A la place de: «Cannabis : les effets de la légalisation»
Il serait plus juste d'écrire:
«Cannabis : les effets pervers de la légalisation de la CAQ.»
Québec. Intoxication des 0 à 4 ans, 45% dû aux médicaments.
(45% aux produits domestiques)
Carmant un médecin plus inquiet pour l'ingestion accidentelle de cannabis
qui n'a aucune dose mortelle.
Contrairement aux médicaments, comme les opioïdes
antidépresseurs et compagnies, des fléaux, qui sont prescrits comme de l'eau
par ses confrères, et rendent accros, donnent des idées suicidaires
et causent des morts !
Tout ça pour satisfaire les hystériques du mouvement prohibitionniste
comme en 1923 lorsque le cannabis a été ajouté à la liste des drogues interdites
sans aucun motif et sans trop que l’on sache pourquoi, même maintenant.
Une erreur historique !
Près de 200 jeunes enfants au Québec
ont été victimes d’une intoxication à l’acétaminophène en moins de deux mois.
Alcool, Tabac, Médicament et LA drogue !?
Séparer volontairement les médicaments, l'alcool et le tabac
des "drogues" comme le font les médiocres,
policiers et policières, certains centre de désintoxication,
comme La Maison Jean Lapointe, c'est criminel.
C'est en faire l'apologie, la promotion
comme la SAQ et Éduc'alcool le font par acceptation culturelle seulement
ce qui fait que les méfaits incluant des morts ne comptent pas.
Pour l'alcool...
Il est temps de reconnaître que si le cannabis en soi ne représente que très
peu de danger pour les usagers et pour la société, certains usages présentent des
risques. C’est pourquoi une politique publique doit se concentrer sur la prévention
des usages à risque et l’aide et le traitement aux usagers excessifs.
«En étant trop stricts, on maintient les effets pervers de la prohibition : marché illégal.
On continue à stigmatiser, pas de contrôle de qualité [en matière de dosage], avance le professeur. M Jean-Sébastien Fallu.»
Pour le dosage, contrôle de dosage,
même avec la SQDC et la légalisation partielle paternaliste
il y a des marges d’erreur allant jusqu’à 10 % pour le taux deTHC
sur plusieurs produits.
A la place de: «Cannabis : les effets de la légalisation»
Il serait plus juste d'écrire:
«Cannabis : les effets pervers de la légalisation de la CAQ.»
Québec. Intoxication des 0 à 4 ans, 45% dû aux médicaments.
(45% aux produits domestiques)
Carmant un médecin plus inquiet pour l'ingestion accidentelle de cannabis
qui n'a aucune dose mortelle.
Contrairement aux médicaments, comme les opioïdes
antidépresseurs et compagnies, des fléaux, qui sont prescrits comme de l'eau
par ses confrères, et rendent accros, donnent des idées suicidaires
et causent des morts !
Tout ça pour satisfaire les hystériques du mouvement prohibitionniste
comme en 1923 lorsque le cannabis a été ajouté à la liste des drogues interdites
sans aucun motif et sans trop que l’on sache pourquoi, même maintenant.
Une erreur historique !
Près de 200 jeunes enfants au Québec
ont été victimes d’une intoxication à l’acétaminophène en moins de deux mois.
Alcool, Tabac, Médicament et LA drogue !?
Séparer volontairement les médicaments, l'alcool et le tabac
des "drogues" comme le font les médiocres,
policiers et policières, certains centre de désintoxication,
comme La Maison Jean Lapointe, c'est criminel.
C'est en faire l'apologie, la promotion
comme la SAQ et Éduc'alcool le font par acceptation culturelle seulement
ce qui fait que les méfaits incluant des morts ne comptent pas.
Pour l'alcool...
Il est temps de reconnaître que si le cannabis en soi ne représente que très
peu de danger pour les usagers et pour la société, certains usages présentent des
risques. C’est pourquoi une politique publique doit se concentrer sur la prévention
des usages à risque et l’aide et le traitement aux usagers excessifs.
«En étant trop stricts, on maintient les effets pervers de la prohibition : marché illégal.
On continue à stigmatiser, pas de contrôle de qualité [en matière de dosage], avance le professeur. M Jean-Sébastien Fallu.»
Pour le dosage, contrôle de dosage,
même avec la SQDC et la légalisation partielle paternaliste
il y a des marges d’erreur allant jusqu’à 10 % pour le taux deTHC
sur plusieurs produits.