l'Association canadienne des chefs de police: Le cannabis se vend 18 000$ US la livre à peine un peu moins de 1 Kilo de cocaïne
Permettez-moi d'abord de dire que je souscris à la position de l'Association canadienne des chefs de police, à laquelle j'appartiens, concernant les drogues.
Délibérations du comité spécial sur les drogues illicites - Fascicule 5 - Témoignages du 10 septembre - Séance du matin
Extrait: témoignage de M. Julian Fantino, chef du service de police de Toronto.
Solidaire avec l'association, je suis fermement hostile à toute légalisation des drogues au Canada, y compris la possession de petites quantités de marijuana ou de dérivés du cannabis.
M. Julian Fantino, chef du service de police de Toronto
La marijuana cultivée au Canada se vend jusqu'à 18 000 $ américains la livre à New York, ce qui est à peine inférieur au prix du kilo de cocaïne. Affirmation du chef du service de police de Toronto M. Julian Fantino.
(Une livre de cannabis 454g, (18 000$/454g = 39$ US le gramme, 1092$ l'once) à peine inférieure à 1 kilo, 1000g de cocaïne. Zappiste)
Pour terminer, je voudrais parler de la stratégie la plus importante de toutes, une des plus efficaces dans la lutte contre la toxicomanie et ses méfaits.
Je parle de la prévention. La prévention est sans doute l'outil le plus utile et le plus efficace qui soit. On peut lutter contre ce qui est prévisible. Nous connaissons les causes du mal, nous connaissons ses effets et la prévention peut nous permettre de protéger la société.
Prévenir la toxicomanie, c'est prévenir la criminalité. Cela représente tous les éléments de l'action policière et j'y souscris de tout coeur. C'est un moyen d'épargner des vies, de réduire les coûts de santé, d'améliorer la productivité, de combattre la dégradation sociale et d'éviter que des vies soient gâchées.
La prévention de la toxicomanie peut avoir des effets salutaires sur la sûreté, la sécurité et la qualité de la vie dans toutes les sphères de la société.
Le sénateur Grafstein: Mais les données que nous avons indiquent que très peu de décès, par exemple, cas extrême, peuvent être attribués à une forte consommation de cannabis.
M. Fantino: Je peux toutefois vous dire que dans mes huit ans à la brigade des homicides, ici à Toronto, j'ai fait enquête sur de très nombreux décès où la victime avait consommé du cannabis. Cela ne veut pas dire du tout que le cannabis était la cause du décès quand il s'agissait plutôt d'un coup de feu.
Pousse des seins et policiers "éducateurs" de Toronto
je suis FERMEMENT HOSTILE* à toute légalisation des drogues au Canada, y compris la possession de petites quantités de marijuana ou de dérivés du cannabis. M. Julian Fantino, chef du service de police de Toronto
«La prévention est sans doute l'outil le plus utile et le plus efficace qui soit.»
Seulement si elle est supporté par des études rigoureuses scientifique honnêtes non biaisées !
Il y a quelques années, des policiers et policières "éducateurs" de Toronto qui vont dans les écoles pour la "prévention/répression/intimidation" ont utilisé la pousse des seins sur les hommes comme argument pour faire peur aux adolescents. Ils ont été ridiculisé et ont dû s'excuser. Leur chef les a défendu dans les médias en prétendant qu'ils avaient utilisé la mauvaise littérature de la vieille propagande de peur, mensonge, désinformation systémique.
* Hostile: Qui manifeste de l'agressivité, se conduit en ennemi.
Besoin de CBD qui bien que psychoactif, ne produit pas d'effets psychotropes : aucune altération de la perception et aucune dépendance.
Ou d'Anxiolytiques
Anxiolytiques : Disponibles aussi sur le marché illicite.
Alprazolam: Xanax et génériques, 1982, 6-18 h
Bromazépam : Lexomil et génériques (Lectopam dans d'autres pays), 1974, 8-20 h
Clobazam : Urbanyl (1974), Likozam (2016), 10-31 h
Clorazépate potassique : Tranxene, 1974, 2 h
Clotiazépam : Veratran, 1982, 4 h
Diazépam : Valium et génériques, 1973 15-60 h
Ethyl loflazépate: Victan, 1980, 73-119 h
Lorazépam : Temesta et génériques (Ativan dans d'autres pays), 1977, 9-20 h
Nitrazépam : Nordaz, 1984, 17-48 h
Oxazépam : Seresta et génériques (Serax dans d'autres pays), 1968, 4-11 h
Prazépam : Lysanxia et génériques, 1975, 1,3 h
Les limites de temps de prescriptions ne devraient pas dépasser 12 semaines mais sont souvent dépassées ?
Les effets secondaires indésirables
La consommation des benzodiazépines expose à certains risques comme des troubles de la mémoire (amnésie antérograde qui est la perte de la mémoire des faits récents) et une altération des fonctions psychomotrices pouvant survenir dans les heures suivant la prise (ex. risque de chutes). Ces risques sont accrus chez les personnes âgées et contribuent notamment à augmenter les risques de chutes.
« Elle peut également entraîner un syndrome associant des troubles du comportement et de la mémoire et une altération de l’état de conscience. Peuvent être ainsi observés les effets suivants : aggravation de l’insomnie, cauchemars, agitation, nervosité, idées délirantes, hallucinations, état confuso-onirique, symptômes de type psychotique, désinhibition avec impulsivité, euphorie, irritabilité, amnésie antérograde et suggestibilité. »
Enfin, la consommation de benzodiazépines augmente le risque d’accident de la route.
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