Cannabis 21 ans. Les médecins psychiatres dans le champ ?
“il n’y a aucune preuve scientifique que de consommer du cannabis présente quelque risque que ce soit pour le développement cognitif après l’âge de 17 ans.”
Pourquoi avoir imposé sans preuve scientifique le 21 ans pour le cannabis seulement aux adultes légaux de 18 ans ?
L’alcool cause des psychoses !
Pourquoi l’association des psychiatres* comme plusieurs membres de la communauté médicale ont choisi d’imposer, sans preuves scientifiques, la criminalisation des adultes de 18 ans pour le cannabis légal seulement et accepté d’être complice de la CAQ et les organisations criminelles avec la criminalisation des moins de 21 ans ?
Psychiatres qui veulent à tout prix plus d'argent, de personnel "car la moitié des régions du Québec sont mal financées."
Pendant que la SQDC engrange des millions par trimestres qui servent à des publicités peu efficaces sauf pour les flots qui ne savent pas ce qu'est un Fax ?
Sans consensus comme ce fut le cas pour l'Assistance à mourir et l'élection de la CAQ avec 37,42% des votes et 66,45 % de participation.
La professeure Natalie Castellanos-Ryan,
de l’École de psychoéducation de l’Université de Montréal
et chercheuse spécialisée en prévention de la dépendance au Centre de recherche du CHU Sainte-Justine:
Elle s’en prend aussi à un mythe persistant, qui est directement dans son champ d’expertise, en l’occurrence le développement cognitif : « C’est vrai que le cerveau se développe jusqu’à 25 ans, mais il n’y a aucune preuve scientifique que de consommer du cannabis présente quelque risque que ce soit pour le développement cognitif après l’âge de 17 ans.»
C’est très clair dans la littérature scientifique et les études longitudinales dans lesquelles nous contrôlons le développement cognitif préalable.
C’est un des premiers messages avec lesquels je commencerais, que le cannabis rend stupide (en affectant le développement cognitif) ; c’est faux », tranche-t-elle.
LE THC
Les médecins psychiatres sont également préoccupés des hautes teneurs en THC de plusieurs produits qui sont offerts sur le marché par la Société québécoise du cannabis. Nous recommandons d'en limiter la teneur à un maximum de 15% et de privilégier auprès d'une clientèle plus jeune la vente de produits avec une teneur maximale de 8%. Rappelons que plus la teneur en TCH est élevée, plus le risque de développer une psychose s'en trouve accru.
Donnez-nous des chiffres de recherche scientifique sur le risque de développer une psychose pour le cannabis seul,
vous les experts en compilation de sondages d’opinion non scientifiques peu fiables !
Le limitation du taux de THC à 15% comme le 21 ans sans aucune recherche double aveugle sur des humains ni preuve scientifique !
La SQDC a des variations de taux de THC de 19 à 29% !
Pour le non récréatifs ils ont des concentrés à plus de 90% de THC depuis 19 ans !
Combien parmi ces malades ont développé des épisodes psychotiques* irréversibles dû au cannabis seul ?
Combien parmi ceux qui ont droit à 2 grammes par jour légalement ont développé des épisodes psychotique en 19 ans d'usage ?
Marc Valleur psychiatre, médecin-chef de l'hôpital Marmottan disait ceci lors d’une conférence à l’Université Laval:
Le taux d’alcool comme celui du THC ce n’est que pour offrir de plus vaste variétés de produits pour le consommateur.
Il y a de l’alcool de .05% jusqu’à 99%.
Les croisements pour obtenir des cannabis colorés c’est pour la diversité le bizzness.
Il disait qu’il ne comprenait pas que des gens puissent aimer les mygales, tarentules.
Pour lui c’était eux qui avaient un problème pas lui avec sa phobie:0)
Vous voulez voir les effets direct de médicaments de pharmaceutiques prescrits par des pédiatres et pendant des années, qui sont inefficace, dangereux pour la santé physique et mentale, l’accoutumance et des sevrages douloureux et parfois mortels, imposé à de jeunes enfants pendant des années par peur du cannabis sans dose mortelle !
