Si le THC puissant était plus addictif rendait plus dépendant il y aurait eu une augmentation de consommation ?
Pour moi le nombre de morts* annuelles par une substance est plus important que son taux de toxicité.
Pourtant les médecins/psychiatres du Québec suite à la lecture et de compilation de sondages d'opinion, sans étude sur des humains double aveugle, avec placébo, répétée par des chercheurs indépendants, continuent de propager cette fausseté dans les médias: « qu'un cannabis à taux élevé en THC est plus addictif ».
Malgré les résultats de recherches en Israël, sur des humains suivi de tests cognitifs, qui prouvent le contraire.
En 20 ans de cannabis thérapeutique légal au Canada avec des extraits à 99,6% et des fleurs à 29%, il n'y a eu aucune étude sur des humains ni sondage fait ou exigé par les médecins/psychiatres du Québec qui démontrerait hors de tout doute que le THC plus puissant est plus addictif.
Le problème ce n'est pas la puissance du produit mais le consommateur, l'humain et sa vulnérabilité personnelle
à la dépendance et l'addiction avec ou sans substance (l'addiction au pouvoir, aux jeux, à Internet, aux achats compulsifs, au sport, au sexe, à la nourriture, au travail, la religion, etc.).
Est-ce que l'alcool, consommé par 82% des 12 ans et plus (et moins), à .05% est plus ou moins addictif qu'à 94% ?
Pas d'âge minimum pour la consommation par de jeunes enfants sans criminalisation ou visite de la DPJ ?
Enfants de 8 ans et moins, qui consomment un dépresseur, dont le cerveau ne sera complété qu'à 25-35 ans ?
Dépendance et Addiction*
Ce sont deux phénomènes différents qui n'affectent pas le cerveau de la même manière.
On parle de dépendance lorsqu'on souffre du syndrome de sevrage à l'arrêt brusque de la consommation.
Alors que l'addiction est la consommation excessive d'une substance, en dépit des conséquences néfastes.
* Morts (évitables par acceptabilité sociale culturelle)
Fabricants et consommateurs protégés et incités à en consommer avec/par la criminalisation arbitraire des 18-21 ans pour le cannabis seulement, sans aucune preuve scientifique, arbitrairement par la CAQ votre gouvernement:
Tabac: #1 pour le nombre de morts annuelles plus de 13 000 et responsable de maladies.
Alcool un dépresseur*: #1 pour le nombre de drogués. Responsable de maladies physiques et mentales.
Alcool avec plus de 4 000 morts annuelles prématurées par acceptabilité sociale culturelle.
Alcool publicisé par la SAQ qui a droit à la fidélisation, promotion, rabais, dégustation, tirages, l'incitation et par Éduc'alcool qui reçoit des millions de la SAQ annuellement, avec sa recommandation de modération à 2-3 verres par jour, pas tous les jours mais plus selon l'occasion, et selon le sexe.
Les méfaits sur la santé physique, mentale et économique par l'alcool dépassent amplement les revenus !
Idem pour le tabac !
Éduc'alcool n'exige pas un âge minimum pour les jeunes enfants ?
Même si de jeunes enfants de 12 ans font parti des 82% de consommateurs ?
Il n’est jamais trop tôt
Les enfants sont souvent plus renseignés qu’on ne le croit. À l’âge de six ans, ils ont déjà une idée des normes sociales relatives à la consommation d’alcool des adultes et des enfants. Vous pouvez donc aborder la question de la consommation dès le jeune âge.
Donnez vous-même l’exemple
Comment être avec les 8 à 11 ans
Comment être avec les 12 à 14 ans
Soyez vigilants
* Dépresseurs
Disponible au dépanneur, près des écoles, et aussi toujours disponible sur le marché illicite.
Avant la pandémie il y avait 5 526 923 points de vente au total.
Beaucoup moins de pharmacies au Québec que de points de vente d'alcool.
Les Territoires du Nord-Ouest, le Yukon, le Nunavut et le Québec n’octroient pas de permis aux pharmacies.
Que sont les dépresseurs du système nerveux central
Ces substances ralentissent les fonctions psychiques d’un individu en diminuant le niveau d’éveil et l’activité générale du cerveau. Elles relaxent leur utilisateur. Celui-ci est alors moins conscient de son environnement. Les dépresseurs comprennent principalement les substances suivantes :
l’alcool (bière, vin, etc.) ;
les anesthésiques généraux ;
les anxiolytiques et les somnifères comprenant, entre autres, les benzodiazépines (p. ex. Ativan®, Imovane®, etc.) ;
le Gamma-hydroxybutyrate ou GHB ;
les opiacés (héroïne, morphine, codéine, etc.) ;
les substances volatiles (colle, essence, etc.)
