Et les consommateurs de médical ?

Si vous vouliez vraiment savoir si la marijuana entraîne des maladies cardiaques,
vous feriez une étude longitudinale sur des humains* en suivant les utilisateurs et les non-utilisateurs
pendant plusieurs décennies et vous verriez qui a développé une maladie cardiaque et qui n'en a pas eu !
Au lieu de compiler des sondages d'opinions personnelles peu fiables.

Le document « ne précise pas » si la marijuana provoque directement des crises cardiaques
et des accidents vasculaires cérébraux ou si les personnes déjà à risque sont plus susceptibles d'en consommer.

En fin de compte, les chercheurs ont conclu que les personnes qui devraient vraiment éviter de fumer de la marijuana « sont celles qui souffrent d'une maladie cardiaque préexistante », estimée à 1 Américain sur 20.

Parmi les bienfaits du cannabis sa consommation n'est pas limité qu'à son vapotage il y a les concentrés.

En fin de compte, « il faudra des études plus rigoureuses » pour tirer une conclusion définitive !

Et les consommateurs de cannabis médical légal depuis 23 ans ?

Les risques augmentaient fortement à mesure que la consommation de marijuana était plus fréquente ?
C'est combien l'augmentation des risques pour :
une fois, deux fois, trois fois, par mois/semaines, et une fois ou plusieurs fois par jour ?

Ce ne sont que des sondages d’opinions peu fiables biaisés
pas des recherches scientifiques rigoureuse sur des humains.

Ils n'ont pas fourni, ni payé pour des cannabis contrôlés à différents taux et un placébo, pendant toute la recherche,
suivi de tests cognitifs après consommation et recherche répétée par des chercheurs indépendants !

Pourquoi ils ne font pas de recherches avec les millions de consommateurs légaux de thérapeutique ?

« On ne fait pas d'études sur les humains parce qu'elles ne produiraient pas les résultats
dont les gouvernements, les policiers (et le marché illicite) ont besoin pour maintenir l'interdiction ».

Le cannabis thérapeutique efficace est légal depuis 23 ans en Californie au Colorado et au Canada
consommé par des millions de malades, chaque jour et plusieurs fois par jour.

Les millions de consommateurs de médical efficace ne sont pas utilisés pour des recherches sur des humains ?

Au Canada la moyenne des prescriptions est de 2 grammes par jour,
donc consommation de plus d’une fois par mois !

Il n’y a aucune recherche sur des humains qui consomment du thérapeutique qui a démontré que
« aussi peu qu'une fois par mois » est liée à un risque plus élevé
de crise cardiaque et d'accident vasculaire cérébral !

Mais des recherches sur des humains ont démontré que :
Une consommation régulière d'alcool (une fois ou deux semaine), est liée à un risque plus élevé
d’endommager votre système cardiovasculaire cérébral, ce qui augmente le risque d'AVC.

Alcool un fléau mondial, avec le plus grand nombre de drogués, un dépresseur psychotrope, cancérigène,
à dépendance physique/psychique très forte comme l'héroïne et/mais légal aux enfants de 6-12 ans et moins.

Si nous savons que la fumée provenant du tabac cause le cancer, ce n'est pas grâce aux études faites sur les rats dans les années 30 et 40 (ou des sondages).

Les gens n'ont commencé à écouter sérieusement que lorsque l'on a effectué des études sur des humains et que l'on a relevé une plus grande prépondérance du cancer du poumon chez les fumeurs.

Pourquoi ne pas faire d'études sur des humains alors? Nous avons des millions de Nord-américains
qui consomment de la marijuana depuis plus d'une trentaine d'années.

Il n'y a plus d'excuses pour ne pas faire d'études sur des humains.

M. Alan Young, professeur agrégé, Osgoode Hall Law School: Je travaille sur la question de la légalisation de la marijuana depuis une dizaine d'années. J'ai représenté une centaine de personnes qui ont eu des démêlés avec la justice, et j'ai joué un rôle capital dans le mouvement pour la légalisation de la marijuana pour des fins médicinales.

Témoignage lors du Comité spécial du Sénat sur les drogues illicites (Canada, 2002) il y a 22 ans.
https://blocpot.qc.ca/fr/forum/5683

* La professeure Natalie Castellanos-Ryan,
de l’École de psychoéducation de l’Université de Montréal
et chercheuse spécialisée en prévention de la dépendance au Centre de recherche du CHU Sainte-Justine:
Elle s’en prend aussi à un mythe persistant, qui est directement dans son champ d’expertise, en l’occurrence le développement cognitif : « C’est vrai que le cerveau se développe jusqu’à 25 ans, mais il n’y a aucune preuve scientifique que de consommer du cannabis présente quelque risque que ce soit pour le développement cognitif après l’âge de 17 ans.»

« C’est très clair dans la littérature scientifique et "les études longitudinales"
dans lesquelles nous contrôlons le développement cognitif préalable ».

C’est un des premiers messages avec lesquels je commencerais, que le cannabis rend stupide (en affectant le développement cognitif) ; car c’est faux », tranche-t-elle.

Publicité Camel : quelle cigarette fumez-vous docteur ? (1949)
https://youtu.be/EJM51snVhcs
À cette époque les médecins avec le cendrier plein de mégots fumaient lors de consultations en présence d'enfants
et même lors de leurs tournées/visites de patients dans les hôpitaux !

Même genre d'associations de médecins/psychiatres cannaphobes achetables, du Québec, qui ont participé
à la criminalisation des adultes légaux de 18-21 ans et leur mise en contact avec les organisations criminelles
aux nombreux produits de pharmaceutiques dangereux, addictifs, mortels, qu'ils prescrivent à pochetée et répétition pendant des années même si prouvés inefficaces et parfois aux effets indésirables pire que la maladie.

Ils sont responsable de la surprescription la surconsommation des médoc$ psychotropes !
En plus de violer leur serment "De Tout Faire Pour Soulager Les Souffrances" des humains
pour suivre les ordres des ordres !

Les Responsables doivent rendre compte de leur politique, et doivent réparer les dommages qu'il ont causés !

Politique comme : Ne prescrire qu'en dernier recours le cannabis qu'après avoir essayé les thérapies inefficaces
pendant des années et ne pas exiger le remboursement laissant souffrir et mourir des enfants épileptiques
dont les parents doivent cesser cette thérapie prouvé efficace mais cupidement trop dispendieuse !

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