Étude : La légalisation de la marijuana augmente les taux d'accidents
Les conducteurs qui consommaient uniquement de la marijuana n'étaient pas plus susceptibles d'être impliqués dans des accidents que les conducteurs qui n'avaient pas consommé de drogue.
12 JUIL. 2021
DAVE WERNER
Conseil de la sécurité routière du comté de Franklin
dwerner151@verizon.net
De plus en plus de preuves émergent que les taux d'accidents augmentent lorsque les États légalisent l'utilisation récréative et la vente au détail de marijuana. Cela ne devrait pas être une surprise.
Un récent webinaire auquel j'ai assisté a couvert les recherches les plus récentes de l'Insurance Institute for Highway Safety et du Highway Loss Data Institute, montrant que les taux d'accidents augmentent dans les États qui légalisent l'utilisation récréative et la vente au détail de marijuana. La recherche indique également que la marijuana s'ajoute au problème persistant substantiel de l'alcoolisme en raison de l'utilisation combinée des deux substances.
Cependant, les résultats préliminaires d'une étude distincte de l'IIHS sur les conducteurs blessés qui se sont rendus dans les salles d'urgence en Californie, au Colorado et en Oregon ont montré que les conducteurs qui consommaient uniquement de la marijuana n'étaient pas plus susceptibles d'être impliqués dans des accidents que les conducteurs qui n'avaient pas consommé de drogue. Cela est cohérent avec une étude de 2015 de la National Highway Traffic Safety Administration qui a révélé qu'un test positif pour la marijuana n'était pas associé à un risque accru d'être impliqué dans un accident signalé par la police.
Plus d'un tiers des États américains ont légalisé la marijuana à des fins récréatives pour les adultes de 21 ans et plus. Les recettes fiscales considérables que ces États gagnent incitent d'autres à explorer une législation similaire, et des sondages récents indiquent que 68% des adultes américains sont favorables à la légalisation, selon l'IIHS.
C'est une préoccupation potentielle pour ceux qui se soucient de la sécurité routière. Des tests sur simulateur de conduite ont montré que les conducteurs qui consomment beaucoup de marijuana réagissent plus lentement, ont plus de difficulté à faire attention, ont plus de difficulté à maintenir la position de leur voiture dans la voie et font plus d'erreurs lorsque quelque chose ne va pas que lorsqu'ils sont sobres. Mais ces tests ont également montré que les conducteurs aux facultés affaiblies par la marijuana sont susceptibles de conduire à des vitesses plus lentes, de faire moins de tentatives de dépassement et de garder plus de distance avec la voiture qui les précède.
La plus récente de ces études de l'IIHS montre que les taux de blessures et d'accidents mortels en Californie, au Colorado, au Nevada, en Oregon et à Washington ont bondi dans les mois qui ont suivi l'assouplissement des lois sur la marijuana dans chaque État. Ensemble, l'impact de la légalisation et, par la suite, les ventes au détail dans les cinq États ont entraîné une augmentation de 6 % des taux d'accidents corporels et une augmentation de 4 % des taux d'accidents mortels par rapport à d'autres États occidentaux où la consommation de marijuana à des fins récréatives était illégale au cours de la période d'étude. . Seule l'augmentation des taux d'accidents avec blessures était statistiquement significative.
Malgré ces augmentations des taux d'accidents, les études visant à déterminer si la marijuana elle-même rend les conducteurs plus susceptibles d'avoir des accidents ont été incohérentes. Le dernier de l'IIHS – qui a utilisé des données recueillies auprès de conducteurs blessés dans trois salles d'urgence à Denver, Colorado; Portland, Oregon; et Sacramento, Californie - n'a montré aucune augmentation du risque d'accident associée à la drogue, sauf lorsqu'elle est combinée avec de l'alcool. Ces chiffres d'utilisation combinée pourraient aider à expliquer pourquoi les taux d'accidents ont augmenté. La légalisation peut encourager davantage de personnes à boire et à consommer de la marijuana ensemble.
