Blak D. Blackburn milite pour une cause unique: le cannabis
BÉCANCOUR. Un quatrième candidat est apparu sur la liste des candidats à la mairie de Bécancour, Blak D. Blackburn. Le militant et activiste pour la cause du cannabis s’était présenté au siège de conseiller #6 en 2017 contre Carmen L. Pratte.
Le 20 octobre 2021 à 11 h 30 min
Par Stéphanie Paradis
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Blak D. Blackburn milite pour une cause unique: le cannabis
Blak D. Blackburn, candidat à la mairie de Bécancour. (Photo : Facebook)
BÉCANCOUR. Un quatrième candidat est apparu sur la liste des candidats à la mairie de Bécancour, Blak D. Blackburn. Le militant et activiste pour la cause du cannabis s’était présenté au siège de conseiller #6 en 2017 contre Carmen L. Pratte.
Blak D. Blackburn a été élu chef du Bloc Pot en décembre dernier, parti provincial qui milite pour la défense des utilisateurs de cannabis médical et récréatif et, depuis sa légalisation, pour les entreprises liées au cannabis qui sont victimes de stigmatisation systémique.
M. Blackburn rappelle qu’il fait de la politique alternative et souhaite mettre en lumière sa démarche, « souvent encore incomprise, même par les gens politisés », estime M. Blackburn. Il explique que sa présence est pour sensibiliser les gens aux réalités qui entourent le cannabis, autant sur le plan de la santé, de l’économie que de l’éducation. D’ailleurs, l’homme en est à ses septièmes élections; deux au palier fédéral, deux au provincial et trois au municipal. Son message est toujours le même, mais il est modulé selon le palier du gouvernement où il est candidat.
« On utilise toutes les plateformes pour garder le cannabis dans le discours public afin de sensibiliser les prochains décideurs. On ne voit pas les autres candidats comme des adversaires,. Ce sont plutôt des partenaires, car ce sont eux qui vont être élus et qui vont avoir à prendre des décisions qui vont concerner le cannabis », précise le candidat à la mairie de Bécancour.
« Au niveau municipal, il est surtout question de zonage. Il y a des municipalités qui sont très anti-cannabis », croit Blak D. Blackburn. Selon le candidat, il est extrêmement difficile pour une entreprise reliée au cannabis d’obtenir du financement qui ne provient pas de fonds privés.
« »Pourquoi être là quand tu ne seras pas élu? » C’est la question la plus récurrente que je me fais poser. Le Bloc Pot est la preuve qu’en démocratie, tu n’as pas besoin d’être élu pour gagner. On a commencé à militer en 1998 et, 20 ans plus tard, le cannabis était légalisé », rappelle M. Blackburn.
« Aux dernières élections, malgré ce que certains pourraient penser, je n’ai pas mordu la poussière derrière Carmen L. Pratte. J’ai obtenu un peu plus de 500 voix, ce qui représente 10,65 % du vote. C’est une grande victoire pour moi », conclut M. Blackburn.
Une cause unique ?
« Au niveau municipal, il est surtout question de zonage »
https://blocpot.qc.ca/fr/comment/17752#comment-17752
Leurs plants de pot à des fins médicales nuiraient au voisinage et à la municipalité
https://blocpot.qc.ca/fr/comment/17752#comment-17752
Zonage
Soumis par Cynthia le 12 octobre 2021 - 09:19
Dans ce cas particulier, la ville a utilisé un règlement concernant l’industrie du cannabis et l’applique à une personne qui cultive à des fins médicales et personnelles. De ma compréhension de la loi, une ville ne peut pas interdire une culture à des fins médicales si la personne respecte les conditions d’émission du certificat. C’est l’exemption de l’article 55 et 56 de la Loi réglementant certaines drogues et autres substances qui permettent au ministre de fixer les conditions d’octroi des certificats et le ministre n’a délégué aucun pouvoir aux provinces spécifiques sur l’émission et la gestion de ces permis.
Merci pour l'info Cynthia ! Zappiste
Lutter contre la justice Caquiste de Simon Jolin-Barrette. Jo l'injuste ?
La criminalisation discriminatoire imposée selon l'âge et la substance légale consommée et non le nombre de morts annuelles et journalières ou les dangers avérés pour la santé physique et mentale.
Lutter contre la criminalisation discriminatoire sans preuve scientifique des adultes de 18-21 ans et de leurs parents responsables qui au risque de jusqu'à 14 ans* de prison refusent de les sacrifier aux organisations criminelles et nombreux produits dangereux pour la santé physique et mentale dont des médoc$ prescrit$ à pocheté et répétition par les médecins/psychiatres peureux, cannaphobes, à qui le gouvernement de la CAQ et ses membres ont choisi de devenir leur complice en leur fournissant, les adultes de 18-21 ans le plus grand nombre de consommateurs ainsi que des millions par trimestre depuis 3 ans.
Lutter contre la désinformation, le refus de reconnaitre la science par ce gouvernement conservateur moraliste.
Liberté d'expression ?
Roberge parle de liberté d'expression alors que l'image de la représentation d'une feuille est criminalisée !
Lui qui se prétend anti "cancel culture" mais qui a cancellé la culture de 4 plantes de cannabis par foyer ?
Santé publique
En trois années de pouvoir la CAQ a laissé les industries du tabac et de l'alcool un dépresseur, qu'il protège
tuer plus de 51 000 Québécois prématurément. Par manque de courage, par peur de perdre une élection et acceptabilité culturelle/sociale meurtrière.
Souvenez-vous que l'autoproclamé dealmaker avait dit en 2012:
« S’il y a un domaine dans lequel le Québec est lamentable, c’est bien celui de la santé», a lancé François Legault.
4 août 2012 - La CAQ promet un médecin de famille à tous d’ici 12 mois
En 2021, après trois années de pouvoir et de promesses d' et pour les ivrognes
800 000 Québécois soumis, rampant, sont toujours sans médecins de famille.
Malgré le "convaincre au lieu de contraindre" et un milliard gaspillé pour inciter qui n'a pas fonctionné.
Éducation et Prévention
En quoi avoir criminalisé et sacrifié les 18-21 ans aux organisations criminelles, sans preuve scientifique, est de l'éducation de la prévention ?
* Jusqu'à 14 ans de prison pour un parent responsable qui consomme du cannabis légal avec son adulte légal.
Pour l'alcool sanctifié protégé et incité à la consommation, un parent irresponsable, alcoolique ou non, peut consommer légalement de l'alcool avec son enfant de 6-12 ans et moins, dont le cerveau ne sera complété qu'à 23-25 ans. Sans risque de criminalisation ni visite de la DPJ (dont le mandat est de protéger la santé physique et mentale des enfants ?)
« La carotte et le bâton sont des stimulants persuasifs et fréquemment utilisés. Mais traitez les gens comme des ânes et ils se comporteront comme des ânes. » J. Whitmore
Si un âne est savant, donne-lui des carottes !
Si un savant est un âne, donne-lui des coups de bâton !
Les savants médecins/psychiatres du Québec qui ont imposé la criminalisation discriminatoire des adultes de 18-21 ans sans aucune preuve ni recherche scientifique rigoureuse sur des humains et de leur sacrifice aux organisations criminelles mériteraient-ils des coups de bâton ou des carottes (subventions) ?
Et si vous faire comporter comme des ânes était le but recherché par la CAQ et les médecins/psychiatres ?
Liberté mon Luc ?
https://www.youtube.com/watch?v=JQyD0lswfHI
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