Publicité anti-cannabis refusée et récupérée pour une bonne cause !

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Un vieux déguisé et essayant de ressembler à un YO, de 21 ans,
avec la même tuque et physique que Joe Pesci dans maman j’ai raté l’avion,
dans un salon enfumé pour démontrer que LE cannabis c’est mal
et ce qu'il peut vous pousser à faire sous son emprise.

Horacio devrait savoir que s’excuser soi-même le “JE m’excuse” c’est impoli !

Le ridicule ne tue pas ni les COVID-ÉGOVIDÉOS.

C'est comment déjà ?
"Si ça peut aider une personne …"

https://www.youtube.com/watch?v=yNJUtkh-pIQ&feature=emb_logo

Première diffusée le 10 mai 2020

Tous les profits de l'écoute et de la vente de la chanson seront remis
à un organisme aidant les jeunes itinérants à Montréal http://hyperurl.co/oragio

Parce qu'en confinement, on peut bien avoir du plaisir aussi!
Merci à Horacio Arruda de s'être prêté au jeu si généreusement.
Quel danseur!
Apprendez-vous les pas de la Danse d'Horacio?
La chanson est disponible sur toutes les plateformes.
Bon courage à tous.

Paroles

Vendredi 13, c’est la folie folie
T’es venue chez moi pour souper t’es crazy crazy
Honoré que t’aies décidé de vivre l’apocalypse avec moi
On s’embrasse sur la boca lips haa
On rentre dans notre bulle pis on fait notre truc
C’est pas la fin du monde qui nous préoccupe
Ça faisait des semaines qu’on attendait ça
Ce sera quand la prochaine fois, damn, je l’sais pas

Partout sur la terre y’a un oragio
Mon paratonnerre c’est Horacio
On est chanceux d’avoir François Legault
Suspends tous mes droits, j’te donne le go

En quarantaine, tout ce que je peux faire c’est créer
L’âme en peine d’être obligé de m’isoler
J’ai les mains gercées, mon congélateur se vide
Les rôles sont inversés, on a flippé la pyramide
Les agriculteurs sont nos nouveaux sauveurs
J’croque dans une macintosh pleine saveur
Beaucoup d’employés au minimum à l’heure
Sont au front à tous les jours pour notre plus grand bonheur
Tout d’un coup plus sincère quand j’dis merci
Au commis qui emballe mes vivres à l’épicerie
Pâtes feuilletées, j’veux mes tartelettes portugaises
Des bouteilles de 1L de Purell j’en ai bu seize
L’autre jour dans la rue j’ai flatté un chat
Pour apprendre le lendemain que j’avais plus l’droit
Calice, plus aucun contact
Mais en écoutant les consignes, c’est le virus qu’on tacle

Partout sur la terre y’a un oragio
Mon paratonnerre c’est Horacio
On est chanceux d’avoir François Legault
Suspends tous mes droits, j’te donne le go

Tuentin Quarantino, quarantaine
On marche sans savoir où aller l’âme en peine
On s’lave les mains pis s’éloigne physiquement
Pour qu’on puisse profiter de c’qui va rester du printemps
Des dauphins qui s’amusent à Venise
Reste chez vous donne pas le flu à Denise
Certains rêvent de changement veulent des jours meilleurs
Alors que d’autres préfèrent retourner en arrière
Arc-en-ciel, nuages, ça va bien aller
Enfin de l’air frais à Montréal, c’est l’temps d’inhaler
En avril, on ne lâche pas d’un fil
Toujours à deux mètres, même quand tu te places en file
Mais théoriquement t’es pas supposé être en file
Parce que «Pas d’rassemblements pis tu restes à ton domicile»
Tout ce que tu peux acheter du Québec, fais-le
Parce qu’il faut pas qu’nos entreprises se retrouvent le bec à l’eau

