Hausse remarquée du taux d’hospitalisation pour une intoxication aux opioïdes chez les 15 à 24 ans
Dans la province, on rapporte 547 décès reliés à une intoxication probable aux opioïdes en 2020, soit une augmentation de 32% de surdoses mortelles comparativement à l’année précédente, selon l’Institut national de la santé publique du Québec.
6 août 2021
Steven Lafortune
Accueil, Nouvelles
Le mois d’août est le mois national de la récupération de médicaments et Jeunesse sans drogue Canada a lancé une nouvelle campagne de sensibilisation, alors qu’on remarque une hausse de cas de consommation problématique, de surdoses et d’intoxications accidentelles aux opioïdes au pays, surtout chez les 15 à 24 ans.
Avec pour thème « La famille, ça ne partage pas tout », sa directrice générale, Chantal Vallerand, a mentionné que les parents peuvent jouer un rôle clé afin de réduire ces statistiques. En plus de discuter avec leurs jeunes des risques, elle note également la réduction de l’accès aux médicaments comme méthodes de prévention.
Chantal Vallerand
Dans la province, on rapporte 547 décès reliés à une intoxication probable aux opioïdes en 2020, soit une augmentation de 32% de surdoses mortelles comparativement à l’année précédente, selon l’Institut national de la santé publique du Québec.
Lanaudière rapporte 183 cas depuis les quatre derniers jours
31 août 2021 Steven Lafortune Accueil, COVID-19
Lanaudière a recensé 183 cas de COVID-19 sur son territoire depuis les quatre derniers jours selon le plus récent bilan du CISSS.
De ce nombre, 49 ont été rapportés au cours des dernières 24 heures. Le nombre de cas actifs continue de grimper, passant désormais à 390, une hausse de 54 depuis le dernier bilan datant de vendredi (336).
Dans la province, le bilan affiche 425 cas et un décès. Les hospitalisations sont à la hausse avec 131, alors qu’une personne de moins se retrouve aux soins intensifs pour un total de 36.
Cumulatif :
Nombre de cas confirmés pour la région : 25 033
Décès : 517
Cas rétablis : 24 126
Nombre de cas actifs : 390
MRC de D’Autray : 12
MRC de Joliette : 17
MRC de Matawinie : 19
MRC de Montcalm : 60
MRC de L’Assomption : 91
MRC Les Moulins : 191
Hospitalisations : 8
Soins intensifs : 3
Les 18-21 ont accès aux opioïdes depuis leur criminalisation
Disons les 15-21 ans !
Une preuve de plus que la criminalisation ne fonctionne pas pour des personnes vulnérables aux addictions à la dépendance, avec ou sans substance, qui ont besoin d'une aide immédiate et gratuite.
Fléau protégé, légal à 18 ans mais consommé à partir de 12 ans*, par acceptabilité sociale/culturelle.
Chaque année, le tabac tue plus de 50 000 Canadiens*, principalement par cancers, maladies cardiaques et maladies pulmonaires. C’est plus de 135 par jour, et il faudra probablement quelques années avant que ce nombre ne commence à baisser. Au Québec qui protège l'industrie et les fumeurs c'est plus de 13 000 morts annuelles 35 par jour.
Un des méfaits sur la santé physique et mentale de la criminalisation, par la CAQ appuyé par les médecins/psychiatres sans preuve scientifique ni étude sur des humains, des adultes de 18-21 ans c'est leur sacrifice , mise en contact avec les organisations criminelles et nombreux produits contaminés, non réglementés, sans être renseignés sur leur puissance dont des produits de pharmaceutiques psychotropes comme les opioïdes, fentanyl carfentanil, antidépresseurs etc.
Tous les produits de pharmaceutiques psychotropes dont les consommateurs médicaux sont devenus accro, dépendants dû à des prescriptions à pochetée et répétitions par des médecins/psychiatres qui ont la phobie ciblée envers le cannabis bénin sans dose mortelle.