Il y a 35 ans Raphaël Mechoulam a démontré les effets bénéfiques du cannabis contre l'épilepsie ! Tabletté !
Aucun chercheur ne s'est montré intéressé par ces informations scientifiques ?
Ils ne s'intéressaient qu'à la prohibition la criminalisation qu'aux prétendus méfaits tout en acceptant des cadeaux de pharmaceutiques pendant des dizaines d'années pour rendre accro et plus rapidement les malades.
Le CC est en français !
https://www.youtube.com/watch?time_continue=2&v=cfKDuw0cg0w&feature=emb_...
500 convulsions, crises myocloniques par jour ! Des hallucinations !
40 factures d'ambulances. Ils ont perdu: leur maison, leur auto, leur entreprise, leur famille.
25 000 pilules ça mine votre corps et votre cerveau.
Il devait donc guérir plus des effets des médicaments que de l'épilepsie.
*MONTRÉAL, le 5 déc. 2018 /CNW Telbec/ - L'Association des médecins psychiatres du Québec (AMPQ) appuie le gouvernement du Québec et félicite le ministre délégué à la Santé et aux Services sociaux, Monsieur Lionel Carmant, qui a déposé ce jour un projet de loi visant à hausser de 18 à 21 ans l'âge légal pour consommer du cannabis à des fins récréatives.
L'AMPQ avait formulé cette recommandation afin de protéger le cerveau des jeunes. En effet, la consommation de cannabis pose des risques documentés sur l'apparition prématurée d'épisodes psychotiques particulièrement pour les jeunes, alors que leur cerveau n'a pas atteint sa pleine maturité avant l'âge de 25 ans.
L'Association des médecins psychiatres du Québec (AMPQ) regroupe plus de 1 150 psychiatres qui pratiquent au Québec. Elle s'intéresse à l'organisation des soins en santé mentale et au cadre de travail des médecins psychiatres. L'AMPQ a notamment pour mandat de promouvoir les normes professionnelles et scientifiques les plus rigoureuses dans l'exercice de la psychiatrie. Elle œuvre aussi à susciter dans le public une meilleure connaissance de la psychiatrie et de la santé mentale et à favoriser l'accès à des services psychiatriques pour toute la population du Québec.
http://www.cmq.org/bottin/avis-de-radiation.aspx?lang=fr&a=2
AVIS DE RADIATION (2020-10-01) DANS LES TROIS (3) DERNIERS MOIS
Cette liste présente les avis de radiation prononcés au cours des trois (3) derniers mois. Pour connaître les détails liés à la radiation d’un médecin, veuillez cliquer sur son nom. Pour obtenir des renseignements additionnels, vous pouvez téléphoner au Collège pendant les heures d'ouverture : 514 933-4441, poste 5589. Pour connaître le statut actuel d'un médecin, veuillez consulter le bottin des médecins à l'aide du formulaire de recherche.
Barrier, Alain Jean (07409)
AVIS est par les présentes donné que le Dr Alain Jean Barrier (07409) exerçant la profession de médecin (chirurgie générale) à Montréal (Québec), a plaidé coupable devant le conseil de discipline du Collège des médecins du Québec des infractions qui lui étaient reprochées soit :
- d’avoir, le 1er février 2017, à sa résidence, permis à des tiers d’avoir accès au dossier clinique informatisé de madame (…) tenu au CHUM, sans l’autorisation de celle-ci et sans justification (chef 1);
- d’avoir, au cours des années 2007 à 2019, fourni à des tiers son code d’utilisateur et son mot de passe pour l’utilisation du système d’information clinique SIC (OACIS), leur permettant ainsi d’accéder aux dossiers cliniques informatisés des patients du CHUM (chef 2);
Le 22 mai 2020, le conseil de discipline a imposé au Dr Alain Jean Barrier une radiation du tableau de l’ordre pour une période de 3 mois sur les deux chefs de la plainte modifiée. Les périodes de radiation seront purgées de façon concurrente.
