Initiative québécoise de recherche sur le cannabis et la santé

– Jusqu’à 10 M$ pour financer des activités de recherche et développer l’expertise d’ici

Dans Actualité11 octobre 2021Éric Beaupré

DRUMMONDVILLE
Le ministre délégué à la Santé et aux Services sociaux, Lionel Carmant, est fier d’annoncer le lancement de l’Initiative québécoise de recherche sur le cannabis et la santé.

Soutenue par un budget pouvant aller jusqu’à 10 millions $, cette initiative a comme objectif, d’une part, de soutenir la réalisation de nouvelles recherches qui contribueront à une meilleure compréhension des phénomènes entourant la consommation de cannabis à des fins non médicales et ses effets sur la santé au Québec.

D’autre part, l’Initiative vise également à positionner le Québec comme chef de file en matière de recherche en cannabis et santé, à développer et perfectionner l’expertise québécoise et à favoriser l’attraction et la rétention des talents.

Dans le cadre de cette initiative, le ministère de la Santé et des Services sociaux, en collaboration avec le Fonds de recherche du Québec – Santé et le Fonds de recherche du Québec – Société et culture, lance une première action concertée intitulée « Programme de recherche sur l’usage du cannabis à des fins non médicales : prévention et réduction des méfaits ».

Ce programme vise à développer des connaissances pour, notamment, mieux comprendre les dynamiques de consommation des personnes qui consomment régulièrement du cannabis et approfondir la compréhension de diverses thématiques liées à la prévention et la réduction des méfaits associés à la consommation de cannabis. Un montant total de 3 millions $ est disponible pour soutenir cet appel de propositions, qui visera notamment le financement de projets de recherche et de bourses postdoctorales.

« Cette initiative constitue une première impulsion visant à mobiliser la communauté scientifique québécoise afin de positionner le Québec comme chef de file en matière de recherche portant sur le cannabis. La légalisation d’une substance comme le cannabis est, sans conteste, un changement de société important. Nul doute que les activités de recherche qui seront réalisées nous permettront d’encore mieux comprendre les phénomènes entourant la consommation de cannabis et ses effets, et ainsi de déployer les meilleures actions pour préserver la santé et la sécurité des Québécoises et des Québécois. » – Lionel Carmant, ministre délégué à la Santé et aux Services sociaux

Commentaires

la prévention et la réduction des méfaits ???

Le ministre délégué à la Santé et aux Services sociaux, tonton Lionel Carmant, est fier ?
La CAQ mélange orgueil et fierté !

Lui qui prescrit du cannabis efficace aux enfants mais n'exige pas son remboursement même si il sait que ces jeunes enfants devront cesser la thérapie efficace du cannabis thérapeutique exagérément trop dispendieux pour la basse et moyenne classe. Les obligeant à cesser le traitement et/ou devoir se tourner vers le cannabis récréatif d'autres provinces ou des organisations criminelles, moins chers.

A ce jour la "prévention" le gaspillage en publicité ridicule n'a pas ciblé les 12-17 ans !?
La réduction des méfaits de la CAQ appuyé par les associations de médecins/psychiatres/pédiatres, pro-médoc$ cannaphobes, a été de sacrifier les adultes de 18-21 ans aux organisations criminelles !

13 MILLIONS ?
- Jusqu’à 10 M$ pour financer des activités de recherche.
"Jusqu'à" c'est ce que les temples d'achats utilisent lors de soldes pour attirer les influençables.
Ex: Jusqu'à 50% de rabais.
- 3 millions $ est disponible pour soutenir cet appel de propositions.

13 millions c’est beaucoup moins que ce que la CAQ fourni depuis 3 ans aux organisations criminelles par trimestre !
Avec la criminalisation discriminatoire sans preuve scientifique des nouveaux jeunes de 18-21 ans
en bonus à ce que la prohibition leur fourni déjà !

Ex: Quand la SQDC a fait état lundi d'un bénéfice net de 23,3 millions pour le trimestre clos le 2 janvier *.
Les organisations criminelles aux nombreux produits et points de vente de proximité, qui ne paient pas de taxes, dont le cout de production est moindre que les producteurs autorisés en plus de ne pas avoir à suivre les restrictions de Santé Canada. Leurs rapportent beaucoup plus que les bénéfices trimestriels du monopole la SQDC !

Ces millions fourni aux dealmakers des marchés illicites sont enlevés à la SQDC, nous.
Millions qui ne servent pas à la prévention ni la réduction des méfaits !
Millions qui devraient servir à une aide immédiate et gratuite aux personnes vulnérables à l'addiction et la dépendance, avec ou sans substance qui la demande.

RECHERCHE
Recherche sur des humains ou recherche de sondages d’opinions peu fiables, non scientifiques ?

Recherche sur un nombre significatif d’humains ?
Humains testés prouvant qu’ils ne consomment que du cannabis.
Pas de tabac, d’alcool ni de médicaments mortels pendant toute l’étude.

Humains adultes de 18 ans ou nouveaux jeunes de moins de 21 ans ?

Étude double aveugle avec un placébo suivi de tests cognitif, comme en Israël ?
À qui ils fourniront des cannabis/extraits/concentrés contrôlés, pendant toute l’étude.

CHEF DE FILE
« D’autre part, l’Initiative vise également à positionner le Québec comme chef de file en matière de recherche en cannabis et santé, à développer et perfectionner l’expertise québécoise et à favoriser l’attraction et la rétention des talents. »

Le chef de file au Québec discriminatoire seulement !
Israël est le chef de file mondial avec ses résultats d’études sur des humains, double aveugle, suivi de tests cognitifs concernant le cannabis thérapeutique et récréatif. Leur but n'est pas de criminaliser, de discriminer pour tenir une promesse électoraliste, mais de procurer une expérience agréable aux consommateurs peu importe l'usage.

Au Québec en 20 ans d’usage de cannabis /extraits/concentrés à 99,6% de THC, thérapeutiques légaux au Canada.

Il n’y a eu aucune étude faite ni exigé par les médecins/psychiatres/pédiatres du Québec qui ont participé à la criminalisation discriminatoire des adultes de 18 ans et de leur sacrifice aux organisations criminelles aux nombreux produits dangereux pour la santé physique et mentale dont des nombreux médoc$ de pharmaceutiques qu’ils prescrivent à pochetée et répétition.

PRÉVENTION ET RÉDUCTION DES MÉFAITS
En quoi la criminalisation des adultes de 18-21 ans et leur sacrifice au marché illicite est une réduction des méfaits ?
En quoi cela préserve la santé et la sécurité des Québécoises et des Québécois ?
Pour qui ?

Les Responsables doivent rendre compte de leur politique et doivent réparer les dommages qu'il ont causés !

PS: Pendant que la SQDC engrange des profits les Banques Alimentaires sont toujours en manque ?

*1 mars 2021 — La SQDC a fait état lundi d'un bénéfice net de 23,3 millions pour le trimestre clos le 2 janvier,

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