L'addiction:
D’abord la prise de risque ?
Ou l’addiction comme un processus de rassurement chez des gens qui ont peur de l’incertitude de l’existence ?
La recherche du plaisir ou oublier le déplaisir ?
Il faut une capacité à retenir/apprendre aussi bonne que celle à oublier.
Ex. A oublier:
Le trouble stress post-traumatique (TSPT) est un trouble mental qui peut survenir après qu'une personne a vécu un événement traumatisant ou en a été témoin. Voici quelques exemples d'événements traumatisants : la guerre. les crimes. la violence. la criminalisation sans preuve scientifique pour tenir une promesse électoraliste.
« Le cannabis thérapeutique aiderait à soulager à court terme les symptômes de personnes atteintes d'état de stress post-traumatique (ESTP). Le cannabis médical aurait des effets positif pour les personnes souffrant de stress post-traumatique. »
Soulager à court terme sans dose ni surdose mortelle, sans effets psychotropes avec le CBD* !
Pour le mélange CBD/THC selon des experts dépendant$ la durée de l'effet du cannabis est de 6-9 heures !
12 heures et plus pour les comestibles selon les mêmes experts en sondages d'opinions ?
Même 2 biscuits à 500mg de THC mangé accidentellement par un jeune enfant de 7 ans n'a pas duré 24 heure* ?
Même si l'effet n'était que placébo ce serait déjà un autre bienfait Vs les médocs de pharmaceutiques.
*Tabagisme
https://www150.statcan.gc.ca/n1/pub/82-625-x/2020001/article/00003-fra.htm
En 2019, 14,8 % des Canadiens âgés de "12 ans" et plus (soit environ 4,7 millions de personnes) fumaient tous les jours ou à l’occasion Note1. Chez les deux sexes, le nombre de fumeurs actuels a diminué entre 2015 et 2019 (passant de 20,4 % à 17,3 % des hommes et de 15,0 % à 12,3 % des femmes, graphique 1) Note2.
Quel parent responsable sain d'esprit va laisser son enfant de 12 ans fumer du tabac et/ou boire de l'alcool, mortels, dangereux pour la santé physique et mentale ?
* CBD
La position de l’Organisation mondiale de la santé sur le CBD est assez précise et claire. Selon un rapport du Comité d’Expert sur les Dépendances aux Drogues de l’OMS, la consommation de ce cannabinoïde ne représenterait aucun risque pour la santé publique.
C’est dans cet ordre d’idées que les auteurs dudit rapport soutiennent que le Cannabidiol « ne possède
aucun potentiel d’abus ». De même, plus loin, ils ajoutent que « Le CBD est généralement bien toléré avec un bon profil de sécurité ». Ces déclarations pourraient laver la molécule de tout soupçon. Notamment au sujet de ses supposés effets psychotropes qui, en réalité, seraient ceux du THC, au-delà du taux légal.
Par ailleurs, les experts de l’OMS ne se contentent pas de reconnaitre la salubrité et la sécurité de ce composant. Ils vont beaucoup plus loin. De fait, ils soulignent que ce principe actif aurait des effets thérapeutiques. Sous cet angle, précisent-ils que le CBD « s’est montré être un traitement efficace pour l’épilepsie ». Allant toujours dans le même sens, ces scientifiques de l’OMS ajoutent qu’il existerait « des preuves préliminaires que le CBD puisse être un traitement utile pour un certain nombre d’autres pathologies ». Dans la longue liste de pathologies, citons, à titre
illustratif : la maladie de Parkinson, la psychose et l’Alzheimer.
Pour dissiper tout autre doute, ils concluent « qu’il n’y a pas de preuves d’usage récréatif du CBD ou de problème de santé associés à l’usage de CBD pur. »
Un des bienfaits du cannabis c'est qu'il n'a pas de dose ni surdose mortelle !