Conséquemment, vu la levée de la suspension des délais judiciaires le 1er septembre 2020, la décision du conseil étant exécutoire le 31è jour, le Dr Barrier est donc radié pour une période totalisant 3 mois à compter du 1er octobre 2020.
Le présent avis est donné en vertu des articles 156 et 180 du Code des professions.
Montréal, le 1er octobre 2020
Linda Bélanger
Secrétaire du conseil de discipline
Ferron, Serge (81169)
AVIS est par les présentes donné que le Dr Serge Ferron (81169) exerçant la profession de médecin (chirurgie orthopédique) à saint- Lambert (Québec), a plaidé coupable devant le conseil de discipline du Collège des médecins du Québec des infractions qui lui étaient reprochées soit :
- d’avoir, le ou vers le 15 février 2019, accédé sans autorisation et sans justification médicale, aux renseignements de santé confidentiels contenus au dossier médical de monsieur A sur le site Dossier Santé Québec (DSQ) (chef 1);
- d’avoir, au cours du mois de février 2019, transmis à Mme B, sans autorisation et au préjudice d’un patient, monsieur A, des renseignements médicaux confidentiels, ainsi que des allégations médicales non fondées à son sujet (chef 2);
Le 4 mars 2020, le conseil de discipline a imposé au Dr Serge Ferron une radiation du tableau de l’ordre pour une période de 4 mois sur les deux chefs de la plainte modifiée. Les périodes de radiation seront purgées de façon concurrente.
Conséquemment, vu la levée de la suspension des délais judiciaires le 1er septembre 2020, la décision du conseil étant exécutoire le 31è jour, le Dr Ferron est donc radié pour une période totalisant 4 mois à compter du 1er octobre 2020.
Le présent avis est donné en vertu des articles 156 et 180 du Code des professions.
Montréal, le 1er octobre 2020
Linda Bélanger
Secrétaire du conseil de discipline
Herma, Messaoud (11664)
AVIS est par les présentes donné que le Dr Messaoud Herma (11664), exerçant la profession de médecin (médecine de famille) à Ormstown (Québec), a plaidé coupable devant le conseil de discipline du Collège des médecins du Québec de l’infraction qui lui était reprochée soit :
- d’avoir, entre le ou vers le 9 octobre 2018 et le ou vers le 19 janvier 2019, transgressé les limites de sa relation professionnelle avec sa patiente à Ormstown et dans la Région métropolitaine de Montréal, districts de Beauharnois et de Montréal, en ayant plusieurs contacts physiques et relations de nature sexuelle avec celle-ci, allant jusqu’à des relations sexuelles complètes, et en lui tenant des propos déplacés et abusifs à caractère sexuel de manière répétée et insistante, et ce, par messagerie texte (chef 1)
Le 11 novembre 2020, le conseil de discipline a imposé au Dr Messaoud Herma une radiation du tableau de l’ordre pour une période de 5 ans sur le chef 1 de la plainte.
La décision du conseil étant exécutoire dès sa communication à l’intimé, le Dr Messaoud Herma est donc radié du tableau de l’ordre pour une période de 5 ans à compter
20 novembre 2020.
Le présent avis est donné en vertu des articles 156 et 180 du Code des professions.
Montréal, le 20 novembre 2020
Linda Bélanger, avocate
Secrétaire du conseil de discipline
Patterson, David W. (11035)
AVIS est par les présentes donné que le Dr David William Patterson (11035), exerçant la profession de médecin (médecine de famille) à Montréal (Québec), a été trouvé coupable par le conseil de discipline du Collège des médecins du Québec de l’infraction qui lui était reprochée soit :
- d’avoir fait défaut, d’avoir une conduite irréprochable à l’endroit d’une dame qu’il connaissait depuis juillet 2011 pour la suivre à titre de médecin de famille et qu’il revoyait en consultation les 15 et 22 janvier 2014 dans un contexte de trouble d’anxiété et de dorsalgie; en posant des gestes inappropriés, sans lien avec la raison de la consultation médicale et abusifs, notamment en procédant à un deuxième examen physique complet en moins de sept jours d’intervalle, incluant à nouveau un examen soigneux des seins de la patiente et à un « massage » de plusieurs régions, tels le bas du dos, les fesses, le ventre, les seins et le périnée, contribuant de par ce fait à abuser de la relation professionnelle et à créer un climat de méfiance (chef 1)
Le 16 octobre 2020, le conseil de discipline a imposé au Dr David William Patterson une radiation du tableau de l’ordre pour une période de 5 ans sur le chef 1 de la plainte.
