écoconduite.
2013 - Publication, en collaboration avec Greenpeace, d'un imposant rapport sur la venue au Québec du pétrole lourd de l'Ouest.

30 ANS DE LUTTES VICTORIEUSES
Dans le cadre des activités du 30e anniversaire de l'AQLPA (2012-013), André Bélisle, président et cofondateur, a rédigé un texte racontant nos nombreuses luttes... toutes victorieuses. Le texte a été publié dans la revue L'Action Nationale en février 2012.

À SURVEILLER : La rédaction d'un livre qui relatera de façon beaucoup détaillée cet historique est en cours de rédaction. Il devrait être publié en 2015.

ANDRÉ BÉLISLE INTRONISÉ AU CERCLE DES PHÉNIX EN 2014
Un aigle chez les verts - vidéo commémorative réalisée dans le cadre de l'intronisation d'André Bélisle au Cercle des Phénix.

LE CONSEIL D'ADMINISTRATION
Le conseil d'administration de l'AQLPA est composé de personnes dynamiques ayant des compétences spécifiques essentielles à nos actions. L'implication des membres du conseil d'administration est un élément clé de la crédibilité de l'AQLPA et de son leadership.

Nom Poste
André Bélisle Président
Vincent François Vice-président
Marie-Christine Tremblay Administratrice
Jean-Claude Roy Administrateur
Pierre Véronneau Administrateur

L'ÉQUIPE
L'AQLPA compte sur une équipe compétente pour la réalisation de ses actions.

Jocelyne Lachapelle, directrice générale par intérim
Lorraine Lachapelle, secrétaire
André Bélisle, président

MEMBRES ET SYMPATHISANTS
L'AQLPA compte sur l'appui de plus de 800 membres.

Par le biais de nos réseaux sociaux et notre infolettre mensuelle, nous rejoignons plus de 30 000 personnes.

Appuyez l'action de l'AQLPA - Devenez membre
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https://www.youtube.com/watch?v=Sw3Wixpq6us
Entretien avec André Bélisle de l'AQLPA "sur l'échec du mouvement environnemental" Partie 1

www.groupmobilisation.com
Dans cette première partie d'une entrevue avec André Bélisle de l'AQLPA, celui-ci nous fait part de son analyse et de ses critiques face à Steven Guilbeault, ex-environnementaliste, cofondateur d'Équiterre et nommé ministre de l'Environnement en octobre dernier.

Lors de cette entrevue, André met en lumière trois dossiers dont "La bataille du Suroît", "Le projet Rabaska: la bataille contre le port méthanier à Lévis" et "Le plan de lutte aux changements climatiques de l'Alberta en 2015" dans lesquels Steven Guilbeault est intervenu en tant que militant écologiste.

Autres entretiens avec André Bélisle de l'AQLPA
https://www.youtube.com/results?search_query=Entretien+avec+Andr%C3%A9+B...

Commentaires

Bâillon sur un groupe écolo l'AQLPA

Une SLAPP sua yeule qui ajoute l'insulte à l'injure !
Deux synonymes valent mieux qu'un.

https://www.ledevoir.com/environnement/116185/baillon-sur-un-groupe-ecolo

Bâillon sur un groupe écolo

«Ce qui est problématique avec les SLAPP, estime Jean-François Girard, c'est qu'il devient très difficile pour les petits organismes de se défendre. Même si l'accusation se révèle sans fondement, il y a des frais que l'intimé doit assumer avant d'arriver devant le juge. Et ça coûte très cher au Québec.»

[Accueil] [Environnement]
Guillaume Bourgault-Côté
18 août 2006
Environnement

L'AQLPA deviendra-t-elle la première victime québécoise d'une SLAPP, ce type de bâillon imposé à la parole publique? L'acronyme anglais désigne aux États-Unis une «poursuite stratégique contre la mobilisation publique». On s'en sert généralement pour désigner une poursuite «abusive» intentée par une entreprise contre des groupes de citoyens qui dénoncent ses activités sur la place publique. L'objectif: faire taire les militants — qui n'ont pas nécessairement les fonds pour se défendre — et faire peur à ceux qui voudraient les soutenir.

«Le juge tranchera, mais la poursuite d'AIM [American Iron & Metal] a toutes les apparences d'une SLAPP», avance prudemment l'avocat Jean-François Girard, président du Centre québécois du droit de l'environnement (CQDE). Surtout, cette poursuite a toutes les conséquences: mise à découvert par le retrait de son assureur, Promutuel Dorchester (PD), l'AQLPA est maintenant incapable de trouver une nouvelle compagnie d'assurances. Les refus s'accumulent dès que le groupe fait état d'une poursuite pendante. (Le Devoir a pu constater que les assureurs retirent leurs soumissions.)

