Au Canada et au Québec les propagandes de peur, mensonges ont servi à des criminels !
Plusieurs criminels utilisaient les pseudos-méfaits non scientifiques du cannabis, sa puissance et sa durée d'effets.
Des criminels affirmaient que c'était les effets du cannabis à 1.5% de THC max qu'ils avaient fumé il y avait plusieurs jours comme excuse.
Criminels accusés de violence, conduite et inconduite sous influence, etc.
Ça a fonctionné !
Des juges de l'époque les ont cru et exonéré de tout blâme.
C'est comme à la belle époque de la caisse de bière entre le conducteur et le passager
pas de ceinture le droit d'enfumer les enfants debout, avec des autos qui roulaient à plus de 100 mph.
Et quand un policier vous arrêtait il vous disait de faire attention.
Époque où un joint de verdure Québécoise valait une année de prison et un dossier criminel !
https://www.noscommunes.ca/DocumentViewer/fr/41-2/HESA/reunion-27/temoig...
M. Zach Walsh (professeur agrégé, University of British Columbia, à titre personnel):
Extrait:
La violence est une importante préoccupation en matière de santé publique et la principale cause de blessures. Une documentation substantielle confirme que la violence est une conséquence négative importante de la consommation de substances en général, et d’alcool en particulier. Par conséquent, il est logique d’enquêter sur la mesure dans laquelle l’utilisation du cannabis peut également être liée à la violence interpersonnelle. En effet, la prohibition du cannabis au début des années 1900 était imputable en partie au rôle putatif du cannabis dans la libération des pulsions agressives, et la corrélation entre son utilisation et la violence a suscité l’attention de nombreux chercheurs. Toutefois, en dépit du grand nombre de recherches qui démontrent le lien qui existe entre la consommation d’alcool et la violence, les faits ne prouvent pas clairement que l’utilisation du cannabis et la violence sont liées. Les résultats des études menées sont incohérents, et bon nombre d’entre elles ont négligé de prendre en considération les effets potentiellement troublants d’autres facteurs, comme ceux d’une tendance antisociale générale et de l’utilisation concomitante d’autres substances, notamment l’alcool.
En effet, l’une des théories les plus importantes qui expliquent la corrélation entre l’utilisation du cannabis et la violence, à savoir la théorie de la déviance générale, soutient que, lorsque le lien entre l’utilisation du cannabis et la violence est apparent, il peut être attribué à une prédisposition générale pour la violation des règles et à une tendance antisociale, plutôt qu’à tout effet direct de l’utilisation du cannabis. Cette théorie cadre avec les résultats d’études menées en laboratoire sur des animaux qui n’ont révélé aucun lien entre l’intoxication au cannabis et l’agressivité.
Les études sur les humains donnent des résultats contradictoires. Bien que certaines études aient décelé des liens entre la consommation du cannabis et un risque accru de violence, bon nombre d’entre elles ont omis de contrôler des facteurs clés. Une étude récente qui examinait le lien temporel entre l’utilisation du cannabis et la violence familiale — c’est-à-dire laquelle est apparue en premier, l’utilisation de substances ou la violence? — a révélé que l’utilisation du cannabis réduisait le risque de violence. Une autre étude récente des auteurs de violence familiale de sexe masculin a indiqué qu’après avoir tenu compte de la consommation d’alcool, elle n’avait découvert aucun lien entre l’utilisation du cannabis et la perpétration de la violence familiale. Cette constatation ultérieure coïncide avec les travaux effectués récemment par notre laboratoire qui ont révélé que le lien entre l’utilisation de cannabis et la perpétration de violence familiale était expliqué par la consommation d’alcool et des caractéristiques de la personnalité antisociale. En somme, la théorie, selon laquelle un comportement de plus en plus violent devrait faire partie des risques et des effets néfastes liés à l’utilisation du cannabis, n’est pas appuyée fermement ou systématiquement, et un tel comportement ne devrait pas faire partie des risques encourus.
Chose intéressante, une étude menée récemment aux États-Unis qui examinait les effets de la légalisation du cannabis médical sur les crimes violents a révélé que, dans les États où elle avait été mise en oeuvre, la légalisation était liée à des taux de violence réduits. De telles constatations sont plausibles dans la mesure où le cannabis peut servir de substitut à d’autres substances qui altèrent l’état de conscience, comme l’alcool ou les amphétamines, et dont les liens avec la violence sont plus prononcés. Toutefois, il faudra mener d’autres recherches pour évaluer la mesure dans laquelle le cannabis peut réduire la violence interpersonnelle.
