Communiqués

Le Club compassion de Montréal et Marc-Boris St-Maurice croisent le fer en Cour supérieure

Montréal, le 21 septembre 2009 - Aujourd'hui débute un procès à la Cour supérieure du Québec au Palais de justice de Montréal à 9h en salle 15.07 mettant en cause le Club compassion de Montréal (CCM) et Monsieur Marc-Boris St-Maurice. Depuis 2006, le CCM tente de faire reconnaître une entente de séparation signée entre les deux parties, que monsieur St-Maurice désavoue et tente donc d'annuler. Que s'est-il passé avec notre transfuge libéral?

Jean Charest déclenche des élections alors que la plupart des gens n'en veulent pas

Le Bloc Pot est depuis toujours pour une démocratie sans abus, iniquité et mépris. Voilà notre culture!

Le Bloc Pot propose que le Ministre régularise ses relations avec les citoyens québécois

Le Ministre de la Justice, de la Sécurité publique et Procureur général du Québec, comme tous et chacun, fréquente des cannabinophiles puisqu'un Québécois sur quatre consomme, produit ou fait le trafic du cannabis. Étrangement, il n'applique pas envers ses amis la Loi fédérale sur les drogues et autres substances car il sait pertinemment, comme les membres du Bloc Pot et une majorité de la population, qu'elle est désuète et préjudiciable.

Nous retransmettons ci-dessous un communiqué du GRIP Montréal, faisant suite à l'annonce du nouveau ministre de la Santé et des Services sociaux du Québec, M. Yves Bolduc, de ne pas donner suite au projet de centre d'injection supervisée à Montréal. Visiblement, M. Bolduc vient d'être parachuté dans un dossier qu'il ne connaît pas, et il est dommage que sa voix s'ajoute à celle des agitateurs d'épouvantails de l'ADQ et du parti Conservateur fédéral, qui érigent leurs lubies idéologiques en vérités.

Le 26, 27 et 28 octobre dernier, La Presse publiait une série d'articles sur le « fléau » de la drogue dans les écoles. Sous prétexte de tracer un portrait du dit « fléau », les journalistes Catherine Handfeild, Émilie Côté et Ariane Lacoursière accumulaient les cas extrêmes et douteux pour servir leur propos, contrevenant ainsi aux règles fondamentales de la responsabilité de la presse, telles que définies par le Conseil de presse du Québec, qui condamne le sensationnalisme.

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