En janvier dernier, l'AQLPA a reçu une lettre indiquant que PD n'entendait pas renouveler, le 1er mars, le contrat d'assurance administrateur du groupe: ses «activités n'entrent plus dans nos normes d'acceptation», y lit-on. En mars, une deuxième lettre informe le groupe écologiste que cette décision est rétroactive au mois de juin 2005, soit un mois avant le début des procédures judiciaires intentées par AIM. L'assureur précise dans cette «lettre de négation de couverture» que la «société n'entend vous accorder aucune protection» en regard «des actes posés». On annonce par la suite que le contrat d'assurance générale ne sera pas renouvelé au moment de son expiration, un mois plus tard.

«Sans assurance administrateur, nous ne pourrons plus prendre la parole publiquement de crainte d'être poursuivis, affirme André Bélisle. Et sans assurance générale, ce sont toutes nos activités d'éducation et de sensibilisation qu'on devra arrêter. C'est le début de la dégringolade» pour un des plus vieux groupes écologistes au Québec (il existe depuis 24 ans), pense M. Bélisle. L'AQLPA tente maintenant de faire respecter par la voie juridique les contrats signés avec Promutuel Dorchester.

Balai juridique

Pourtant, l'AQLPA affirme n'avoir jamais fait de demande d'indemnisation en près de dix ans de liens avec cette compagnie d'assurances (qui a décliné toute demande d'entrevue). La seule raison expliquant cette situation, pense M. Bélisle, c'est la poursuite d'AIM. Il y a plus d'un an, l'AQLPA avait obtenu une injonction en Cour supérieure pour faire arrêter des travaux entrepris par le ferrailleur à Lévis. Celui-ci y construisait une usine de déchiquetage de carcasses de voitures sans permis du ministère du Développement durable, de l'Environnement et des Parcs (MDDEP). Cet ancien dépotoir était contaminé et des lixiviats s'écoulaient dans la rivière Etchemin, à proximité.

De nombreux avis d'infraction ont par la suite été délivrés à l'entreprise par le ministère. La Cour supérieure a pour sa part reconduit l'injonction à 15 reprises. Et il y a deux semaines, un jugement de ce même tribunal dans une autre requête a confirmé que les craintes exprimées publiquement par l'AQLPA étaient «justifiées».

AIM a néanmoins riposté durement: une poursuite de cinq millions en dommages et intérêts contre 11 personnes et organismes ayant pris part à la protestation contre la construction de l'usine de Lévis, dont une entreprise concurrente d'AIM, la Société nationale de ferraille (SNF). AIM allègue que la SNF finance secrètement l'AQLPA et que l'action «commandée» du groupe écologiste a nui à l'image de l'entreprise. Les intimés ont récemment réagi en lançant deux contre-poursuites.

«Mais même si on gagne le procès, le mal est fait, indique André Bélisle: nous sortons très affaiblis de ce processus.» Jusqu'ici, l'équivalent d'un an de travail d'un employé de l'AQLPA a été consacré à ce dossier, qui a coûté 430 000 $ à l'AQLPA et à la SNF. «Ce qui est problématique avec les SLAPP, estime Jean-François Girard, c'est qu'il devient très difficile pour les petits organismes de se défendre. Même si l'accusation se révèle sans fondement, il y a des frais que l'intimé doit assumer avant d'arriver devant le juge. Et ça coûte très cher au Québec.» En mars dernier, le Sierra Club du Canada et le Regroupement national des conseils régionaux de l'environnement du Québec s'étaient joints à l'AQLPA et au CQDE pour exprimer leur crainte que ce type de recours ne devienne courant pour faire taire les militants écologistes.

D'ailleurs, en mai, une compagnie de Sherbrooke, Ferti-Val inc., a intenté une poursuite de 700 000 $ contre le porte-parole des citoyens opposés à ses activités (du recyclage de matières résiduelles). Sébastien Lussier avait déclaré au journal La Tribune que l'usine de l'entreprise (plusieurs fois réprimée par le MDDEP pour odeurs nauséabondes) dégageait une «odeur de putréfaction». L'affaire est devant les tribunaux.