Partout sur la terre y’a un oragio
Mon paratonnerre c’est Horacio
On est chanceux d’avoir François Legault
Suspends tous mes droits, j’te donne le go

Paroles : Rod le Stod
Composition : Scott Styles
Mixe : LeMind

Commentaires

Danse du Dr Arruda : le refus du Refuge fait des vagues

Danse du Dr Arruda : le refus du Refuge fait des vagues
Le refus du Refuge des Jeunes de Montréal d’accepter les futurs dons découlant du projet vidéo de Rod le Stod a fait sourciller bien des gens. La Presse en parle avec une spécialiste de la philanthropie, Caroline Bergeron.

https://www.lapresse.ca/arts/202005/13/01-5273466-danse-du-dr-arruda-le-...

Publié le 14 mai 2020 à 6h00 Mis à jour à 9h07

JEAN SIAG
LA PRESSE
Au lendemain de la diffusion de la vidéo où le Dr Horacio Arruda, directeur national de santé publique, se déhanchait sur la pièce Oragio, les réseaux sociaux se sont enflammés.

Il y a ceux qui jugeaient la participation du directeur national de santé publique inappropriée — au moment où le nombre de décès continue sans cesse d’augmenter — et d’autres qui la jugeaient plutôt sympathique, mais au-delà de ce débat, de nombreuses personnes se sont plutôt interrogées sur le refus du Refuge des Jeunes de Montréal de recevoir un don.

« Je ne savais pas que #RefugeDesJeunes pouvait se permettre de refuser des dons, lâchez pas docteur » ;
« Ça laisse un goût amer aux donateurs » ;
« C’est pas comme si les protagonistes étaient des ‘‘front” du crime organisé » ;
« Si tu attends l’arrêt de toute souffrance sur la planète pour être en mesure d’avoir du fun, je sais pas trop quel message tu envoies aux jeunes dans la misère… »

Revenons en arrière. Lundi, la directrice générale de l’organisme, France Labelle, a déploré ne pas avoir été consultée par le chanteur, puis elle a indiqué que le « timing » n’était pas bon.

« Selon nous, le temps de diffuser cette vidéo n’est pas encore venu, a-t-elle écrit. En raison du malaise que nous éprouvons et en soutien aux personnes touchées de près par cette situation de crise, dont des personnes en situation d’itinérance, nous préférons nous en dissocier. Nous reconnaissons toutefois les bonnes intentions de cette initiative. »

Le porte-parole du Refuge, le chanteur Dan Bigras, a rajouté : « On trouve ça trop tôt pendant que la souffrance est si grande. » On connaît la suite : le Dr Arruda s’est excusé. Rod le Stod s’est excusé. Et Dan Bigras a dit regretter que le Dr Arruda et France Labelle se soient « pris beaucoup de haine » au cours des derniers jours. « O.K. la critique, non à la haine » a-t-il écrit.

Faire un don, « une décision d’affaires »
Caroline Bergeron est responsable du programme de gestion philanthropique à l’Université de Montréal. Selon elle, le Refuge a un droit légitime de ne pas s’associer à un donateur, même si, manifestement, ce donateur-ci ne provient pas d’une source douteuse.

« L’organisme Marie-Vincent, qui défend entre autres les enfants victimes de maltraitance, avait dû refuser l’argent de Guy Cloutier, qui avait été contraint de faire un don à la communauté dans le cadre de sa condamnation… » donne-t-elle en exemple.

Selon elle, tout organisme de bienfaisance a la responsabilité et la latitude de recevoir de qui il veut lorsqu’il est question d’une campagne publique.

« L’organisme a la responsabilité de s’associer ou non à un donateur, précise-t-elle, mais on ne peut pas inclure un organisme sans l’avoir au préalable contacté. On ne peut pas faire un partenariat sans avertir le partenaire, illustre-t-elle. C’est une faute d’étiquette, de mauvaise pratique. »

Faire un don, c’est une décision d’affaires. Ça finance des activités liées directement à la clientèle qu’on veut aider et il faut le faire avec beaucoup de discernement.

