Cannabis : les jeunes visés par une nouvelle campagne
Cannabis : les jeunes visés par une nouvelle campagne
Agence QMI
| Publié le 4 février 2019 à 15:26 - Mis à jour le 4 février 2019 à 15:32
Le gouvernement du Québec a lancé lundi une campagne visant à informer les jeunes des risques associés à la consommation de cannabis.
Elle vise principalement deux groupes de la population, soit les 15-17 ans et les 18-34 ans.
«Notre gouvernement s'est engagé à déployer tous les efforts possibles pour mieux protéger la population, et tout particulièrement les adolescents et les jeunes adultes, contre les effets néfastes du cannabis, a affirmé lundi le ministre délégué à la Santé et aux Services sociaux, Lionel Carmant, par communiqué. Les jeunes sont plus vulnérables devant les risques réels que représente le cannabis, bien qu'il soit maintenant légal.»
Sous le thème «Impossible que le cannabis fasse ça. Mais il y a de vrais risques», la campagne «mettra en opposition de faux et de vrais risques associés à la consommation de la substance», a indiqué le cabinet de M. Carmant dans un communiqué. «Elle vise à attirer l'attention des jeunes, grâce à des images surprenantes, dans le but de leur communiquer ensuite de l'information sur les conséquences que le cannabis peut avoir sur leur santé.»
Quatre types de risques «qui font consensus chez les experts en ce qui a trait au cannabis» seront abordés durant cette campagne, a-t-il été mentionné lors du lancement: «le risque de développer une dépendance; le risque de nuire au développement du cerveau; les risques liés à la santé mentale; les risques liés au mélange avec d'autres substances».
Les informations seront relayées via des panneaux d'affichage, des publicités à la télévision, à la radio numérique, au cinéma et sur internet.
Les jeunes visés par le judiciaire !
Développement du cerveau !
A 25 ans moins un jour pour les hommes et femmes adultes
le cerveau n'est pas complètement développé !
Aussi arbitraire que: Des lois sont arbitraires !
Ex: à 18 ans moins un jour tu es un criminel
si tu achètes et consommes de l’alcool nicotine et du cannabis.
Idem pour Éduc’alcool
Les 14-21 verres semaine recommandé, selon le sexe, et plus le weekend,
ont été choisi arbitrairement !
Des personnes vont devenir ivres
avec 2-3 verres le weekend d'autres pas.
Suivre leur recommandation permet de développer
un niveau de tolérance.
Cela étant dit.
Les jeunes visés par le judiciaire !
Comme avant la légalisation du cannabis au Canada.
Et la légalisation/prohibition Québécoise.
Consommer du cannabis est un moindre risque pour la Santé
comparé aux méfaits des sanctions pénales.
Les campagnes broche à foin
ne pourront heureusement pas censurer les médias
qui vont présenter des images, des personnes
qui consomment du cannabis ont des emplois,
des enfants, etc...
C’est de la censure d’interdire la présentation ou représentation
d’une feuille de cannabis nu, sur des objets.
Qui est criminellement, non scientifiquement, reconnu,
comme de l’incitation pour le cannabis seulement.
On peut porter des objets avec des images, marques, d’alcools
dont l’acceptation culturelle rend acceptable la pub, rabais, etc.
tout en connaissant les effets néfastes, sur la santé physique et mentale.
On peut aussi porter un drapeau
avec les 11 étoiles qui représentent les États confédérés
qui refusaient l’abolition de l’esclavage.
-Posséder plus de 30 grammes de cannabis dans un lieu public : contravention entre 750 et 1500 $ pour les petites quantités et 5 ans de prison
-Une personne non autorisée qui vend du pot risque jusqu’à 14 ans de prison.
-Faire pousser 1 à 4 plants de pot au Québec : entre 250 $ et 1500 $ d’amende, et plus de 4 plants partout au Canada : jusqu’à 14 ans de prison
-Donner ou vendre du cannabis à une personne de moins de 18 ans : jusqu’à 14 ans de prison
-Acheter du pot ailleurs qu’à la *SQDC : amende de 5000 $ à 1 000 000 $.
-Avoir du cannabis dans vos poches dans un CPE, une école ou un cégep (sauf les résidences étudiantes) : amende de 750 $ à 1500 $
*SQDC. Monopole, qui ne remplis pas son mandat, ses promesses ni ses tablettes.
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