Aux États-Unis, près de la moitié des États offrent maintenant une protection particulière contre les victimes de SLAPP. Le CQDE s'apprête pour sa part à déposer au MDDEP des recommandations à cet égard puisque le ministère aurait exprimé son intérêt à se pencher sur cette question. «Il faut voir ce qui existe déjà dans la loi québécoise avant de bouger, mentionne M. Girard. Il ne faut pas oublier non plus que, parfois, ce qui paraît être une SLAPP est pleinement justifié.» Et que le droit de parler des citoyens n'exclut pas le droit des entreprises de se défendre... et vice-versa.

https://www.ledevoir.com/environnement/117782/mort-clinique-de-l-aqlpa

Mort Clinique de l'AQLPA
[Accueil] [Environnement]
Louis-Gilles Francoeur
9 septembre 2006
Environnement
Ce groupe environnemental, fondé il y a 24 ans, est actuellement «dans le coma», a précisé au Devoir son président, André Bélisle, un militant écologiste de la première heure au Québec.

«Nous devrons cesser nos activités de toute sorte et même fermer notre local d'ici une semaine si, d'ici là, on continue d'être boycottés par les compagnies d'assurances, a ajouté M. Bélisle. Nous, on n'a plus un sou, même si on ne doit rien à personne. On n'est pas en faillite, mais on est paralysés parce que sans assurance en responsabilité civile, on ne peut plus faire de cliniques d'inspection des véhicules, on ne peut plus participer à la Journée sans voiture à Montréal, on ne peut plus participer à des expositions, à des activités de sensibilisation ou d'éducation populaire, on peut difficilement assumer le risque de garder un bureau ouvert sans assurance et on ne peut plus rien dire malgré notre charte en raison des risques qu'il faudrait assumer personnellement. Nous avons essayé toutes les compagnies d'assurances mais aucune ne veut nous assurer. C'est à se demander où est leur conscience sociale. Pire, en nous refusant, les compagnies d'assurances nous condamnent alors que les tribunaux nous donnent raison depuis plus d'un an. Mais elles se défilent en raison de la poursuite d'AIM de cinq millions intentée contre notre groupe alors que les tribunaux nous ont donné raison à 16 reprises. Et dans un jugement, le 21 juillet, la Cour supérieure a même statué que nous étions légitimés dans nos prétentions.»

Au printemps dernier, l'assureur de l'AQLPA, la société Promutuel Dorchester, avisait le groupe environnemental qu'elle annulait même rétroactivement la partie de la police en vigueur pour tout ce qui avait trait à des poursuites en libelle et diffamation. Par plusieurs injonctions, l'AQLPA a pourtant empêché cette entreprise de construire illégalement une déchiqueteuse de carcasses de voitures sur un terrain contaminé de Lévis.

«J'ai l'impression qu'on est devant une SLAPP», a expliqué hier au Devoir l'avocat Julius Grey, qui se dit prêt à aider l'AQLPA à se défendre: «Je vais tout faire pour les aider car on vit dans une démocratie de plus en plus difficile, où le coût de la participation des citoyens à la vie publique et le coût de se défendre contre les poursuites abusives deviennent hors de portée.»

Les SLAPP (strategic lawsuits against public participation), un acronyme états-unien pour désigner des poursuites stratégiques contre la mobilisation des citoyens, constituent un «phénomène de plus en plus répandu en Amérique et au Canada», a poursuivi Me Grey. La semaine dernière, à la poursuite pendante d'AIM s'est ajoutée une poursuite de 850 000 $ intentée par deux propriétaires d'un site d'enfouissement de Cantley, dans l'Outaouais, contre deux voisins qui se battent pour sa fermeture. Pourtant, le ministère du Développement durable, de l'Environnement et des Parcs vient de leur donner en grande partie raison en amorçant la fermeture technique du site d'ici quelques jours par ordonnance en raison des multiples contraventions aux lois, règlements et normes.

«Il faut une législation au Québec contre les SLAPP», a affirmé Me Grey, soutenant que les règles du Barreau contre les poursuites abusives sont sans effet ici. «Cette législation devra prévoir une immunité relative pour les citoyens, sauf en cas de mauvaise foi, quand ils se battent pour leurs droits ou pour l'environnement. On doit leur donner la même immunité qu'on réserve au gouvernement, qu'on ne peut pas poursuivre, par exemple, s'il a adopté une loi déclarée illégale par la suite. Et il faut aussi rendre plus accessible la justice aux simples citoyens, car devant une grande entreprise, qui peut facilement débourser un million pour effrayer et museler des citoyens qui l'attaquent, le simple fait de se défendre devant les tribunaux est carrément hors de prix. La disproportion des moyens est trop grande: on doit réagir contre cela.»

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