Consommer est automatiquement être addict et dépendant

« On leur recommandera un plan de soins ou un traitement plutôt que de faire face à une arrestation ou à des accusations criminelles. »

Consommer ou posséder du cannabis est automatiquement être addict et/ou dépendant !

« C'est faire ressurgir le spectre du toxicomane agressif, délinquant chronique, plus ou moins asocial, et, a minima, perturbateur de nature. »

Malte: En ce qui concerne l'alcool, protégé, incité, publicisé, et en vertu du droit maltais,
celui-ci ne peut pas être vendu à des mineurs de moins de 16 ans.

Mais...
Il n'existe pas de règlement qui fixe une limite d'âge pour la consommation d'alcool mortel.
Alcool qui cause journalièrement des morts et maladies physiques et mentales, évitables acceptables.
Dont les méfaits économiques, sociaux, sanitaires, dépassent les taxes qu'il rapporte.

Pas de plan de soins ou un traitement pour les enfants de 6-12 ans et moins, consommateurs.
Dont le cerveau ne sera complété qu'à 23-25 ans, 34 en France.
Pas de criminalisation des parents irresponsables, par acceptabilité sociale, culturelle!

Quelle est la différence entre addiction et dépendance ? Mortelle ou non, avec ou sans substance ?
On parle de dépendance lorsqu'on souffre du syndrome de sevrage à l'arrêt brusque de la consommation.
Alors que l'addiction est la consommation excessive d'une substance, en dépit des conséquences néfastes.
Les opiacés entraînent à la fois dépendance et addiction, alors que la cocaïne ne provoque que l'addiction.
L'alcool est un dépresseur psychotrope comme les opiacés et à la fois à dépendance et addiction psychique et physique TRÈS FORTE.

https://blocpot.qc.ca/fr/forum/5708
Marc Valleur : Extrait

On peut être dépendant et accepter de l’être.
À ce moment-là, il n’y a aucune raison d’en faire une maladie.

Je crois que la seule définition de l’addiction au sens clinique du terme, c’est le fait que les personnes concernées elles-mêmes veulent réduire ou arrêter une conduite et n’y arrivent pas. Si la personne ne veut pas réduire ou arrêter, on ne voit pas quelle légitimité permet de définir les gens comme malades. Cela pose d’emblée la question de la médicalisation de l’addiction elle-même. L’addiction, comme la toxicomanie, se définit d’abord de manière subjective. C’est parce que quelqu’un se sent lui-même aliéné du fait de son rapport à une substance, de la répétition d’une conduite, que ça fait une « maladie ».

La Lettre : On peut, à un moment donné, aliéner l’homme du côté du machinal, et la jeunesse va interpeller une société du côté du sens.

MV : Alors là, je suis tout à fait d’accord. Je crois que l’on peut même dire qu’il y a une collusion de fait entre certains discours scientifiques, objectivants, réifiants, et la réification de l’existence du consommateur, c’est-à-dire que si on se considère comme des machines et qu’on considère les ados comme des cibles pour les publicitaires afin de les faire consommer de la manière la plus machinale possible, on risque de détruire toute la dimension de rêve, de désir, de subjectivation, et on va fabriquer des addicts.

Les enfants de 6-12 ans et moins sont des cibles et de la relève pour l'industrie légale mortelle de l'alcool !
Qui ne les protège pas de ce fléau mondial ? Et pourquoi ?
Cupidité ? Manque de courage ? La peur de perdre une élection ?

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