Intéressant de voir que c'est le cannabis qui a été classé parmi les dépresseurs et opiacés.
Alors que c'est l'alcool un dépresseur, qui devrait en faire parti.
Le cannabis est également classé absurdement parmi les hallucinogènes comme le LSD, Champis, Peyote, etc.
Une simple consommation par ceux qui colportent ces mensonges, ouï-dire, pourrait clarifier la situation.
On peut être dépendant et accepter de l’être.
À ce moment-là, il n’y a aucune raison d’en faire une maladie.
Je crois que la seule définition de l’addiction au sens clinique du terme, c’est le fait que les personnes concernées elles-mêmes veulent réduire ou arrêter une conduite et n’y arrivent pas. Si la personne ne veut pas réduire ou arrêter, on ne voit pas quelle légitimité permet de définir les gens comme malades. Cela pose d’emblée la question de la médicalisation de l’addiction elle-même. L’addiction, comme la toxicomanie, se définit d’abord de manière subjective. C’est parce que quelqu’un se sent lui-même aliéné du fait de son rapport à une substance, de la répétition d’une conduite, que ça fait une « maladie ».
La Lettre : C’est toujours une question d’objet…
11- MV : Oui, mais surtout de répartition des champs. J’ai l’impression qu’on se bat depuis cinquante ans entre biologistes et psychanalystes dans une fausse guerre : il y a le champ des substances, des objets, de la pharmacologie, qui est celui des biologistes et il y a le champ des idées, des fantasmes, du sexe et du psychisme, celui des psychanalystes. Or la réalité est plus complexe, et se moque des séparations didactiques. La psychanalyse, la psychologie, la sociologie ont tout à fait à voir avec les addictions avec drogue et la biologie, la pharmacologie, ont tout à fait à voir avec les addictions sans drogue. Un des problèmes est ce clivage entre des champs de recherche qui ne relèvent pas du tout des mêmes méthodologies, des mêmes rigueurs, du même type d’approche.
Anecdote:
Lors de sa visite au Québec comme conférencier à l'Université il a dit approximativement:
Est-ce que c'est une personne qui aime les mygales/tarentules qui a un problème où moi qui en ai peur ?
Si le THC puissant était plus addictif rendait plus dépendant il y aurait eu une augmentation de consommation ?
Pour moi le nombre de morts* annuelles par une substance est plus important que son taux de toxicité.
Pourtant les médecins/psychiatres du Québec suite à la lecture et de compilation de sondages d'opinion, sans étude sur des humains double aveugle, avec placébo, répétée par des chercheurs indépendants, continuent de propager cette fausseté dans les médias: « qu'un cannabis à taux élevé en THC est plus addictif ».
Malgré les résultats de recherches en Israël, sur des humains suivi de tests cognitifs, qui prouvent le contraire.
En 20 ans de cannabis thérapeutique légal au Canada avec des extraits à 99,6% et des fleurs à 29%, il n'y a eu aucune étude sur des humains ni sondage fait ou exigé par les médecins/psychiatres du Québec qui démontrerait hors de tout doute que le THC plus puissant est plus addictif.
Le problème ce n'est pas la puissance du produit mais le consommateur, l'humain et sa vulnérabilité personnelle
à la dépendance et l'addiction avec ou sans substance (l'addiction au pouvoir, aux jeux, à Internet, aux achats compulsifs, au sport, au sexe, à la nourriture, au travail, la religion, etc.).
Est-ce que l'alcool, consommé par 82% des 12 ans et plus (et moins), à .05% est plus ou moins addictif qu'à 94% ?
Pas d'âge minimum pour la consommation par de jeunes enfants sans criminalisation ou visite de la DPJ ?
Enfants de 8 ans et moins, qui consomment un dépresseur, dont le cerveau ne sera complété qu'à 25-35 ans ?
Dépendance et Addiction*
Ce sont deux phénomènes différents qui n'affectent pas le cerveau de la même manière.
On parle de dépendance lorsqu'on souffre du syndrome de sevrage à l'arrêt brusque de la consommation.
Alors que l'addiction est la consommation excessive d'une substance, en dépit des conséquences néfastes.
* Morts (évitables par acceptabilité sociale culturelle)
Fabricants et consommateurs protégés et incités à en consommer avec/par la criminalisation arbitraire des 18-21 ans pour le cannabis seulement, sans aucune preuve scientifique, arbitrairement par la CAQ votre gouvernement:
Tabac: #1 pour le nombre de morts annuelles plus de 13 000 et responsable de maladies.
Alcool un dépresseur*: #1 pour le nombre de drogués. Responsable de maladies physiques et mentales.
Alcool avec plus de 4 000 morts annuelles prématurées par acceptabilité sociale culturelle.