Au Canada et au Québec les propagandes de peur, mensonges ont servi à des criminels !
Plusieurs criminels utilisaient les pseudos-méfaits non scientifiques du cannabis, sa puissance et sa durée d'effets.
Des criminels affirmaient que c'était les effets du cannabis à 1.5% de THC max qu'ils avaient fumé il y avait plusieurs jours comme excuse.
Criminels accusés de violence, conduite et inconduite sous influence, etc.
Ça a fonctionné !
Des juges de l'époque les ont cru et exonéré de tout blâme.
C'est comme à la belle époque de la caisse de bière entre le conducteur et le passager
pas de ceinture le droit d'enfumer les enfants debout, avec des autos qui roulaient à plus de 100 mph.
Et quand un policier vous arrêtait il vous disait de faire attention.
Époque où un joint de verdure Québécoise valait une année de prison et un dossier criminel !
https://www.noscommunes.ca/DocumentViewer/fr/41-2/HESA/reunion-27/temoig...
M. Zach Walsh (professeur agrégé, University of British Columbia, à titre personnel):
Extrait:
La violence est une importante préoccupation en matière de santé publique et la principale cause de blessures. Une documentation substantielle confirme que la violence est une conséquence négative importante de la consommation de substances en général, et d’alcool en particulier. Par conséquent, il est logique d’enquêter sur la mesure dans laquelle l’utilisation du cannabis peut également être liée à la violence interpersonnelle. En effet, la prohibition du cannabis au début des années 1900 était imputable en partie au rôle putatif du cannabis dans la libération des pulsions agressives, et la corrélation entre son utilisation et la violence a suscité l’attention de nombreux chercheurs. Toutefois, en dépit du grand nombre de recherches qui démontrent le lien qui existe entre la consommation d’alcool et la violence, les faits ne prouvent pas clairement que l’utilisation du cannabis et la violence sont liées. Les résultats des études menées sont incohérents, et bon nombre d’entre elles ont négligé de prendre en considération les effets potentiellement troublants d’autres facteurs, comme ceux d’une tendance antisociale générale et de l’utilisation concomitante d’autres substances, notamment l’alcool.
En effet, l’une des théories les plus importantes qui expliquent la corrélation entre l’utilisation du cannabis et la violence, à savoir la théorie de la déviance générale, soutient que, lorsque le lien entre l’utilisation du cannabis et la violence est apparent, il peut être attribué à une prédisposition générale pour la violation des règles et à une tendance antisociale, plutôt qu’à tout effet direct de l’utilisation du cannabis. Cette théorie cadre avec les résultats d’études menées en laboratoire sur des animaux qui n’ont révélé aucun lien entre l’intoxication au cannabis et l’agressivité.
Les études sur les humains donnent des résultats contradictoires. Bien que certaines études aient décelé des liens entre la consommation du cannabis et un risque accru de violence, bon nombre d’entre elles ont omis de contrôler des facteurs clés. Une étude récente qui examinait le lien temporel entre l’utilisation du cannabis et la violence familiale — c’est-à-dire laquelle est apparue en premier, l’utilisation de substances ou la violence? — a révélé que l’utilisation du cannabis réduisait le risque de violence. Une autre étude récente des auteurs de violence familiale de sexe masculin a indiqué qu’après avoir tenu compte de la consommation d’alcool, elle n’avait découvert aucun lien entre l’utilisation du cannabis et la perpétration de la violence familiale. Cette constatation ultérieure coïncide avec les travaux effectués récemment par notre laboratoire qui ont révélé que le lien entre l’utilisation de cannabis et la perpétration de violence familiale était expliqué par la consommation d’alcool et des caractéristiques de la personnalité antisociale. En somme, la théorie, selon laquelle un comportement de plus en plus violent devrait faire partie des risques et des effets néfastes liés à l’utilisation du cannabis, n’est pas appuyée fermement ou systématiquement, et un tel comportement ne devrait pas faire partie des risques encourus.
Chose intéressante, une étude menée récemment aux États-Unis qui examinait les effets de la légalisation du cannabis médical sur les crimes violents a révélé que, dans les États où elle avait été mise en oeuvre, la légalisation était liée à des taux de violence réduits. De telles constatations sont plausibles dans la mesure où le cannabis peut servir de substitut à d’autres substances qui altèrent l’état de conscience, comme l’alcool ou les amphétamines, et dont les liens avec la violence sont plus prononcés. Toutefois, il faudra mener d’autres recherches pour évaluer la mesure dans laquelle le cannabis peut réduire la violence interpersonnelle.