Cannabis: Les Pushers de drogues dures à accoutumance, l'Académie nationale de Pharmacie assure qu'une dépénalisation du cannabis en france « serait catastrophique en termes de santé publique ».
http://www.ouest-france.fr/sante/addictions/drogues/cannabis-lacademie-d...
Zappiste: « La preuve est désormais établie que l’on meurt du cannabis » ???
Des bouffons à la botte des compagnies pharmaceutiques qui ont peur de perdre des bakchichs ?
Ils vendent des médicaments dont les effets secondaires sont pire que la maladie et parfois mortels.
L'autoproduction du cannabis thérapeutique leur enlèverait d'énormes profits !
Un taux de THC à 20% ne causera jamais les centaines de milliers morts de l'alcool et du tabac annuellement en France !
Des compagnies produisent du cannabis thérapeutique à plus de 20%.
Si leur intention est la santé des français ils devraient faire interdire l'alcool, le tabac, qui tuent 100 000 personnes annuellement en France !
Mais la consommation l'abus et essayer d'arrêter l'alcool et le tabac font vendre des médicament$$$...
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Les effets nocifs de l'alcool sur l'organisme.
Les effets psychotropes.
L'alcool est un produit qui stimule initialement l'individu, et qui ensuite le calme ou l'endort. Il est également désinhibiteur, c'est à dire favorisant l'échange avec les autres, mais aussi "les passages à l'acte" (violences, agressions). L'usage chronique d'alcool aboutit à un état dépressif si tant est que celui çi n'était pas déjà préexistant.
L'alcool est classé parmi les drogues. La dépendance psychique est relativement modeste, l'impression de dépendance psychique est surtout sous-tendue par l'amélioration passagère de l'état mentale lors de la prise d'alcool. La dépendance physique est très importante. En effet, l'état de manque ou le sevrage alcoolique engendre des tremblements, des confusions mentales (prédélirium ou délirium tremens) qui, sans soins, peuvent aller jusqu'au décès. Lors de ces états, la personne tremble, transpire, a souvent des hallucinations à type d'animaux (rats, araignées, reptiles). Cet état est une urgence médicale.
Les autres effets sur le cerveau et les nerfs.
L'alcool a comme autre particularité de détruire les neurones soit directement lors de l'absorption de doses massives, soit en empêchant l'absorption digestive des vitamines B. Les neurones ayant absolument besoin de ces vitamines pour vivre, il y a mort neuronale.
Cette mort neuronale se traduit par trois grands types de symptômes:
-des troubles définitifs de l'équilibre, la personne reste "ébrieuse " à vie du fait de lésions situées au niveau du cervelet (ataxie) et des nerfs périphériques (polynévrite).
-des troubles de la mémoire des faits immédiats, la personne devient définitivement incapable de mémoriser les faits récents, tout en gardant intact les faits anciens. Cela est dû à des lésions de la région hippocampique du cerveau.
-des troubles démentiels plus généraux, liés à des atteintes moins localisées du cortex.
Les effets sur le foie.
L'alcool induit trois types d'effets sur le foie: l'hépatite, la stéatose, la cirrhose.
-l'hépatite traduit la destruction des cellules du foie ,ou hépatocytes. (Voir article) Contrairement à l'idée reçue, l'hépatite n'est pas une pré-cirrhose et le dosage des enzymes signifiant la destruction cellulaire (transaminases ou TGO-TGP STGO STGP) est un très mauvais critère de suivi de cirrhose. En générale, une hépatite est réversible à l'arrêt de l'intoxication.
-la stéatose correspond à un dépôt de graisses dans le foie. Ces graisses sont des triglycérides. On les retrouve dans le sang à des taux anormalement élevés chez les consommateurs excessifs d'alcool, mais aussi de sucres rapides ou lents (féculents). Le dépôt de triglycérides disparaît difficilement après un régime sévère et l'arrêt de l'alcoolisation.
La stéatose se traduit pas un gros foie mou et sensible.
-la cirrhose est un dépôt de protéines dans le foie. Ce dépôt n'est pas réversible. Le foie devient dur, pierreux, rempli de nodules. La cirrhose peut évoluer l'insuffisance hépatique (jaunisse, hémorragies) ou vers le cancer du foie.
Les effets sur le pancréas.