Alcool publicisé par la SAQ qui a droit à la fidélisation, promotion, rabais, dégustation, tirages, l'incitation et par Éduc'alcool qui reçoit des millions de la SAQ annuellement, avec sa recommandation de modération à 2-3 verres par jour, pas tous les jours mais plus selon l'occasion, et selon le sexe.
Les méfaits sur la santé physique, mentale et économique par l'alcool dépassent amplement les revenus !
Idem pour le tabac !
Éduc'alcool n'exige pas un âge minimum pour les jeunes enfants ?
Même si de jeunes enfants de 12 ans font parti des 82% de consommateurs ?
https://www.educalcool.qc.ca/jasons-moderation/parents/parler-dalcool-av...
Un objectif:
Éduquer le grand public et particulièrement les jeunes à ce qu’est l’alcool.
(Zappiste: Un dépresseur voila ce qu'est l'alcool ainsi que la drogue #1 du violeur.)
Il n’est jamais trop tôt
Les enfants sont souvent plus renseignés qu’on ne le croit. À l’âge de six ans, ils ont déjà une idée des normes sociales relatives à la consommation d’alcool des adultes et des enfants. Vous pouvez donc aborder la question de la consommation dès le jeune âge.
Donnez vous-même l’exemple
Comment être avec les 8 à 11 ans
Comment être avec les 12 à 14 ans
Soyez vigilants
* Dépresseurs
Disponible au dépanneur, près des écoles, et aussi toujours disponible sur le marché illicite.
Avant la pandémie il y avait 5 526 923 points de vente au total.
Beaucoup moins de pharmacies au Québec que de points de vente d'alcool.
Les Territoires du Nord-Ouest, le Yukon, le Nunavut et le Québec n’octroient pas de permis aux pharmacies.
Que sont les dépresseurs du système nerveux central
Ces substances ralentissent les fonctions psychiques d’un individu en diminuant le niveau d’éveil et l’activité générale du cerveau. Elles relaxent leur utilisateur. Celui-ci est alors moins conscient de son environnement. Les dépresseurs comprennent principalement les substances suivantes :
l’alcool (bière, vin, etc.) ;
les anesthésiques généraux ;
les anxiolytiques et les somnifères comprenant, entre autres, les benzodiazépines (p. ex. Ativan®, Imovane®, etc.) ;
le Gamma-hydroxybutyrate ou GHB ;
les opiacés (héroïne, morphine, codéine, etc.) ;
les substances volatiles (colle, essence, etc.)
Intéressant de voir que c'est le cannabis qui a été classé parmi les dépresseurs et opiacés.
Alors que c'est l'alcool un dépresseur, qui devrait en faire parti.
Le cannabis est également classé absurdement parmi les hallucinogènes comme le LSD, Champis, Peyote, etc.
Une simple consommation par ceux qui colportent ces mensonges, ouï-dire, pourrait clarifier la situation.
* Dépendance et Addiction
https://www.cairn.info/revue-lettre-de-l-enfance-et-de-l-adolescence-200...
Marc Valleur : Extrait
On peut être dépendant et accepter de l’être.
À ce moment-là, il n’y a aucune raison d’en faire une maladie.
Je crois que la seule définition de l’addiction au sens clinique du terme, c’est le fait que les personnes concernées elles-mêmes veulent réduire ou arrêter une conduite et n’y arrivent pas. Si la personne ne veut pas réduire ou arrêter, on ne voit pas quelle légitimité permet de définir les gens comme malades. Cela pose d’emblée la question de la médicalisation de l’addiction elle-même. L’addiction, comme la toxicomanie, se définit d’abord de manière subjective. C’est parce que quelqu’un se sent lui-même aliéné du fait de son rapport à une substance, de la répétition d’une conduite, que ça fait une « maladie ».
La Lettre : C’est toujours une question d’objet…
11- MV : Oui, mais surtout de répartition des champs. J’ai l’impression qu’on se bat depuis cinquante ans entre biologistes et psychanalystes dans une fausse guerre : il y a le champ des substances, des objets, de la pharmacologie, qui est celui des biologistes et il y a le champ des idées, des fantasmes, du sexe et du psychisme, celui des psychanalystes. Or la réalité est plus complexe, et se moque des séparations didactiques. La psychanalyse, la psychologie, la sociologie ont tout à fait à voir avec les addictions avec drogue et la biologie, la pharmacologie, ont tout à fait à voir avec les addictions sans drogue. Un des problèmes est ce clivage entre des champs de recherche qui ne relèvent pas du tout des mêmes méthodologies, des mêmes rigueurs, du même type d’approche.
Anecdote:
Lors de sa visite au Québec comme conférencier à l'Université il a dit approximativement:
Est-ce que c'est une personne qui aime les mygales/tarentules qui a un problème où moi qui en ai peur ?