DÉBAT À SCIENCES PO PARIS : FAUT-IL LÉGALISER LE CANNABIS ?

Discussion autour de l’ouvrage Faut-il légaliser le cannabis ? de Henri Bergeron et Renaud Colson.
https://www.youtube.com/watch?v=Hbsq3agu00k
1 :30:50

En présence de :
– Henri Bergeron, directeur de Recherche CNRS, sociologue au Centre de sociologie des organisations et directeur de l’Executive Master « Management des Politiques Publiques » de Sciences Po
– Renaud Colson, maître de conférences, Faculté de Droit de l’Université de Nantes
– Caroline Janvier, députée du Loiret, rapporteure de la mission d’information parlementaire sur le cannabis récréatif
– Professeur Michel Kazatchkine, membre de la Commission Globale sur les politiques publiques en matière de drogues.
Modération : un.e journaliste d’Alternatives économiques (en attente de confirmation).

Le consensus qui a longtemps prévalu sur la prohibition du cannabis a disparu. L’usage de ce produit est désormais toléré dans de nombreux pays et plusieurs États en ont légalisé la production et la distribution à des fins récréatives. Ce n’est pas le cas de la France où la consommation et les trafics de cannabis font l’objet, depuis une vingtaine d’années, d’une réponse pénale de plus en plus vigoureuse.

Le niveau d’usage demeure pourtant très élevé, notamment chez les jeunes, et l’interdit légal s’accompagne de nombreux effets pervers, en particulier la création d’un vaste marché criminel et sa violence associée, la circulation de produits frelatés et les conséquences sanitaires qui lui sont liées, et la marginalisation des consommateurs.

Faute de distinguer entre les effets délétères du cannabis et les conséquences négatives de son interdiction, le risque est que la prohibition se renforce de ses propres échecs à la manière d’une prophétie autoréalisatrice. Le débat est d’autant plus difficile à mener qu’il est techniquement complexe et ne se résume pas à l’alternative simpliste entre interdiction absolue et liberté sans limite dans laquelle on veut trop souvent l’enfermer.

Il convient de prendre la mesure des connaissances scientifiques acquises sur le sujet afin d’évaluer le droit en vigueur de la manière la plus neutre possible, et de réfléchir aux conditions de sa réforme.

Source : YouTube.com

Commentaires

Le problème c’est un marché non régulé légal ou non

Le problème c’est un marché non régulé légal ou non !

Une dichotomie qui aveugle plus qu'elle n'éclaire !

Cannabis dit bien-être Vs Cannabis dit récréatif ?
Cannabis dit bien-être ou thérapeutique:
Au Canada le cannabis dit bien-être thérapeutique légal utilisé depuis 20 ans n'est pas limité au CBD pur !
Il comprend les fleurs séchées, à différents taux en THC et CBD et des comestibles, timbres, gommes, pastilles, extraits/concentrés, etc., qui vont jusqu'à 99,6% de THC pur.

Les recherches en Israël sur le cannabis thérapeutique et récréatif sur des humains, double aveugle à qui on a fourni des cannabis à différents taux en THC et CBD suivi de tests cognitifs ont démontré que le CBD seul avait des limites et qu'il fallait des mélanges en THC et CBD selon la maladie et le patient. Ex: 1:1 (1 ml de CBD et 1 ml de THC) pour de jeunes enfants souffrant et mourants de l'épilepsie. Il existe des mélanges de 15:15. Le CBD non psychoactif a servi de placébo.

Il faut un Qi de combien pour ne pas comprendre ça et d'aveuglement volontaire, de méchanceté ciblée ?

Le tabac et l'alcool un dépresseur comme l'héroïne tuent légalement environ 100 000 Français annuellement.
Par acceptation culturelle, pots-de-vin, lobby pui$$sants, manque de courage peur de perdre une élection ?

Au Québec les produits de ces deux industries tuent légalement avec la protection de la CAQ plus de 17 000 Québécois par an, plus de 45 par jour. Plus de 51 000 morts évitables acceptables depuis leur élection et la criminalisation le sacrifice des 18-21 ans aux organisations criminelles et les millions semaine supplémentaires qu'ils rapportent à ce que la prohibition leur fourni déjà. Marchés illicites organisés qui ont toujours du tabac et de l'alcool à vendre illégalement malgré les Escouade$ et Spécialisée$.

Pour protéger la santé physique et mentale des adultes légaux à 18 ans.
Les membres de la CAQ et les associations de médecins/psychiatres du Québec pro-médoc$, cannaphobes dépendant$ du gouvernement, préfèrent sacrifier les adultes aux organisations criminelles avec leurs nombreux produits non régulés, contaminés, sans être renseignés sur leur puissance.

Les membres de la CAQ et les associations de médecins/psychiatres du Québec pro-médoc$, cannaphobes dépendant$ qui protègent et encouragent la consommation du tabac et l'alcool un dépresseur comme l'héroïne légal à la consommation pour de jeunes enfants de 6-12 ans et moins dont le cerveau ne sera complété qu'à 23-25 ans, sans menace de criminalisation des parents ni de l'enfant.

Des produits de coupe qui rendent la consommation plus dangereuse ?
Le but des produits de coupe est d'augmenter le poids, les profits !

