Banques alimentaires La faim continue de progresser au Québec
Le nombre de personnes en emploi qui ont recours aux banques alimentaires a bondi de 40 %.
(Montréal) La faim continue de gagner du terrain au Québec, au point où même des gens en emploi ont parfois besoin d’un peu d’aide pour ne pas aller au lit le ventre vide, démontrent de nouvelles données dévoilées en primeur à La Presse Canadienne par Banques alimentaires du Québec.
Publié le 28 octobre 2021 à 6h31Partager
JEAN-BENOIT LEGAULT
LA PRESSE CANADIENNE
Le Bilan-Faim 2021 indique ainsi que, tous services confondus, le réseau des Banques alimentaires du Québec a aidé 21,6 % plus de personnes en 2021 qu’en 2019. On note une augmentation significative de 37 % de la distribution de paniers de provisions.
Le nombre de personnes en emploi qui ont recours aux banques alimentaires a bondi de 40 %.
Il est très préoccupant de constater que même les gens qui ont un emploi et qui sont actifs n’arrivent pas à vaincre l’insécurité alimentaire, a estimé le directeur général de Banques alimentaires du Québec, Martin Munger.
Il rappelle qu’on avait mesuré dès les premiers mois de la pandémie une hausse de 30 à 50 % des demandes d’aide alimentaire.
« Ce que nous apprend la dernière enquête, c’est que cette hausse-là se continue, a-t-il dit. Lorsqu’on a fait cette enquête-là au mois de mars [2021], on constatait qu’il y avait 21,6 % plus de personnes qui fréquentaient les banques alimentaires, c’est-à-dire que c’est plus de 600 000 Québécois qui se tournent chaque mois vers les banques alimentaires du Québec. »
Un peu moins du tiers des participants à l’étude Bilan-Faim 2021 — qui consolide des données socioéconomiques provenant de la presque totalité des 1200 organismes membres du réseau de Banques alimentaires du Québec — ont expliqué avoir eu recours à une aide alimentaire parce qu’ils ne parvenaient pas à couvrir certaines dépenses de base ou parce que leur rémunération ne leur permettait pas de s’alimenter convenablement.
43 % des demandeurs d’aide alimentaire sont des personnes qui vivent seules, 40 % sont des ménages avec des enfants et un peu moins de 10 % sont des personnes âgées.
« Ce qu’on constate, c’est que plusieurs personnes n’ont pas suffisamment d’argent pour se nourrir convenablement ou pour nourrir convenablement leur famille, a dit M. Munger. Elles doivent faire des choix. »
Et comme l’alimentation représente une dépense « compressible » quand on la compare au logement, par exemple, ce sera souvent la nourriture qui écopera quand les fins de mois sont plus serrées, a-t-il ajouté.
Si la pandémie peut expliquer une partie de la hausse des recours aux banques alimentaires, l’augmentation du coût de la vie y est également pour quelque chose. M. Munger rappelle aussi que le premier ministre François Legault avait demandé, au début de la crise sanitaire, à la population de ne pas hésiter à demander de l’aide.
« On n’a pas de données précises à ce niveau-là, mais on peut penser que ça a contribué à faire baisser les tabous puisqu’il y a des gens qui avaient déjà des besoins, qui ont surmonté leur gêne et qui ont eu recours aux banques alimentaires », a-t-il dit.
L’organisme rapporte enfin une diminution importante du nombre de denrées disponibles actuellement et lance un appel à l’aide.
Banques alimentaires du Québec soutient et représente quelque 1200 organismes communautaires qui desservent plus de 600 000 personnes chaque mois.
Pendant que la CAQ fourni des millions au marché illicite !
Contrairement à la SAQ qui coute plus cher en méfaits que ce qu'il ne rapporte VS la SQDC qui rapporte plus que ce qu'ils nous en coute. Ils ont droit d'aider des organismes, banques alimentaires. Pour faire oublier les méfaits sur la santé physique (plus de 4 000 morts par année, nombreux cancers) mentale (psychoses, dépression, addiction, dépendance, viol, violence envers soi et les autres, perte de mémoire, black out, difficulté d'allocution.)
Pendant que la CAQ fourni des millions par trimestre aux organisations criminelles depuis 3 ans !
Environ 37 500 000$ par trimestre aux organisations criminelles. Sans payer de taxes.
Les enfants de 21 ans et moins représentent plus de la moitié des consommateurs devenus et illégaux !
Comment la SQDC peut affirmer avoir récupéré 70% du marché illicite sans les 21 ans et moins ?
Organisations criminelles aux nombreux points de vente de proximité, qui n'ont jamais eu de pénurie.
Même avec la capture des barrons de la coke il n'y a pas eu de pénurie elle est toujours disponible.
Même avec la légalisation du tabac, de l'alcool et la répre$$ion, ils sont toujours disponibles sur le marché illicite !
Pendant que la SQDC engrange des millions qu’elle gaspille en publicités “prévention” (10 millions).
Publicités risibles qui ne ciblent pas les 12-17 ans !
Seulement 3 millions dépensés pour la recherche.
3 petits millions ou jusqu'à 10, ne feront jamais du Québec le leader mondial en recherche.
Leader mondial #1 en sondages d’opinion et des compilations de sondages peu fiables non scientifique.
C’est Israël avec ses résultats de recherches sur des humains, double aveugle, suivi de tests cognitifs qui est #1.
Les #1 ont harmonisé l'âge pour acheter, posséder, consommer et produire avec ceux du tabac et l'alcool mortels.
Le but de leur recherches, sur des humains, pour le cannabis thérapeutique ou récréatif, était de fournir une expérience agréable peu importe l'usage sans discrimination.
Lionel Carmant ministre délégué à la Santé et aux Services sociaux dans un communiqué*
«Je suis très heureux de constater que les mesures de prévention adoptées dans le cadre de cette loi, de même que celles que nous avons déployées pour encadrer l’usage légal et la vente du cannabis, ont porté leurs fruits»
Les mesures de prévention adoptées ont porté fruits ?
Si les mesures de prévention, criminalisation discrimination portent fruits.
Pourquoi ne pas les appliquer pour le tabac et l'alcool qui ont tué plus de 51 000 Québécois depuis leur élection ?
* « le rapport indique qu’en raison des constants encourageants observés dans les résultats dans la mise en œuvre de la Loi, celle-ci doit être maintenue, de même que le modèle de vente de cannabis mis en place au Québec. »
Aucune comparaison sur le succès de la légalisation Canadienne ou ailleurs depuis 3 ans et plus ?
Sans criminalisation ni discrimination ou de modification de l'âge légal pour être un adulte !
Simplement en harmonisant l'âge avec celui pour l'achat, la possession, la consommation, production avec ceux pour le tabac et l'alcool protégés, incités, mortels.
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