Des études comparant la consommation simultanée d'alcool et de marijuana dans les États où la marijuana est légale avec les États où elle est toujours illégale seront nécessaires pour tester cette hypothèse. Néanmoins, les responsables de la sécurité routière, les forces de l'ordre et le public en général devront être conscients des effets que la marijuana peut avoir sur la capacité de conduire un véhicule en toute sécurité.
à la drogue, sauf lorsqu'elle est combinée avec de l'alcool ?
« Le dernier de l'IIHS – qui a utilisé des données recueillies auprès de conducteurs blessés dans trois salles d'urgence à Denver, Colorado; Portland, Oregon; et Sacramento, Californie - n'a montré aucune augmentation du risque d'accident associée à la drogue, sauf lorsqu'elle est combinée avec de l'alcool. Ces chiffres d'utilisation combinée pourraient aider à expliquer pourquoi les taux d'accidents ont augmenté. »
Même en 2021 il faut rappeler que l'alcool, un dépresseur comme l'héroïne, est une drogue ?
Sur le tableau de la dangerosité.
#1 - Les opioïdes
#2 - L'alcool un dépresseur (comme les opiacés). Mais #1 pour le nombre de drogués mondiaux.
#3 - Le tabac. #1 pour le nombre de morts évitables acceptables. Plus de 13000 par an au Québec !
Alcool un dépresseur légal aux enfants de 8 ans et moins, qui cause des maladies physiques, nombreux cancers et mentales, perte de Qi, drogue #1 du violeur bon marché disponible partout, responsable de perte de mémoire (black Out) comportements antisociaux violence envers soi et/ou les autres, hallucinations lors de sevrage, etc.
Au Québec l'alcool protégé par la CAQ, publicisé par la SAQ et Éduc'alcool cause plus de 4000 morts évitables prématurées par acceptabilité sociale, culturelle.
« L'alcool multiplie par 13,6 le risque d'accident de voiture mortel, tandis que la marijuana a un effet multiplicateur de 1,8, selon une étude de l'Université Columbia . »
Les prohibitionnistes dans leur campagnes de peurs, de désinformation, de manipulation de la science, ont réussi à faire croire aux peureux influençables que cannabis et héroïne c'était la même chose !
A quand remonte la dernière fois où un membre des associations de médecin/psychiatre pro-médoc$ cannaphobes dépendant$ ont informé la population dans les médias sur le fait scientifique que l'alcool, légal à la consommation par de jeunes enfants de moins de 8-12 ans est un dépresseur comme l'héroïne, mais qui cause plus de surdoses, de morts et maladies annuelles ?
Pourquoi ont-ils participé à la criminalisation des adultes de 18-21 ans sans preuve scientifique, que des sondages d'opinions négatifs peu fiables et les avoir sacrifiés aux organisations criminelles avec des produits contaminés, non réglementés, sans être renseignés sur leur puissance, disponible aux 18-21 ans criminalisés arbitrairement ?
Responsable ou irresponsable ?
Les 18-21 ans représentent 50% des consommateurs, privés de cannabis légal SQDC et sa culture perso
et rapportent des millions supplémentaires par trimestre au marché organisé en plus de la prohibition.
Un amateur de cannabis à 29-32% de THC et extraits à 99,6% sait que la criminalisation ne règle pas un problème perso d'addiction de dépendance souvent causé par des prescriptions à pochetée et réplétion par ces mêmes associations de médecins/psychiatres cannaphobes.
Avoir criminalisé, emprisonné, donné des dossiers criminels, des amendes à des personnes qui ont des problèmes perso n'a pas fait diminuer la consommation de produits de pharmaceutiques, thérapeutiques ou récréatifs dont l'usage a été détourné, ni diminué des surdoses accidentelles et parfois mortelles.
Le tabac et l'alcool ne passeraient pas un test de méfait$ sur la santé physique et mentale versus bienfaits !
Ni sur la santé économique, sociale. Ils nous en coute beaucoup plus cher en méfaits que ce qu'ils rapportent !
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