A quand remonte la dernière fois où des policiers ont médiatisé une coupe intentionnelle à la merde, le henné, aux fluorescents, au cirage, fentanyl, carfentanil, héroïne, etc., dangereuse pour la santé physique et mentale ? Policiers qui ne donnent plus le taux de THC des cannabis et extraits saisis car selon eux et leurs "experts" tous les cannabis ont 29% de THC même cultivés dans des conditions qui ne sont pas idéales ni optimales !?

Qui a intérêt à couper, contaminer volontairement le cannabis et le Hash ?
Un prohibitionniste qui est prêt à rendre malade et tuer car à la guerre tout est permis, exactions, mensonges, etc.
Prohibitionniste, poivrot, raciste, misogyne, homophobe.
https://www.youtube.com/watch?v=rCFpr-THaco

Un revendeur cupide qui contamine un produit d'un dealmaker illicite qui veut garder, fidéliser et augmenter sa clientèle, met sa vie sa santé physique en danger !

TABAC (Malsaine habitude)
Le tabac protégé, légal, banal et létal est le produit d'auto-coupe le plus utilisé et dangereux !
Un amateur et producteur de cannabis ne va pas le gâcher avec du tabac mortel !

FENTANYL (Le mythe pernicieux du cannabis au fentanyl)
Brûler du fentanyl avec une flamme le détruit, donc même si quelqu'un fumait du cannabis contaminé au fentanyl, le fentanyl ne serait pas actif dans la fumée. En fait, brûler des drogues dans un incinérateur est un moyen courant de s'en débarrasser , tant pour les médicaments sur ordonnance que pour les drogues illégales saisies par les forces de l'ordre .

Le point d'ébullition du fentanyl est de 466℃ , soit environ 871℉. A titre de comparaison, j'ai consulté les sites de deux marques populaires de vape utilisées pour le cannabis : Pax et Grenco. Pax déclare que la température la plus chaude atteinte par ses produits est de 210℃. Grenco, fabricant du G Pen, déclare que le réglage le plus élevé de cet appareil atteint 220℃.
https://blocpot.qc.ca/fr/forum/6028

Température de "vape" favorite.

Mon HerbalAire v2.1 nécessitait une charge utile d'environ 300 g dans son bol pour simplement en apprécier l'arôme et l'odorat. J'ai fini par l'abandonner complètement au bout de 25 mois d'usage ainsi que d'expérimentations fort créatives, n'étant pourtant vaporiste que depuis la St-Valentin de 2011, suite à une longue phase non-fumeur. Maintenant mon profil de consommation ne "flirt" pratiquement plus jamais avec les "couch-lock"; un bol de ~125 mg de fleur de cannabis sec finement broyé fournit 5 à 6 inhalations assorties de 2 à 4 exhalations satisfaisantes, bien visuelles surtout des filets de soleil matinal. La machine à 300 piastres recentrait mon univers pendant 2 ~ 3 longues minutes à attendre qu'un bruyant sac de plastique soit finalement rempli, ce qui implique que la dernière molécule noble à s'y faire capturer a "cuit" pendant autant de temps... Etc.,etc. En clair le prix de départ ne s'est pas justifié par la suite, mais cependant je considère que c'était un "passage obligé" menant à une meilleure définition de mes propres besoins et attentes personnels. En tout cas je souhaitais juste mentionner que les outils à souder couvrent un spectre de températures comportant une mesure de ~183, ce qui m'amène également à signaler qu'une mesure implique forcément un délai et que les méthodes de consommation thermostatiques ont les défauts de leurs qualités. Par exemple il m'était impossible d'explorer un mode dit à "chaleur pulsée", ce que je décrirais par éclair de chaleur, comme traversé par une bulle d'énergie sans presque aucune cuisson ni avant ni après. Car au bout de quelques "tokes" déjà on sent bien l'effet délétère d'une chaleur improductive, c'est-à-dire quand les molécules nobles subissent d'intenses températures entre les inhalations... Etc. Et donc en mode pulsé on évite d'accumuler du temps de cuisson, ce qui allonge d'autant l'appréciation de l'arôme et du goût. ... Après un temps le souvenir d'épiques courses au "buz" tombe graduellement dans l'oubli et un profil de consommation révisé s'installe. Le coût aurait baissé des deux tiers ci ce n'était des effets pervers de nos politiques inadaptées, pour ne pas dire immatures - alors que les "élites" semblent intouchables. Ou presque. Euh... Tout ça pour ajouter qu'en mode pulsé seule la réserve d'énergie compte, puisque les lectures de température se trouvent entravées par l'impossibilité pour l'énergie de se déplacer instantanément dans la matière, sans compter que la transformation d'énergie en chaleur (dont la température n'est qu'un écho) implique un délai, ou plus précisément un bouquet d'interactions qui incluent la reconversion, etc. Ça n'a plus rien à voir avec un vaporisateur de table électrique qui d'autre part se trouve à des années-lumières d'un réel substitut-santé pour le "joint" (cigarette).

En Joules chaque bouffée et exhalations m'en "coûtent" approximativement 100, appliquées sur un bol qui donne jusqu'à 6 "tokes" honnètes. On appelle ça faire plus avec moins je dirais et plus cela déplaîra aux bigots prohitionistes de l'ère victorienne mieux je m'en porterai!

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