Caroline Bergeron, responsable du programme de gestion philanthropique à l’Université de Montréal

Dans ce contexte, les raisons du refus invoquées par le Refuge se défendent parfaitement, croit Caroline Bergeron, même si de toute évidence, l’organisme n’a pas voulu « avoir sur les bras une crise de communication », sachant fort bien que la participation du Dr Arruda au projet ne ferait pas l’unanimité et annonçait une controverse.

« C’est aussi une question de valeurs, mais ils auraient pu accepter, ça n’aurait pas été immoral, dit-elle. Je ne pense pas que les jeunes qui reçoivent l’aide du Refuge auraient été choqués, c’est une question de culture d’organisme. On est dans le domaine de l’éthique. Et une décision éthique n’est jamais bonne ou mauvaise, on doit juste la justifier avec les critères qui nous appartiennent. »

Toutes les causes sont bonnes
En ces temps troubles, le divertissement peut certainement être un baume aux souffrances que vit la population, tout est dans la manière de le faire, croit Caroline Bergeron.

« Il n’y a pas de bonne ou de mauvaise cause, il y a des organismes bien gérés et mal gérés ; des bons et des mauvais donateurs. En fait, il y a autant de bonnes causes qu’il y a de désirs d’aider. En général, les causes qui rallient le plus de gens touchent à la santé, aux services communautaires et à la religion, pas parce que ce sont de meilleures causes, mais parce qu’elles sont plus populaires. »

Même si certains organismes de bienfaisance dans le domaine de la santé reçoivent beaucoup de dons ces temps-ci, les temps sont durs en général dans le monde de la philanthropie, nous dit Caroline Bergeron.

« Les organismes n’ont déjà pas beaucoup d’argent dans leurs coffres et en ce moment, ils ne peuvent plus organiser d’événements-bénéfices ou d’activités pour amasser des fonds. Ce qui rend la décision du Refuge encore plus difficile, même si on n’a pas de détails sur les sommes qu’il aurait pu recevoir avec ce projet. »

Les banques alimentaires acceptent les dons de la SAQ !

Fière partenaire des Banques alimentaires du Québec (BAQ), la SAQ met en œuvre plusieurs initiatives chaque année pour amasser des fonds qui sont redistribués par les BAQ aux 19 Moissons régionales et à près de 1200 organismes communautaires à travers le Québec. Grâce à la générosité de nos clients et à l’engagement de nos employés, nous avons remis à ce jour plus de 7,9 millions de dollars pour soutenir de nombreuses familles partout à travers la province, dont plus de 2,3 millions de dollars en 2019.

Est-ce que la SAQ fait parti des bons ou des mauvais donateurs ?

Connaissant les méfaits de l'alcool, drogue légale, la plus consommée au monde
causant : la violence, la dépendance, la maladie, la mort ?

Selon la CAQ la SQDC qui engrange d'énormes profits fait parti des mauvais donateurs !
C'est pourquoi les Banques alimentaires et Organismes charitables en manque en sont privés.

Car au Québec il est interdit de présenter le cannabis légal sous un jour favorable,
de montrer jusqu'à la représentation d'une image de feuille qui est de l'incitation
mais seulement pour le cannabis.
Non prouvé scientifiquement sauf par le comité d'experts en sondages d'opinions,
de Lionel Carmant, peu fiables.

La CAQ a promis de protéger les produits légaux qui tuent
en n'ayant pas eu le courage de modifier la loi sur l'âge d'achat et consommation le prouve.

Qui ont recours régulièrement aux Banques alimentaires ?
Et exceptionnellement, mais pour combien de temps,
en ces temps de pandémie, confinement ?

Le «Show Du Refuge» a amassé 475 000 $ en 2019.
La SQDC a engrangé un bénéfice net de 11,6 millions au cours du troisième trimestre.

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