Cannabis Thérapeutique : Tahiti Herb Culture Ne Lâche Pas l’affaire !

C’est au Pays de légiférer sur le cannabis thérapeutique, et non pas à l’État, comme l’a confirmé l’an dernier le ministre de la Santé Olivier Véran.
(Tahiti est une île de la Polynésie française.)

Cannabis Thérapeutique : Tahiti Herb Culture Ne Lâche Pas l’affaire

THC - 2019
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ACTUS LOCALES SANTÉ SOCIÉTÉ
CANNABIS THÉRAPEUTIQUE : TAHITI HERB CULTURE NE LÂCHE PAS L’AFFAIRE
06 – MAR - 2022
Caroline Perdrix CAROLINE PERDRIX
Photo: ©CP/Radio1

Une trentaine de personnes étaient rassemblées samedi matin devant la stèle de Pouvanaa a Oopa, à l’occasion du 9e anniversaire de l’association Tahiti Herb Culture qui poursuit son action pour la légalisation du cannabis thérapeutique.

L’association Tahiti Herb Culture était de retour devant l’assemblée samedi matin, pour fêter son 9e anniversaire. Cette fois, pas de jardinage intempestif, aucun tumu paka n’a été planté : « Ça nous avait quand même coûté un jugement, et une couverture médiatique qui n’était pas aussi cool que ça, » admet son fondateur Karl Anihia.

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Aucune effluve suspecte n’est venue chatouiller les narines des policiers qui observaient la scène, mais THC avait mis en évidence des échantillons de produits dérivés du cannabis. Y compris des produits importés, qu’on peut trouver en grande surface, et qui contiennent du chanvre : la législation les interdit, en théorie, et Karl Anihia dénonce l’arbitraire de la situation.

La crise sanitaire a été, pour certains, l’occasion de découvrir le cannabis thérapeutique pour soulager des symptômes associés au Covid. Le 22 juin 2020, l’association avait ouvert, pour un an, son fare potee à Papara. De nombreux malades sont venus tester l’huile de cannabis et ont ainsi changé d’avis sur ce type de produit, dit Karl Anihia.

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THC poursuit son effort pour la légalisation auprès des élus de l’assemblée : car c’est au Pays de légiférer sur le cannabis thérapeutique, et non pas à l’État, comme l’a confirmé l’an dernier le ministre de la Santé Olivier Véran. La proposition de loi de Nicole Sanquer ne sera pas étudiée : Virginie Bruant, lorsqu’elle présidait encore la commission de la Santé à l’assemblée, avait informé l’association que le gouvernement lui-même avait l’intention de déposer son propre projet de loi en avril. THC ne semble pas y croire

Commentaires

Pourquoi toujours chercher à contredire la science ?

Pourquoi toujours chercher à contredire la science ?
Essayer de réinventer à partir le la roue carré ?

Pour le fric en se servant de la notariée du cannabis ?

« Parler ne fait pas cuire le riz ! »
Chaque jour perdu en bla, bla, bla.

Des humains, enfants souffrants et mourants sont privés du CBD et THC de cannabis non mortel efficace !
Pour être plus méchants, sévères, des pédiatres du Québec comme Lionel Carmant le ministre délégué à la Santé et aux Services sociaux, qui prétendent que la santé physique, mentale des enfants est importante et qui après avoir constaté l’efficacité du CBD, en prescrivent à des enfants !

Mais n’exigent pas son remboursement ?
Malgré le serment d'Hippocrate de : « Tout faire pour soulager les souffrances ! » ?

Comme il est exagérément, cupidement dispendieux, ces enfants comme la majorité des Québécois-ses devront cesser cette thérapie efficace non remboursée et retourner aux nombreux produits de pharmaceutique$ inefficaces qu’on leur a pre$crit pendant des année$ et à répétition, remboursés.

Le mêmes chercheurs de sondages d’opinions peu fiables achetables payés pour ne trouver que des méfaits anecdotiques négatifs à faire de la désinformation cupide voudraient aujourd’hui être payés pour faire des recherches.

Recherches qui ont déjà été faites et sont en application, usages, depuis plus de 20 ans*.

Recherches sur des humains, qui ne consommaient aucun autre produit comme le tabac, l’alcool et des médoc$, à qui on a fourni la substance à différents taux de CBD (qui sert aussi de placébo) et THC pendant toute la durée de l’étude, double aveugle suivi de tests cognitifs, comme en Israël. Israël dont les buts des recherches sont de procurer une expérience agréable que l'usage soit thérapeutique ou récréatif. Ils ont démontré scientifiquement que, pour des enfants épileptiques il fallait des mélanges en CBD et THC 1:1 (1mg de CBD : 1mg de THC) pour être efficace.

