Analyse : Les craintes des opposants à la légalisation de la marijuana ne se sont pas concrétisées au Canada
Du point de vue de la santé publique, la réglementation et l'éducation sont des stratégies préférables à la criminalisation
PAR NORML POSTÉ SUR 17 AOÛT 2021
Selon une analyse publiée dans le Journal de l'Académie canadienne de psychiatrie de l'enfant et de l'adolescent, les inquiétudes selon lesquelles la légalisation de la marijuana pour les personnes âgées de 18 ans et plus au Canada entraînerait des conséquences néfastes pour la santé publique ne se sont pas concrétisées .
L'analyse révèle qu'il n'y a eu « aucune augmentation marquée de la consommation de cannabis chez les jeunes » au cours de la période de trois ans suivant la légalisation. Les auteurs soulignent en outre l'impact sociétal positif de la réduction des arrestations liées à la marijuana chez les adultes et les jeunes à la suite du changement de politique. La réglementation de la marijuana a également conduit à des messages de santé publique plus ciblés, suggèrent les auteurs.
Ils concluent : « Dans la période précédant la légalisation, les associations professionnelles… ont suggéré que la légalisation constituait une menace pour la santé publique, ont plaidé pour que l'âge légal pour la consommation de cannabis soit fixé à un âge minimum de 21 ou 25 ans, ou que le Canada ne devrait pas légaliser pas du tout parce que cela exposerait les jeunes à un plus grand risque de préjudice. Avec de telles craintes catégoriques désormais largement infondées, cela devrait fournir la base pour aller de l'avant sur des motifs plus nuancés. … Sur la balance, la légalisation du cannabis - en particulier si l'on considère les graves impacts sociaux négatifs de la criminalisation, et en particulier pour les jeunes - continue d'offrir le potentiel de mieux protéger et d'obtenir des avantages nets conséquents pour la santé publique et le bien-être des consommateurs de cannabis et de la société en général.
Commentant les données, le directeur exécutif de NORML, Erik Altieri, a déclaré : « Du point de vue de la santé publique, la réglementation et l'éducation sont des stratégies préférables à la criminalisation. Dans l'ensemble, la légalisation de l'utilisation par les adultes fonctionne en grande partie comme l'envisageaient les électeurs et les politiciens, c'est pourquoi un nombre croissant de juridictions modifient leurs politiques dans cette direction.
Des évaluations distinctes de la politique de légalisation du Canada n'indiquent aucune augmentation du pourcentage d'accidents de la route attribuables à la marijuana et aucun changement dans la consommation ou l'accès au cannabis chez les jeunes à risque élevé. Des données supplémentaires publiées en avril dans la revue Health Reports révèlent que les Canadiens passent rapidement du marché illicite au marché légal - avec environ 70 pour cent des consommateurs de cannabis déclarant maintenant obtenir la plante de sources légales.
Les analyses des lois de réglementation de l'utilisation par les adultes au niveau des États aux États-Unis n'ont pas non plus trouvé de hausses significatives de l'utilisation ou de l'accès des jeunes qui pourraient être attribuables à la légalisation. D'autres études n'ont signalé aucune association entre les lois de légalisation et toute augmentation des admissions en traitement de la toxicomanie, des crimes violents ou des décès par surdose.
Le texte intégral de l'étude, « La consommation et la légalisation du cannabis chez les jeunes au Canada – Reconsidérer les peurs, les mythes et les faits dans trois ans », paraît dans le Journal de l'Académie canadienne de psychiatrie pour enfants et adolescents. Des informations supplémentaires sont disponibles à partir de la NORML fait-feuille , « la réglementation de la marijuana: impact sur la santé, la sécurité et l' économie. »
Sur le même sujet
https://norml.org/news/2021/07/22/analysis-adult-use-legalization-laws-n...
Analyse : Les lois sur la légalisation de l'utilisation par les adultes ne sont pas liées à l'augmentation des crimes violents et à la toxicomanie problématique
PAR NORML POSTÉ SUR 22 JUILLET 2021
Analyse complète publiée par le National Bureau of Economic Research.
https://www.nber.org/system/files/working_papers/w29038/w29038.pdf
Les résultats de l'étude sont cohérents avec ceux d'autres - tels que ceux ici (1) et ici (2) - qui ont également signalé que les changements dans le statut juridique du cannabis par l'État ne sont associés à aucun effet indésirable significatif sur la santé et la sécurité globales.
1 - https://norml.org/news/2021/02/11/report-adult-use-legalization-laws-not...
Rapport : Les lois sur la légalisation de l'utilisation par les adultes ne sont pas associées à des effets néfastes sur la santé publique
PAR NORML POSTÉ SUR 11 FÉVRIER 2021
2 - https://norml.org/blog/2018/02/05/status-report-the-impact-of-adult-use-...