La prise d'alcool engendre des inflammations pancréatiques (pancréatites) et des destructions pancréatiques. Les conséquences en sont des insuffisances des fonctions digestives (diarrhées chroniques), des cancers du pancréas, et du diabète puisque le pancréas régule le taux de sucre.
Les effets sur l'estomac.
Les effets classiques sont des reflux oesophagiens et des inflammations des muqueuses. Cette inflammation des muqueuses est à l'origine de la malabsorption de certaines vitamines, et donc indirectement des troubles neurologiques.
Le consommateur se plaint de reflux alimentaires le matin et de brûlures digestives.
Les effets sexuels.
L'alcoolisation chronique s'accompagne régulièrement mais pas systématiquement d'une impuissance chez l'homme et d'une disparition des cycles menstruels chez la femme. Ces états correspondent déjà à une altération conséquente de l'état général.
Les effets sur les vaisseaux et le coeur.
L'effet le plus classique est la réduction de l'artérite. Cet effet bénéfique est un peu controversé car peut être dû aux folâtes qui sont des molécules présentent dans beaucoup de boissons alcoolisées.
L'hypertension artérielle est assez régulièrement constatée, L'alcool est considéré comme étant la première cause d'hypertension artérielle en France.
Sur le système veineux, les boissons alcoolisées aggravent les douleurs veineuses et les problèmes hémorroïdaires.
Enfin, on constate chez les grands alcooliques une atteinte du muscle cardiaque pouvant aller jusqu'à l'insuffisance cardiaque et la mort. Les palpitations favorisées par la prise de certaines boissons alcoolisées sont un moindre mal.
Les effets cancérigènes.
Ils sont souvent favorisés par la prise concomitante de tabac. Les cancers les plus fréquents sont, outre le cancer du pancréas déjà cité, les cancers de la langue, de la gorge (larynx, cordes vocales) et les cancers de l'oesophage.
Les effets sur la moelle osseuse.
L'alcool a un effet délétère sur le développement des globules rouges et des globules blancs. Cet effet est direct, toxique, ou indirect, carences vitaminiques. Son expression la plus connue est le VGM (volume globulaire moyen), augmenté chez les alcooliques (et les fumeurs), et qui sert de test de surveillance pour les alcooliques chroniques.
L'alcool est aussi la drogue du violeur.
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Drogues - Modifié le 10/05/2016 à 11:43 | Publié le 10/05/2016 à 11:43
Dans un communiqué, l'Académie nationale de Pharmacie assure qu'une dépénalisation du cannabis en france « serait catastrophique en termes de santé publique ».
L’Académie nationale de Pharmacie vient de réitérer son opposition à la dépénalisation du cannabis en France. Dans un communiqué publié fin avril, l'autorité estime qu'une telle mesure « serait un très mauvais message adressé à la jeunesse de notre pays ».
Une autoproduction qui pullulerait Alors que le secrétaire d'État aux Relations avec le Parlement Jean-Marie Le Guen venait de souhaiter, mi-avril que « le PS ouvre un débat sur la fin de la prohibition » du cannabis, les membres de l’Académie assurent qu'une dépénalisation du cannabis « serait catastrophique en termes de santé publique », d’autant plus dans un pays comme la France, caractérisée « par une consommation record en Europe ».
Et si certains fervents défenseurs de la légalisation affirment qu’une telle mesure permettrait de contrôler les concentrations des produits vendus légalement, l’Académie juge, elle, qu’on ne pourrait contrôler l’autoproduction qui pullulerait.
« La preuve est désormais établie que l’on meurt du cannabis »Afin d’appuyer sa recommandation, l’autorité note également que la concentration moyenne de THC (principe actif du cannabis) a été multipliée par cinq entre 1993 et 2004, pour atteindre 20 % dans la résine et 13 % dans l’herbe. Et de lister, longuement, les effets néfastes du cannabis sur la santé : troubles du développement cérébral, dépression, réduction du quotient intellectuel, problèmes vasculaires, cancers, troubles de la fertilité, etc.
« La preuve est désormais établie que l’on meurt du cannabis, ce n’est donc pas une drogue douce », affirme, en outre, l’Académie, qui préconise « d’intensifier la lutte contre le trafic et de multiplier les actions de prévention et d’information ».
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