Ne légaliser que le CBD laisse souffrir et mourir des enfants jusqu'aux aînés !

* Ex depuis plus de 20 ans:
- depuis 21 ans (2001) le cannabis thérapeutique efficace est légal au Canada.
Pas seulement le CBD mais aussi des fleurs jusqu’à 29% de THC et des extraits/concentrés jusqu’à 99,6% de THC.

Toujours aucune mort directe sans mélange même avec les hautes teneurs en THC en 21 ans
avec plus de 300 000 utilisateurs pour un seul producteur autorisé.

- Depuis 2000 le cannabis au Colorado est légal pour un usage médical et pour un usage récréatif depuis fin 2012.

- Depuis 2011 en Suisse le cannabis avec une teneur en THC inférieure à 1 % est légal.
Le CBD n'a aucun effet psychoactif et n'est pas soumis à la loi sur les stupéfiants.
Il n'y a pas de limite légale pour la teneur en CBD.

http://blocpot.qc.ca/node/2385

La croisade du professeur Nahas ... ou l’art de la désinformation
Soumis par Zappiste le 11 février 2012 - 12:37pm
Catégories : Débat sur les médias

http://forum.doctissimo.fr/sante/cannabis/nahas-sujet_146259_1.htm
La croisade du professeur Nahas... ou l’art de la désinformation

Extraits:
Quelle est l'origine des campagnes sur "la toxicité du cannabis" ? Il nous a semblé intéressant d'y aller voir. Nous n'avons pas été déçus...

Le professeur Nahas n'est pas un scientifique comme les autres : avant même de commencer ses recherches, il savait déjà ce qu'il allait trouver. Son premier projet de recherche, à l'université de Columbia aux États-Unis, dans les années cinquante, était en effet destiné, selon ses propres termes, “à prouver le très grand danger de la marijuana dans tous les domaines de la biologie". Tout est dans ce mot : prouver. Non pas chercher, mais prouver.

D'ailleurs, le professeur Nahas n'en fait pas mystère : “ Je suis un ennemi du cannabis, et je lutterai contre le cannabis par tous les moyens.” Et de fait, dans cette lutte, tous les moyens sont bons.

Car le combat contre le cannabis, présenté comme un combat pour la santé publique, est en réalité bien autre chose : c'est un combat pour des valeurs qui n'osent pas s'afficher au grand jour. Si bien que, d'emblée, le débat, si débat il y a, est faussé : on ne débat jamais du fond.

"Un expert ne fait autorité que lorsqu'il est l'allié du pouvoir", écrivent justement Stengers et Ralet. Et le professeur Nahas sert si parfaitement la politique prohibitionniste des pays industrialisés qu'on lui fait une place en or : il a longtemps été conseillé spécial de la commission des drogues de l'OMS.

Bien entendu, l'attribution de ce poste ne signale nullement un quelconque mérite scientifique. Il répond au contraire à une nécessité politique : les pays occidentaux ont impérativement besoin de quelqu'un qui fasse contrepoids, du haut de sa "science", aux pays arabes, par tradition tolérants au cannabis mais hostiles à l'alcool.

Cette position à l'ONU (qui lui conférait aussi la direction des rapports annuels) a valu au professeur Nahas un indéniable prestige — sans parler du pouvoir de distribuer les fonds destinés à des recherches allant dans la direction appropriée.

Dans les années quatre-vingt, discrédité aux États-Unis, Gabriel Nahas s'est rabattu sur la France. En sa position de conseiller de Jacques Chirac sur les questions de drogues illicites, il a remporté quelques belles victoires. Et s'apprête à en remporter d'autres.

UN COLLOQUE DÉTOURNÉ

PS: « Il y a longtemps que le débat a eu lieu et le résultat est sans appel : la prohibition est plus dangereuse que les drogues elles-mêmes ou, si vous préférez, la réalité démontre tous les jours que la guerre à la drogue est définitivement perdue. »

Comme dans toutes les bonnes mauvaises guerres
il faut faire un maximum de victimises et collatérales avant qu'elles se terminent !

Les politiques de réduction des risques accordent la priorité non au sevrage, mais à la minimisation des risques liés à la consommation nocive, avec ou sans substance.

Criminaliser et sacrifier les adultes de 18-21 ans du Québec le plus grand nombre de consommateurs
aux organisations criminelles ne participe en rien à la minimisation des risques liés à la consommation et nocive.

Ni fournir plus de 100 000 000 $ millions trimestre à ces organisations criminelles aux nombreux produits.

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