La décision du conseil étant exécutoire dès sa communication à l’intimé, le Dr David William Patterson est donc radié du tableau de l’ordre pour une période de 5 ans à compter du 12 novembre 2020.
Le présent avis est donné en vertu des articles 156 et 180 du Code des professions.
Montréal, le 12 novembre 2020
Linda Bélanger, avocate
Secrétaire du conseil de discipline
Place, Christopher (89083)
AVIS est par les présentes donné que le Dr Christopher Place (89083) exerçant la profession de médecin (radiologie diagnostique) à Gatineau (Québec), a plaidé coupable devant le conseil de discipline du Collège des médecins du Québec des infractions qui lui étaient reprochées soit :
- d’avoir fait défaut, entre le ou vers le 14 juin 2017 et le ou vers le 7 octobre 2017, de compléter la rédaction du protocole de radiologie d’une IRM dans les délais que justifiait l’état de santé de Madame A, une patiente qui avait souffert d’un cancer en 2006 et qui consultait en raison d’un changement à son sein droit (chef 1);
- d’avoir fait défaut, entre le ou vers le 3 juillet 2017 et le ou vers le 16 août 2017, de donner suite à un engagement souscrit auprès du Dr Samir Salib le 3 juillet 2017 de procéder à une échographie ciblée et, si nécessaire, à une biopsie du sein de Madame A, et ce, malgré des rappels du Dr Salib (chef 2);
- d’avoir fait défaut, entre le ou vers le 14 juin 2017 et le ou vers le 7 octobre 2017, d’exercer sa profession selon les normes médicales les plus élevées en rédigeant dans le dossier de Madame A des rapports d’IRM ne respectant pas les normes médicales de la rédaction des rapports d’IRM de l’Association canadienne des radiologistes (chef 4).
Le 7 août 2020, le conseil de discipline a imposé au Dr Christopher Place une radiation du tableau de l’ordre pour une période de 3 mois sur le premier chef, une période de 3 mois sur le deuxième chef et une période de 2 mois sur le quatrième chef de la plainte. Les périodes de radiation seront purgées de façon concurrente.
Conséquemment, vu la levée de la suspension des délais judiciaires le 1er septembre 2020, la décision du conseil étant exécutoire le 31è jour, le Dr Place est donc radié pour une période totalisant 3 mois à compter du 1er octobre 2020.
Le présent avis est donné en vertu des articles 156 et 180 du Code des professions.
Montréal, le 1er octobre 2020
Linda Bélanger
Secrétaire du conseil de discipline
Tremblay, Isabelle (18916)
AVIS est par les présentes donné que la Dre Isabelle Tremblay (18916) exerçant la profession de médecin (médecine de famille) à Hemmingford (Québec), a plaidé coupable devant le conseil de discipline du Collège des médecins du Québec des infractions qui lui était reprochées soit :
- d’avoir fait défaut, à Hemmingford, entre le ou vers le 17 mai 2019 et le ou vers le 8 mars 2020, de s’abstenir de faire un usage immodéré d’alcool (chef 1);
- d’avoir, à Hemmingford, entre le ou vers le 3 mars 2020 et le ou vers le 6 mars 2020, exercé sa profession dans des circonstances ou états susceptibles de compromettre la qualité de son exercice ou de ses actes ou la dignité de la profession (chef 2).
Le conseil de discipline a rendu une décision le 2 avril 2020 et a ordonné la radiation provisoire immédiate de la Dre Isabelle Tremblay et ce, jusqu’à la décision finale du conseil de discipline.