*Cannabis : un enfant de 7 ans hospitalisé après avoir mangé des biscuits ressemblant à des Oreo
Il a été hospitalisé 24 heure mais la durée de l'effet n'a pas été de 24 h ?
Il n'a pas été intubé, ni eu besoin de soluté !
https://ici.radio-canada.ca/nouvelle/1792265/enfant-hopital-cannabis-thc...
Radio-Canada
2021-05-11 | Mis à jour le 12 mai 2021
La mère d’un enfant hospitalisé au Nouveau-Brunswick après avoir mangé des biscuits au cannabis qu’il avait pris pour des Oreo réclame un meilleur contrôle de l'empaquetage de ces produits.
Tobi Russo, de la communauté autochtone de Natoaganeg, près de Miramichi, raconte que son plus jeune fils, Moises, lui a dit samedi matin qu’il ne sentait pas bien. Les pupilles du garçon étaient dilatées et il avait des palpitations, selon elle.
Mme Russo affirme que son fils lui a dit qu’il avait mangé des biscuits et qu’elle lui a demandé de lui montrer l’emballage.
Elle dit avoir été renversée en constatant que cet emballage ressemblait de façon frappante à celui de biscuits de marque Oreo, avec des couleurs similaires et l’image d’un biscuit au chocolat et crème sur un fond d'éclaboussure de crème.
Il s’agissait en fait de biscuits de marque Stoneo de l’entreprise Dabisco. Ce produit n'est pas légal au Nouveau-Brunswick. Il contient, selon l’emballage, 500 mg de THC. À titre de comparaison, les produits comestibles légaux vendus par la société Cannabis NB contiennent généralement de 2,5 à 10 mg de THC.
Le garçon est de retour à la maison et il se porte bien. On ne croit pas qu’il risque de connaître des problèmes de santé à long terme à la suite de sa mésaventure.
A 7 ans ce jeune enfant peut consommer légalement de l'alcool avec un adulte "responsable" !
« Faible risque » ne signifie pas « zéro risque » : consommer de l’alcool, même en petite quantité, augmente les risques de subir des conséquences négatives de sa consommation (ex. : blessures, problèmes de santé).INSPQ
Les médicaments d'ordonnance à dose adulte sont les produits le plus souvent consommés accidentellement par de jeunes enfants. Des surdoses non mortelles !
Mais les médias n'en parlent pas car ils ne rapportent pas assez de clic comme le cannabis !
INSPQ 2005: Ils leur faudrait une mise à jour
https://www.inspq.qc.ca/bise/intoxications-par-produits-domestiques-et-m...
Intoxications par produits domestiques et médicaments chez l’enfant
En 2005, plus du tiers des appels reçus au Centre Antipoison du Québec (CAPQ), soit 18 134 intoxications, concernaient des expositions chez des enfants de moins de 6 ans.
Plus de 92 % des expositions rapportées chez les jeunes enfants sont accidentelles, mais on rapporte aussi un nombre non négligeable d’erreurs thérapeutiques lors de l’administration de médicaments. En 2005, 1 171 erreurs thérapeutiques ont été signalées au CAPQ, ce qui représente 6,5 % de toutes les intoxications pour ce groupe d’âge.
Les enfants qui sont le plus à risque d’intoxication sont les petits âgés de 1 à 3 ans qui ont été victimes de 10 708 intoxications en 2005, soit 60 % de toutes les intoxications rapportées chez les moins de 6 ans. Le tableau 1 montre la répartition des intoxications selon l’âge chez les jeunes enfants. Les garçons, en raison de leurs comportements plus turbulents, sont plus fréquemment victimes d’intoxications accidentelles que les filles. Les statistiques démontrent qu’ils représentent 54 % des intoxications rapportées pour les moins de 6 ans en 2005.
Les produits d’usage domestique et les médicaments sont impliqués dans 51 % et 46 % respectivement des intoxications pédiatriques
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