La SAQ a le droit à la dégustation gratuite par ses clients

Faits scientifiques:
- L'alcool est un dépresseur comme l'héroïne consommé et abusé par 82% des Québécois de 12 ans et plus.
- Les couts des méfaits de l'alcool sont beaucoup plus élevés que les taxes qu'ils rapportent !
Méfaits sur la santé physique (morts, maladies: nombreux cancers)
et mentale (Psychoses, dépressions, addictions, dépendances, violences, etc.).
- Alcool dont la consommation est légale par de très jeunes enfants de 8-12 ans et moins.
- La CAQ, l'INSPQ*, les associations de médecins/psychiatres, Santé Canada et Québec, les poivrots alcolos dont le regret pendant la pandémie était de ne pouvoir trinquer en présentiel, n'exigent pas d'âge minimum pour la consommation par de jeunes enfants de 8-12 ans et moins dont le cerveau ne sera complété qu'à 23-25 ans !?

* l'INSPQ n'exige pas d'âge minimum pour la consommation d'alcool même si ils affirment que:
« Faible risque » ne signifie pas « zéro risque » : consommer de l’alcool, même en petite quantité, augmente les risques de subir des conséquences négatives de sa consommation (ex. : blessures, problèmes de santé).

L'INSPQ Cannabis
« Plutôt qu'interdire aux Québécois de moins de 21 ans d'acheter de la marijuana à la Société québécoise du cannabis (SQDC), l'INSPQ propose au gouvernement de limiter la teneur en THC (la substance psychoactive du cannabis) dans les produits pouvant être achetés par les consommateurs de 18 à 21 ans. »

Pourquoi proposer de limiter la teneur en THC acheté par les 18-21 ans mais pas pour l'alcool mortel ?
Pourquoi ne pas proposer des véhicules limités à moins de 100 km/h pour les 18-21 ans ?

La science a démontré que la substance et son taux de toxicité n'a rien à voir avec la dépendance et l'addiction !
Le problème c'est la vulnérabilité, fragilité personnelle à la dépendance et l'addiction avec ou sans substance.

Qui va vérifier le taux exact de THC du cannabis des 18-21 ans alors que la SQDC a des variations acceptables de 10% en THC. Ex: 19 à 29% de THC ? Les policiers/policières alors qu'un des buts de la légalisation était qu'ils s'occupent enfin de crimes plus sérieux, dangereux pour la Santé publique au lieu d'un crime sans victime ?

L'INSPQ suggérait aussi que les comestibles et boissons aient l'odeur d'une seule variété de cannabis la Skunk #1 pour éviter sa consommation accidentelle par des jeunes de moins de 21 ans.

Pourquoi ne pas exiger que les bières aient l'odeur de la bière chaude (skunk/moufette) ?
Parce que l'alcool protégé et incité est déjà légal pour la consommation par des enfants de 8-12 ans et moins !

« Dans son Rapport sur l’état de la santé publique au Canada, cuvée 2018, l’Agence de santé publique du Canada souligne en effet qu’à eux trois, alcool, tabac et opioïdes ont été responsables en 2014 de 78,4 % des coûts en soins de santé, perte de productivité et justice pénale au pays, pour une facture globale de 30,1 milliards de dollars. En comparaison, le cannabis, qui arrive en quatrième place des substances coûteuses en matière de santé publique, n’a été responsable que de 7 % de ces coûts, dont la moitié est liée à la justice pénale. Cette part devrait toutefois baisser en raison de la légalisation, souligne le document. »

2021
Analyse : Les craintes des opposants à la légalisation de la marijuana ne se sont pas concrétisées au Canada
https://blocpot.qc.ca/fr/forum/6083

Toutes ces craintes concernant la légalisation de la marijuana ne se sont jamais matérialisées
https://blocpot.qc.ca/fr/forum/6095

Le mythe pernicieux du cannabis au fentanyl
https://blocpot.qc.ca/fr/forum/6028

Une nouvelle étude examine l'impact du cannabis puissant sur la mémoire des utilisateurs
https://blocpot.qc.ca/fr/forum/6018

« Il n’y a aucune preuve scientifique que de consommer du cannabis présente quelque risque que ce soit pour le développement cognitif après l’âge de 17 ans. » *

Sur le tableau de dangerosité (morts, surdoses, maladies, dépendances physiques et psychiques, etc.)
Dangerosité de dépendance physique et psychique.
#1 - Opioïdes: Dépendance physique: TRÈS FORTE et Psychique: TRÈS FORTE
#2 - Alcool: Dépendance physique: TRÈS FORTE et Psychique: TRÈS FORTE
#3 - Tabac: Dépendance physique: FORTE et Psychique: TRÈS FORTE

#1 Opioïdes. Morts par surdoses accidentelles.
#2 L'Alcool. Un dépresseur comme l'héroïne #1 pour le nombre de drogués. 82% des Québécois de 12 ans et plus.
#3 Le Tabac. #1 pour le nombres de morts annuelles évitables acceptables.
Au Québec le tabac protégé par la CAQ tue plus de 13 000 humains annuellement en plus des maladies.
Au Canada les opioïdes détournés de leur usage tuent accidentellement 6 000 humains par année.

Pourquoi pour les médicaments, drogues psychotropes*, prescrits à pochetée et répétition par les médecins/psychiatres, des fléaux mondiaux dangereux pour la santé physique et mentale on ne nous donne que les morts accidentelles pour usage détourné ? Dont certains médicament$ remboursés, ont des effets primaires et secondaires qui sont plus dangereux pour la santé que la maladie et nécessites d'autres médicament$ de pharmaceutiques, pour contrer les effets indésirables, etc... ! Même le sevrage de ces médoc$ peut être mortel et nécessiter d'autres médoc$.

Cannabis seul: sevrage en 7 jours et le CBD peut aider au sevrage !

* On distingue cinq grands groupes de médicaments psychotropes :
Les antidépresseurs.
Les neuroleptiques (dits aussi antipsychotiques)
Les anxiolytiques (ou tranquillisants)
Les hypnotiques (ou somnifères)
Les stabilisants de l'humeur (dits aussi régulateurs de l'humeur, thymorégulateurs ou parfois normothymiques)

Un psychotrope est une substance qui agit principalement sur l'état du système nerveux central en y modifiant certains processus biochimiques et physiologiques cérébraux, sans préjuger de sa capacité à induire des phénomènes de dépendance, ni de son éventuelle toxicité.

L'alcool est une drogue psychotrope, un dépresseur comme l'héroïne.
Mais qui n'a jamais été inscrit sur la liste des dépresseurs ?

* « Il n’y a aucune preuve scientifique que de consommer du cannabis présente quelque risque que ce soit pour le développement cognitif après l’âge de 17 ans. »

La professeure Natalie Castellanos-Ryan,de l’École de psychoéducation de l’Université de Montréal
et chercheuse spécialisée en prévention de la dépendance au Centre de recherche du CHU Sainte-Justine:
Elle s’en prend aussi à un mythe persistant, qui est directement dans son champ d’expertise, en l’occurrence le développement cognitif : « C’est vrai que le cerveau se développe jusqu’à 25 ans, mais il n’y a aucune preuve scientifique que de consommer du cannabis présente quelque risque que ce soit pour le développement cognitif après l’âge de 17 ans. » C’est très clair dans la littérature scientifique et les études longitudinales dans lesquelles nous contrôlons le développement cognitif préalable.

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