Legault donne sa définition du terme « woke »

(Québec) François Legault revient à la charge en traitant Gabriel Nadeau-Dubois de « woke ».

Il donne du même coup sa propre définition de ce
mot, affirmant qu’il s’agit pour lui d’une personne « qui veut nous faire
sentir coupable de défendre la nation québécoise [et] de défendre ses
valeurs ».

Publié le 16 septembre 2021 à 10h29Partager
Hugo Pilon-Larose
HUGO PILON-LAROSE
LA PRESSE
En point de presse, jeudi, le premier ministre est revenu à la charge sur ce
sujet en allocution d’ouverture. Il accuse le chef solidaire de vouloir « qu’on
se sente coupable » de défendre les valeurs du Québec, alors que ce dernier
s’oppose entre autres à la loi 21 sur la laïcité de l’État.

Pour le premier ministre, s’opposer à cette loi adoptée par le gouvernement
caquiste est « un des éléments » qui définit un « woke », surtout quand on
affirme que cette loi est discriminatoire. « Pour moi, un woke, c’est quelqu’un
qui voit de la discrimination partout », a dit M. Legault.

« On peut être en désaccord avec la loi 21, mais de dire que c’est
discriminatoire et que la nation québécoise n’a pas le droit de défendre les
valeurs de sa majorité, c’est un débat qui devient très important », a-t-il
ajouté.

En point de presse plus tôt en matinée lundi, Gabriel Nadeau-Dubois a pour
sa part refusé de définir ce qu’est un « woke ». Il a affirmé que «
personnellement, je ne sais trop ce que ça veut dire, de toute évidence,
François Legault non plus ».

« J’ai une maîtrise en sociologie et que j’essaie d’utiliser des mots, dont
je connais le sens, je n’ai aucune idée de ce que François Legault veut
dire », a-t-il ajouté.

Vendredi, MM. Legault et Nadeau-Dubois se sont affrontés dans un échange
acrimonieux au Salon bleu, le chef solidaire accusant le chef caquiste de
« Duplessis » et ce dernier répliquant qu’il avait devant lui un « woke ».

Dans un récent reportage, France Culture cite une journaliste du Figaro qui
explique que le mot « woke », d’abord popularisé dans les universités
américaines, signifie être « éveillé » aux injustices et définir son action
politique pour les débusquer. Le journal Le Monde a aussi défini « woke »
dans un reportage en 2018 comme étant « être conscient des injustices et du
système d’oppression qui pèsent sur les minorités ».

Au Québec, le terme a aussi été utilisé dans différents contextes pour
qualifier une frange militante des mouvements sociaux et politiques de
gauche.

Commentaires

Je suis un « woke » en état « d'éveil » face à l'injustice !

Legault donne sa définition du terme « woke »
Désinformation et/ou manipulation ?

A cause tu fais simpe de même ?

C’est peut-être un de ses Tanguy ou le ministre de la justice caquiste ségrégationniste selon l’âge et la substance légale consommé qui lui ont parlé de « woke » ? Il les a écouté* !

Je suis un « woke » en état « d'éveil » face à l'injustice !
Le terme « woke » provient du verbe anglais « wake » (réveiller), pour décrire un état « d'éveil » face à l'injustice.
« conscient des injustices et du système d’oppression qui pèsent sur les minorités ».
(Les adultes du Québec de 18-21 ans consommateurs de cannabis sont une minorité oppressée traité injustement !)

Lien de causalité ?
Le cannabis a tendance à stimuler la pensée critique et à amener à mettre en doute les valeurs conventionnelles.

Faut être un « wak » orgueilleux pro-alcool et tabac mortels pour faire croire que « woke » est une insulte !

II faut admettre qu'il connait bien le Qi de ses influençables et peureux.
(Celui qui contrôle la peur des gens devient le maître de leurs âmes.) Nicolas Machiavel (3 mai 1469 - 21 juin 1527)

L'ignorance c'est la force. 1984 (Big Brother) livre de George Orwell publié en 1949.

Un esprit sain dans un corset ! Zappiste

Ventre affamé n'a pas d'oseille ! Zappiste

* Genre "Je vous ai écouté" lors de consultations "bidons".
C'était pour donner une impression de justice égale pour tous car il s'en fout c'est lui le boss avec le pouvoir du bâillon, de la criminalisation discriminatoire sans preuve scientifique dangereuse pour la santé physique et mentale, d'enrichir de millions les autres dealmakers des organisations criminelles, ainsi que les industries du tabac et de l'alcool protégées qui ont tué légalement, plus de 51 000 Québécois en trois ans de pouvoir, avec la bénédiction du premier, ses membres et les associations de médecins/psychiatres/pédiatres du Québec qui n'exigent pas d'âge minimum de consommation par de jeunes enfants de 6-12 ans et moins dont le cerveau ne sera complètement développé qu'à 23-25 ans. Eux qui ont criminalisé les adultes de 18-21 ans et les ont sacrifiés aux organisations criminelle aux nombreux produits de pharmaceutiques à dose et surdoses mortelles dangereux pour la santé physique et mentale. Rien à voir avec la réduction des méfaits ni la Santé publique !

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