Le tourisme du cannabis s'enflamme à Toronto

Toronto est devenue l'Amsterdam du Canada en matière de tourisme lié au cannabis, selon le magasin Seven Point Cannabis de Toronto.

Toronto Et La RGT
Le tourisme du cannabis s'enflamme à Toronto

Auteur de l'article :Kévin Connor
Date de publication :03 avril 2022 • Il y a 14 heures • 2 minutes de lecture • Rejoindre la conversation

Culture de marijuana dans une serre PHOTO PAR FILE PHOTO / Getty Images

Toronto est devenue l'Amsterdam du Canada en matière de tourisme lié au cannabis, selon le magasin Seven Point Cannabis de Toronto. https://sevenpointcannabis.ca/toronto-dispensary/?

«En ce qui concerne les villes, Toronto est en train de devenir l'épicentre du tourisme lié au cannabis au Canada. De plus en plus de gens affluent vers la ville pour assister à des événements liés au cannabis, acheter des produits haut de gamme, manger dans des restaurants conviviaux et simplement profiter de la liberté de fumer un joint dans l'un des nombreux parcs de cette ville », a déclaré Seven Point Cannabis. dit dans un communiqué.

«Le tourisme du cannabis au Canada a rapidement commencé, avec des passionnés de différentes parties du monde affluant pour profiter librement de l'utilisation récréative à leur guise. En raison de sa culture locale animée associée à sa scène cannabique florissante, Toronto est devenue l'un des endroits les plus importants à visiter.

Les attractions pour les fumeurs de joints comprennent une sélection infinie de choix alimentaires, une scène artistique et culturelle et le nombre de personnes qui poussent activement pour le style de vie du cannabis ainsi que des visites guidées à base de cannabis.

«Une entreprise populaire offrant ce service est Canada High Tours, qui propose une variété de visites et d'expériences sur le cannabis telles que des visites de graffitis, des visites à pied, des visites à vélo, des visites de magasinage et des activités telles que la culture du cannabis, la fabrication de pipes, le moulage d'argile, la méditation. , du yoga, des séances d'art et même une expérience de privation sensorielle - tout en consommant du cannabis », explique Seven Points. https://www.canadahightours.com/

Toronto Toke Tours propose une visite à pied personnalisée de deux heures dans la ville, avec des joints librement distribués. La société propose également des cours de yoga au cannabis et des séances de massage qui commencent par des vapes pour améliorer l'ambiance relaxante. https://www.tokecannabis.com/

La Cannabis Cooking Company est une autre expérience à considérer. L'école culinaire basée à Toronto se consacre à la cuisine avec des bourgeons. https://www.cannabiscookingcompany.ca/

"Les propriétaires sont des chefs exécutifs qui enseignent plusieurs méthodes pour infuser du THC dans tout ce à quoi vous pouvez penser et l'utiliser pour des plats exquis. C'est une compétence que vous voudriez ramener à la maison », a déclaré Seven Point.

Alors que 27 millions de touristes convergent vers Toronto chaque année, il est difficile d'évaluer l'importance du cannabis pour attirer les gens dans la ville, a déclaré Andrew Weir, vice-président exécutif de Destination Toronto.

"C'est difficile à évaluer, mais ceux qui sont en première ligne savent mieux. Il y a peut-être une partie de cela, mais les consommateurs ont des options et Toronto n'est pas la seule ville », a déclaré Weir.

Commentaires

Le retour du balancier ?

Le retour du balancier ?

Depuis des années des étudiants Ontariens viennent en vacance au Québec.
Ils étaient ici il y a quelques semaines. Pour visiter, faire du ski et la fête.

Car au Québec les enfants de 6-12 ans et moins peuvent consommer légalement de l’alcool.
Et 18 ans est l’âge pour être reconnu comme adulte,
afin de pouvoir acheter, consommer, posséder, partager, produire de l’alcool.

En Ontario l’âge légal pour acheter et consommer de l’alcool est 19 ans*.
Idem pour le cannabis sans discrimination ni exclusion sociale !

