Les fumeurs qui ont commencé seulement à l'âge adulte ne souffraient pas d'un écart intellectuel avec les non fumeurs.

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Fumer du cannabis depuis l'adolescence endommage irréversiblement le cerveau

Zappiste: ils ont oublié “peut” endommager irréversiblement le cerveau.
Irréversiblement ! Pas assez d'infos et ce n'est qu'UNE seule étude...

Comment Madeleine Meier peut-elle affirmer qu'il y a un endommagement irréversible alors que:

L'étude n'évalue pas, par contre, les effets d'un arrêt ou d'un ralentissement de consommation plus tôt dans la vie, et ne précise pas non plus les quantités consommées.

Le comité sénatorial sur les drogues illicites recommandait la légalisation du cannabis et 16 ans comme l'age minimum pour en consommer.

Le comité a recommandé que l'âge légal pour consommer ne soit en aucun cas inférieur à 16 ans car les découvertes scientifiques ont permis de déterminer que le cerveau humain est alors suffisamment développé et ne risque pas de souffrir physiquement de la consommation de cannabis. Autrement dit, nous recommandons aux autorités de ne pas légaliser la consommation de cannabis chez les personnes de moins de 16 ans. Si elles le jugent préférable, les autorités compétentes peuvent choisir de fixer à plus de 16 ans l'âge légal acceptable.

http://www.google.com/hostednews/afp/article/ALeqM5hJkarVRMBrRwqf6myVGEg...

Fumer du cannabis depuis l'adolescence endommage irréversiblement le cerveau
(AFP)–Il y a 14 heures
WASHINGTON — Fumer du cannabis régulièrement à l'adolescence peut provoquer une baisse des capacités intellectuelles à l'âge adulte, montre une étude publiée lundi par une revue scientifique américaine.

La recherche effectuée sur 1.000 Néo-zélandais, prenant en compte une période de 25 ans, a permis de comparer leur quotient intellectuel (QI) à 13 ans puis à 38 ans, les uns étant des consommateurs réguliers de cannabis, y compris durant après 20 ans ou 30 ans, les autres pas.

Au bout de la période, un écart de huit points s'est creusé entre les fumeurs et les autres, affirme Madeleine Meier, psychologue à l'université Duke, en Caroline du Nord (sud-est), et auteur principale de cette étude publiée dans les Actes de l'Académie américaine des sciences.

Or "le QI est censé être stable" à mesure que l'on vieillit, dit-elle. Pour les personnes n'ayant jamais fumé de cannabis, leur QI a même légèrement progressé de quelques dixièmes de points.

"On sait que le QI est un élément fort déterminant pour l'accès à l'université, pour le revenu gagné tout au long de la vie, pour l'accès à l'emploi, et la performance au travail", poursuit la chercheuse.

"Quelqu'un qui perd huit points de QI durant son adolescence et à la vingtaine peut se retrouver désavantagé par rapport à ses pairs du même âge pour de nombreux aspects majeurs de la vie", et ce pendant de longues années, conclut-elle, soulignant que cette importante différence ne serait pas due à d'autres facteurs (éducation, alcool, autres drogues, etc.).

Les consommateurs de marijuana ont aussi montré de plus faibles capacités de mémoire, de concentration et de vivacité d'esprit, selon l'étude.

Ceux qui avait ralentit leur consommation l'année d'avant leurs 38 ans, moment du second test, n'ont pas pour autant obtenu de meilleurs résultats.

En revanche, les fumeurs qui ont commencé seulement à l'âge adulte ne souffraient pas d'un tel écart intellectuel avec les non fumeurs.

"L'adolescence est une période très sensible du développement du cerveau", indique Mme Meier. En utilisant des substances agissant directement sur le mental, les jeunes "peuvent perturber le processus cérébral normal", explique-t-elle.

L'étude n'évalue pas, par contre, les effets d'un arrêt ou d'un ralentissement de consommation plus tôt dans la vie, et ne précise pas non plus les quantités consommées.

Copyright © 2012 AFP. Tous droits réservés.

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L'alcool est la drogue licite mortelle la plus consommée par les adolescents !

QUELQUES CONSÉQUENCES À LONG TERME DE L’ABUS D’ALCOOL

Tout le monde sait que l'abus d'alcool donne des maux de tête et provoque des vomissements. Mais l'alcool peut aussi endommager le coeur, le foie, les reins, le cerveau et l'estomac. Il peut provoquer des pertes de mémoire et même certains types de cancer.

Foie: L’alcool impose au foie un effort accru et peut l’endommager.

Cerveau: L’alcool altère la plupart des fonctions cérébrales; il a pour effet de couper la communication entre les cellules nerveuses et détruit un certains nombres de cellules cérébrales. Il réduit la concentration, la mémoire, l’ouïe et la vue.

À long terme, ces facultés peuvent être endommagées de façon permanente.

Bébé: L'alcool que boit une femme enceinte passe dans le sang qui irrigue le foetus. En cas d'abus, l'enfant risque d'avoir des problèmes physiques ou mentaux à la naissance.

Esprit: Le buveur qui consomme de l’alcool de façon excessive développe un sentiment de dépendance psychologique et ressent le besoin de boire, souvent pour fuir le monde réel. Ces buveurs, en état d’ébriété, ne veulent pas être confrontés à la réalité et peuvent devenir violent avec les gens de leur entourage.

L'une des pires conséquences de l'alcoolisme chronique est la tolérance que développent les buveurs. Le syndrome de retrait (état de manque) est une sensation désagréable que ressentent les buveurs privés d'alcool - maux de tête, nausées, nervosité, confusion. Il est très difficile de surmonter cette sensation, et un alcoolique qui a cessé de boire sera toujours considéré comme étant en sursis.

Au Canada, la moitié des automobilistes victimes d’un accident mortel avaient consommé de l’alcool.

Les conducteurs ivres provoquent également un grand nombre de blessures graves et c’est pourquoi la loi est très sévère envers les conducteurs en état d’ébriété.

Si vous buvez, ne prenez pas le volant! Appelez un taxi ou un ami sobre!

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