Les consommateurs de pot minimisent les risques
Chez les personnes qui n’ont pas fumé de pot depuis au moins un an, 81 % évaluent qu’il y a au moins un «risque modéré» relié à la consommation.
AGENCE QMI
Vendredi, 25 décembre 2020 14:31MISE À JOUR Vendredi, 25 décembre 2020 14:31
Une bonne partie des amateurs de cannabis ne conçoit pas que la consommation de marijuana puisse devenir un problème, laisse entendre une nouvelle étude.
Par exemple, à peine 55% des Canadiens qui ont consommé du cannabis dans la dernière année admettent que cette substance peut créer des problèmes de santé mentale.
Il s’agit d’un écart important par rapport à ceux qui n’en ont pas consommé dans les derniers mois. Parmi ceux qui n’ont pas touché à la marijuana depuis au moins un an, 70 % s’inquiètent des effets de cette drogue sur la santé mentale.
Ces chiffres sont tirés de l’Enquête canadienne sur le cannabis, publiée cette semaine par Santé Canada.
Toujours d’après ce sondage, seulement un consommateur sur deux est d’avis que le cannabis comporte un certain risque. Chez les personnes qui n’ont pas fumé de pot depuis au moins un an, 81 % évaluent qu’il y a au moins un «risque modéré» relié à la consommation.
Bref, la cigarette et le vapotage préoccupent beaucoup plus que la marijuana.
Alors qu’en tout, 71 % des Canadiens jugent risquée la consommation de cannabis, ils sont 95 % à reconnaître les dangers du tabac et 90 % à s’alarmer des effets nocifs de la cigarette électronique avec nicotine.
Par ailleurs, l’étude annuelle de Santé Canada confirme que la marijuana tend légèrement à être plus populaire depuis sa légalisation, il y a deux ans maintenant. La courbe de croissance est cependant loin d’être spectaculaire, comme plusieurs le craignaient à l'époque.
Ces résultats ont été obtenus sur les douze derniers mois auprès d’un panel de 10 822 participants à travers le pays.
Avec raison: Le cannabis préoccupe beaucoup moins !
«Bref, la cigarette et le vapotage préoccupent beaucoup plus que la marijuana.»
Avec raison et statistiques pour le prouver.
Le tabac cause 13 000 morts annuelle évitables de Québécois en plus des maladies qu'il cause.
Pas de criminalisation avec 13 000 morts ni augmentation à 21 ans pour l'âge d'achat, la consommation et la culture personnelle de 15 kilo par personne adulte par foyer.
Avec 13 000 morts annuelles ont peut se demander si les rares campagnes de sensibilisation fonctionnent ?
Combien parmi les sondés ne consommaient que du cannabis seul ?
Soit aucun autre produit qui est reconnu scientifiquement comme créateur des problèmes de santé mentale ou problèmes héréditaires, environnementaux.
Aucune mort, directe, pour le cannabis seul sans dose ni surdose mortelle et sevrage en 7 jours.
Guerre des clicks ?
De LES à DES !
«Les consommateurs de pot minimisent les risques»
De LES consommateurs à DES consommateurs quelle différence ?
LES ... sont des peureux menteurs, corruptibles qui ne perdent pas leur emploi au lieu de
Des ... sont des menteurs peureux, corruptibles qui ont reçu des promotions et d’autres congédiements avec soldes.
A qui la faute ?
Ceux qui savent comment manipuler les cerveaux lents.
Le recherches de médecins psychiatres sur la manipulation du cerveau servent en publicité
pour qu’un objet inutile devienne un besoin ou qu’une idée soit une réalité.
Manipulation sans et avec médication.
Ils ont réussi à faire du mot LOVE une couche* pour bébé.
Des ours qui font usage de papier Q et on fait des COVID réserves.
La modération c’est 2-3 verres par jour selon le genre et plus...
Selon des statistiques de sondages la consommation/expérimentation de l’alcool débute à 12 ans.
Oui le risque réel du cannabis est modéré comparativement aux morts annuelles évitables et acceptables !
Tabac: 13 000 morts + Maladies
Alcool: Plus de 4 000 morts + maladies mentales et physiques.
Médicaments: Pour le nombre de morts pour des médicaments d’ordonnance à dose et surdose mortelles
qui rendent accro à effets secondaires dangereux pour la santé physique et mentale (idées suicidaires) ils ne nous donnent que les surdoses “illégales” accidentelles ?
Combien parmi les 82% de consommateurs d’alcool de 12 ans et plus avec consommation légale pour les adolescents avec permission des parents, et des médicaments d’ordonnances de pharmaceutiques prescrits à pochetée et répétition pendant des années, créent des problèmes de santé mentale et physiques ?
Acceptation culturelle !
Des théories mais pas de consensus
Au-delà des prédispositions génétiques, certaines prédispositions environnementales pourraient, elles aussi, expliquer la forte relation entre les troubles mentaux et l’abus ou la dépendance à l’alcool.
Selon cette théorie, une explication tient dans les caractéristiques – traits de personnalité, facteurs génétiques héréditaires et facteurs sociaux – des personnes atteintes de troubles mentaux, qui les prédisposent à l’abus ou à la dépendance à l’alcool. Certains experts vont jusqu’à dire que la base neurobiologique des troubles mentaux et celle de la dépendance à l’alcool pourraient être fortement comparables
Selon une deuxième théorie, les personnes atteintes de maladie mentale seraient plus sensibles aux effets nocifs des substances psychoactives que les autres. Par conséquent, pour une quantité égale d’alcool consommée, les personnes qui souffrent d’un trouble mental sont plus vulnérables aux effets intoxicants de l’alcool que les autres.
*Couches:
Les hommes politiques, c'est comme les couches pour bébés, il faut les changer souvent car ils sont vite mouillés. - Citation Theo Brinnel.
Les hommes politiques et les couches doivent être changés souvent, et pour les mêmes raisons. - Citation Sir George Bernnard Shaw.
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