Maintenant au Québec avec sa criminalisation infantilisante des adultes de 18-21 ans victimes d’exclusion sociale. Ce sont des adultes Québécois de 19 ans qui vont en Ontario pour le party ou acheter du cannabis.

Les Québécois victimes d’exclusion sociale peuvent commander des produits sains, non contaminés, règlementés approuvés par santé Canada, en étant renseigné sur leur puissance de l'Ontario où d’autres provinces avec d’excellents prix, produits, rabais, échantillons.

A noter que des américains des USA près de la frontière viennent aussi faire la fête au Québec pour l’alcool à 18 ans.

* En Ontario, l´âge légal pour consommer de l´alcool dans un établissement pourvu d´un permis de vente d´alcool est de 19 ans. Il est interdit à toute personne qui a l´âge légal pour consommer de l´alcool de fournir de l´alcool à une personne qui n´a pas encore atteint cet âge.

Il est interdit !
Mais comme au Québec une personne, qui a l´âge légal pour consommer de l´alcool, un dépresseur psychotrope à addiction et dépendance très forte, soit un parent et/ou "responsable" peut en consommer légalement avec des enfants de 6-12 ans et moins dont le cerveau ne sera complété qu'à 23-25 ans !?

La criminalisation discriminatoire d’exclusion sociale des adultes de 18-21 ans et de leur sacrifice aux organisations criminelles par la coalition n’a pas été faite: selon le nombre de morts annuelles*, des preuves de recherches scientifiques sur des humains suivi de tests cognitifs et répété par des chercheurs indépendant$, ni dans le but de réduction des méfaits, des couts sociaux sur la santé physique, mentale, économique.

* Plus de 46 morts prématurées, évitables mais acceptables, par jour près de 2 par heure ?
Aucun âge minimum exigé ni imposé pour la consommation par des enfants !
Aveuglement volontaire ? Maladies mentales ? Pissous ? Accro et/ou dépendant (au pouvoir) ?
Encombrement de lits et aux urgences !

51 000 morts prématurées mais acceptables en 3 ans de pouvoir de vie et de mort de la CAQ.
En plus des maladies physiques et mentales de longue durée.

Les morts ne coutent que des condoléances pour à votre gouvernement
dirigé par un Économiste, colérique, orgueilleux, pro-alcool (mortel qu'il protège et incite) et autoproclamé dealmaker !

Pendant que de plus en plus de Québécois ont recours aux banques alimentaires
votre gouvernement va interdire mais compenser l’exploitation du pétrole.

La SQDC engrange des dizaines de millions trimestre gaspillés en publicités infantilisantes.
Qui pourtant ne ciblent pas les enfants de 12-16 ans, mais les anciens adultes de 18-21 ans.

L’exclusion sociale par la criminalisation de CAQ discriminatoire selon l’âge et la matière a été faite selon les mêmes critères injustifiables scientifiquement, utilisés par l'État en coalition avec la religion catholique, pour la discrimination envers les femmes (esclavage religieux), les noirs (esclavagisme), les Premières Nations.

Soit le manque d’intelligence nécessaire afin de pouvoir voter, avoir son compte en banque, de choisir LA bonne mauvaise religion, boire de l'alcool (choisir sa drogue selon le nombre de morts), son orientation sexuelle, choisir l’habit qui fait le moine, etc.

* La professeure Natalie Castellanos-Ryan,de l’École de psychoéducation de l’Université de Montréal
et chercheuse spécialisée en prévention de la dépendance au Centre de recherche du CHU Sainte-Justine:
Elle s’en prend aussi à un mythe persistant, qui est directement dans son champ d’expertise, en l’occurrence le développement cognitif : « C’est vrai que le cerveau se développe jusqu’à 25 ans, mais il n’y a aucune preuve scientifique que de consommer du cannabis présente quelque risque que ce soit pour le développement cognitif après l’âge de 17 ans.»

C’est très clair dans la littérature scientifique et les études longitudinales dans lesquelles nous contrôlons le développement cognitif préalable.

C’est un des premiers messages avec lesquels je commencerais: « que le cannabis rend stupide (en affectant le développement cognitif) ; car c’est faux », tranche-t-elle.

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