Un documentaire sur l'appropriation culturelle «Touche pas à ma culture»
Nathalie Petrowski se questionne sur la liberté de création avec Touche pas à ma culture?
Décembre 2020
Le 15 décembre 2020
Depuis des années, la journaliste culturelle Nathalie Petrowksi est témoin de l’élan créateur québécois. Pourtant, récemment, elle a été soufflée de voir des auteurs, des metteurs en scène, des réalisateurs québécois être accusés de racisme, d’appropriation culturelle et même d’immoralité dans leurs œuvres. Avec son documentaire Touche pas à ma culture?, diffusé à Télé-Québec le mercredi 6 janvier à 20 h, elle propose d’explorer les phénomènes globaux de la liberté de création et de l’appropriation culturelle sous différents angles.
Nathalie Petrowski rencontre des artistes, des créateurs, des auteurs pour comprendre comment on peut justifier une forme de doctrine portée, certes, par un souci d’égalité et de justice sociale, mais qui renvoie à une rigidité qui confine à l’étouffement, surtout dans le champ de la création.
« Je ne peux pas croire que, pour avoir écrit un roman dans lequel je dénonce des actes barbares commis par des montres, on m’accuse », confie Yvan Godbout, auteur du roman Hansel et Gretel, ayant été accusé de production de pornographie juvénile pour son récit fictif. « Je trouve que nous sommes revenus à une ère un peu puritaine. [On essaie] de mettre des balises pour lisser ce que l’on retrouve dans les arts présentement. »
« Il faut continuer à parler pour les autres pour qu’ils voient ce qu’on comprend d’eux. Là, on nous dit : “Vous comprenez tout mal de nous, alors le silence serait préférable”. Oh, moi je ne pense pas, non! » souligne l’écrivaine Catherine Mavrikakis.
« On ne veut pas une intégration, on veut de la place! Créer de la place, c’est céder du pouvoir et si on n’est pas prêt, si la société n’est pas prête à céder du pouvoir, il n’y a pas de changement », pense quant à lui, Manuel Mathieu, artiste peintre.
« C’est une conversation sur 20 ans, 30 ans. On ne règlera pas la question avec quelques articles de journaux ou manifestations. On n’est pas obligé d’être d’accord, mais je trouve que nous sommes obligés d’écouter », affirme pour sa part le metteur en scène Serge Denoncourt.
Nathalie Petrowski conclut en se demandant dans vingt ou trente ans, quel regard nous porterons sur les questions qui polarisent en ce moment le monde culturel québécois. L’histoire nous le dira.
L’appropriation culturelle ! « Touche pas à ma culture » ?
« Touche pas à ma culture » est-ce de L’appropriation culturelle ?;O)
Un documentaire sur l'appropriation culturelle «Touche pas à ma culture»
La journaliste Nathalie Petrowski s'attaque à l'épineux sujet de l'appropriation culturelle, 2 ans après les affaires SLĀV et Kanata. Dans son documentaire Touche pas à ma culture, diffusé sur Télé-Québec, elle creuse la question à travers le point de vue d'une vingtaine d'intervenants. Elle nous en dit plus sur sa démarche.
Appropriation culturelle ?
Votre gouvernement a choisi deux personnes de couleur pour le dossier racisme ?
Un blanc pour le dossier autochtone ?
Même blanc qui a reconnu le racisme, sexisme, profilage des policiers de la SPVM. Et l'Omerta ?
La GRC et l'Armée canadienne qui sont supposé nous protéger ont les mêmes problèmes.
Rappelons que dans la déontologie policière la "Justice" n'est pas le plus important !
Le plus important c'est de donner "l'impression/l'apparence de Justice" !
Pas de fournir une Justice égale pour tous !
Des non consommateurs de cannabis et des prohibitionnistes cannaphobes dépendants pour la criminalisation des adultes de 18-21 ans et leur sacrifice aux organisations criminelles sans preuve scientifique ?
Le ministre de la "justice" du Québec fait parti de ceux qui refusent la science et la Justice égale pour tous !
Preuve, la criminalisation stupide des 18-21 ans et de fournir des millions aux organisations criminelles !
Pour protéger l'égo, l'orgueil du premier* et tenir une promesse électoraliste ! Rien à voir avec la santé publique !
Pas surprenant d'un gouvernement qui protège, laisse, a laissé les industries du tabac et de l'alcool (un dépresseur comme l'héroïne), des drogues légales mortelles tuer plus de 45 000 Québécois prématurément depuis son élection pour ces drogues accessible aux 18 ans et moins (Alcool un dépresseur légal aux enfants de 8-12 ans et moins).
* François Legault: « C’est clair, je ne me conte pas d’histoires. Des jeunes de 18 à 21 ans vont aller sur le marché noir acheter du cannabis. Mais je ne veux pas être connu comme le premier ministre du Québec à envoyer le signal que c’est banal de consommer du cannabis avant 21 ans. »
Comment prétendre vouloir protéger la santé physique et mentale des adultes de 18 ans.
En sacrifiant, mettant en contact les 18-21 ans, 50% des consommateurs, avec les organisations criminelles et nombreux produits contaminés, non réglementés, sans être renseignés sur leur puissance.
François Legault: J'ai déjà été jeune ?
Sans donner de détails sur:
Le sexe - la drogue - Michel Louvain et le racisme, sexisme, homophobie, quand il était jeune ?
Responsable des dossiers jeunesse. Parce qu'il a déjà été jeune et un adulte légal à 18 ans ?
Justice égale pour tous ?
Si on achète des organisations nous sommes des criminels.
Alors que quand votre gouvernement choisi de fournir des millions par trimestre aux organisations criminelles avec la criminalisation ségrégationniste sans preuve scientifique, plus dangereuse que les méfaits bénins du cannabis, des adultes de 18-21 ans, c'est acceptable ?
Ce n'est pas le cannabis qui rend sourd et aveugle !
Dissuader par oubli socio-toxique du sens de la proportionalité.
>> Ce n'est pas le cannabis qui rend sourd et aveugle!
Ah tiens, voilà justement de quoi me faire souvenir de cet autre article, hélas écrit en anglais alors que je poste du côté franco:
https://www.facebook.com/danandp/posts/10158752586312964
Dana Larsen - Masturbation Panic and the War on Drugs (2020-Nov-22)
S'cuzez-la!!
En tous cas j'aurais personellement plutôt tendance à plussoyer dans le sens des deux auteurs.
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