Le 31 juillet 2020, le conseil de discipline a imposé à la Dre Tremblay une radiation du tableau de l’ordre pour une période de 8 mois sur chacun des chefs de la plainte. Les périodes de radiation seront purgées de façon concurrente. De plus, le conseil a soustrait de ces périodes de radiation temporaire la période purgée depuis le 6 mars 2020.
Conséquemment, vu la levée de la suspension des délais judiciaires le 1er septembre 2020, la décision du conseil étant exécutoire le 31è jour, la Dre Tremblay est donc radiée pour une période totalisant 8 mois (en soustrayant la période depuis le 6 mars 2020) et ce, à compter du 1er octobre 2020.
Le présent avis est donné en vertu des articles 156 et 180 du Code des professions.
Montréal, le 1er octobre 2020
Linda Bélanger, avocate
Secrétaire du conseil de discipline
Vaillancourt, Yvon A. (73165)
AVIS est par les présentes donné que le Dr Yvon A. Vaillancourt (73165) exerçant la profession de médecin (médecine de famille) à Laval (Québec), a plaidé coupable devant le conseil de discipline du Collège des médecins du Québec de l’infraction qui lui était reprochée soit :
-d’avoir rédigé et émis, le ou vers le 7 juin 2016, une ordonnance de Cipralex à une posologie de 10 mg die et en autorisant cinq (5) renouvellements de cette ordonnance au nom (…) une personne qu’il ne connaissait pas, à la demande de monsieur (…), un non professionnel qui avait rencontré celle-ci, alors qu’il n’a pas lui-même procédé au préalable à une évaluation de sa condition psychologique, établi un diagnostic, s’être assuré qu’un traitement avec cette substance était indiqué et sans inscrire de notes à cet effet (chef 1).
Le 19 avril 2018, le conseil de discipline a imposé au Dr Vaillancourt une radiation du tableau de l’ordre pour une période d’un (1) mois sur l’unique chef de la plainte modifiée.
Le 8 mai 2018, le docteur Vaillancourt en a appelé de la décision du conseil de discipline au Tribunal des professions en vertu de l’article 164 du Code des professions. L’appel a eu pour effet de suspendre l’exécution de la décision rendue.
Le 26 novembre 2020, le Tribunal des professions nous confirmait le désistement en appel du docteur Vaillancourt. En ce sens, la décision du conseil de discipline rendue le 19 avril 2018 est donc confirmée.
Le Dr Yvon A. Vaillancourt est donc radié du tableau de l’ordre pour une période d’un (1) mois à compter du 26 novembre 2020.
Le présent avis est donné en vertu des articles 156 et 180 du Code des professions.
Montréal, le 26 novembre 2020
Linda Bélanger, avocate
Secrétaire du conseil de discipline
Le Dr Yvon A. Vaillancourt est donc radié du tableau de l’ordre pour une période d’un (1) mois à compter du 26 novembre 2020.
Un mois de radiation pour une ordonnance de Cipralex à une posologie de 10 mg die et en autorisant cinq (5) renouvellements.
Cannabis légal au Québec: Jusqu'à 14 ans de prison pour la consommation d'un parent avec son adulte de 18 ans ?
Moins de 18 ans pour la consommation d'alcool.
* Consensus
Deux écoles de pensée ont des opinions partagées sur le sujet. D'un côté, plusieurs souhaitent préserver l'âge légal à 18 ans afin d'éviter que ces jeunes s'approvisionnent sur le marché noir. De l'autre, plusieurs membres de la communauté médicale comme les médecins psychiatres et les spécialistes en médecine d'urgence notamment, qui revendiquent que soit priorisée la protection du cerveau des jeunes. «Il est vrai que ceux qui consomment déjà du cannabis continueront à le faire indépendamment de l'âge légal. Mais, pour d'autres, cette barrière reportera le début de la consommation et protègera ces jeunes que les psychiatres et urgentologues voient si souvent en psychose à leurs urgences», a ajouté la Dre Igartua.
"Si souvent" c'est combien et surtout cela n'est pas une conclusion d'une recherche scientifique rigoureuse !
Les psychiatres qui ont "si souvent" recours à d'autres psychiatres pour leur santé mentale et aux médicaments de pharmaceutiques c'est combien ?
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