Rapport de situation : L'impact des régimes de réglementation de l'utilisation par les adultes
PAR PAUL ARMENTANO, DIRECTEUR ADJOINT DE NORML POSTÉ SUR 5 FÉVRIER 2018
Réglementation et l'éducation préférables à la criminalisation
Du point de vue de la santé publique, la réglementation et l'éducation sont des stratégies préférables à la criminalisation.
Réglementation et l'éducation préférables à la criminalisation !
Car la criminalisation est le plus grand danger du cannabis pour la santé.
Il faut un QI de combien pour ne pas comprendre ça ?
Au Québec prohibitionniste conservateur les membres de la CAQ appuyés par les associations de médecins/psychiatres cannaphobes, dépendants, peureux, du Québec ont choisi de criminaliser sans preuve scientifique les adultes légaux à 18 ans qui ont droit à l'achat, la possession, consommation, production personnelle des produits mortels protégés* par la CAQ, qui ont tué prématurément plus de 51 000 Québécois depuis l'élection de la CAQ en plus des maladies physiques (nombreux cancers) et mentales ( Psychoses, dépressions, addictions, dépendances). Mais adultes légaux de 18 ans criminalisés qui n'ont pas droit au cannabis bénin sans dose mortelle ni morts directes et aux multiples bienfaits et usages, thérapeutiques, récréatifs, agricoles, industriels.
Non satisfaits d'avoir criminalisé stupidement sans preuve scientifique les adultes de 18-21 ans, 50% des consommateurs, ils les ont sacrifiés aux organisations criminelles aux nombreux produits, de pharmaceutiques à dose mortelle dangereux pour la santé physique et mentale, contaminés, non réglementés, sans être renseignés sur leur puissance.
Ces adultes légaux dociles exemplaires de 18 ans et plus avaient choisi et pu essayer le cannabis légal du monopole SQDC pendant quelques mois malgré les longues lignes d'attente, les ruptures de stock, le peu de choix et de points de vente, avant d'être criminalisés arbitrairement pour tenir une promesse électoraliste qui n'a rien à voir avec la Santé publique ni la réduction des méfaits.
La CAQ et son économiste autoproclamé dealmaker, fourni des millions par trimestre aux autres dealmakers des organisations criminelles avec les 18-21 ans en plus de ce que la prohibition leur fourni déjà. Prenez les résultat$ des ventes de grammes de la SQDC et multipliez par deux pour le marché illicite qui n'a pas à payer de taxe ni suivre les restrictions de Santé Canada.
Millions qui sont enlevés à la SQDC (nous) qui devraient servir à
A la Réglementation et l'Éducation préférables à la criminalisation !
A une aide immédiate et gratuite aux personnes vulnérables à l'addiction et la dépendance avec ou sans substance.
* Protégés !
Mort de plus de 51 000 Québécois depuis l'élection de la CAQ en plus des maladies.
Il faut un QI de combien pour ne pas comprendre et pire encore accepter les méfaits dangereux pour la santé physique et mentale de l'alcool et du tabac protégés avec 51 000 morts évitables/acceptables malgré la réglementation et l'éducation sans criminalisation ? Alcool et tabac légaux, toujours disponibles sur le marché illicite qui comme plusieurs autres produits légaux vendu illégalement, n'a pas été éliminé malgré des Escouade$ Spécialisée$.
Un parent responsable (?) peut consommer de l'alcool un dépresseur comme l'héroïne avec son jeune enfant de 8-12 ans et moins dont le cerveau ne sera complété qu'à 23-25 ans, sans risque de criminalisation ni visite de la DPJ.
Responsables ou Irresponsables ?
Rappelons que la CAQ son ministre de la santé publique, la SAQ, Éduc'alcool qui reçoit des millions annuellement de la SAQ, les associations de médecins/psychiatres/pédiatres cannaphobes, la DPJ qui manque de personnel, n'exigent pas d'âge minimum pour la consommation d'alcool un dépresseur comme l'héroïne, par de jeunes enfants de 8-12 ans et moins. Dont le cerveau ne sera complété qu'à 23-25 ans ! 82% des Québécois de 12 ans et plus consomment et abusent de ce dépresseur. Il y a une surprescription et surconsommation d'antidépresseurs au Québec mais aucun "expert" en Santé publique n'y voit de lien de causalité ?
Un parent responsable qui refuse de sacrifier son adulte légal de 18 ans aux organisations criminelles avec de nombreux produits dangereux et choisi de consommer du cannabis légal avec son adulte légal, pour l'orgueil du premier pro et pro-tecteur de l'alcool et tabac mortels, risque jusqu'à 14 ans de prison.
Des violeurs et pédophiles risquent jusqu'à beaucoup moins que 14 ans !
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