les sanctions du ministère des Anciens Combattants.

VA et marijuana - Ce que les vétérans doivent savoir
(United States Department of Veterans Affairs ou VA)

(Fournisseurs VA = Source de soins VA. VA providers)
https://www.publichealth.va.gov/marijuana.asp#:~:text=The%20U.S.%20Depar....

« Tant que la Food and Drug Administration classe la marijuana dans l'annexe I VA, les prestataires de soins de santé peuvent ne pas la recommander ou aider les vétérans à l'obtenir. »

Plusieurs États américains ont approuvé l'utilisation de la marijuana à des fins médicales et/ou récréatives. Les vétérans doivent savoir que la loi fédérale classe la marijuana comme une substance contrôlée de l'annexe 1. Cela le rend illégal aux yeux du gouvernement fédéral.

Le département américain des anciens combattants est tenu de respecter toutes les lois fédérales, y compris celles concernant la marijuana. Tant que la Food and Drug Administration classe la marijuana dans l'annexe I VA, les prestataires de soins de santé peuvent ne pas la recommander ou aider les vétérans à l'obtenir.

La participation des vétérans aux programmes étatiques de marijuana n'affecte pas l'admissibilité aux soins et services VA. Les fournisseurs de VA peuvent discuter et discutent de l'utilisation de la marijuana avec les vétérans dans le cadre de la planification complète des soins et ajustent les plans de traitement si nécessaire.

Certaines choses que les vétérans doivent savoir sur la marijuana et la VA :

Les anciens combattants ne se verront pas refuser les prestations VA en raison de la consommation de marijuana.

Les anciens combattants sont encouragés à discuter de l'utilisation de la marijuana avec leurs fournisseurs de VA.

Les fournisseurs de soins de santé VA enregistreront l'utilisation de marijuana dans le dossier médical VA du vétéran afin d'avoir les informations disponibles dans la planification du traitement. Comme pour toutes les informations cliniques, celles-ci font partie du dossier médical confidentiel et sont protégées par les lois et réglementations sur la vie privée et la confidentialité des patients.

Les cliniciens VA peuvent ne pas recommander la marijuana médicale.

Les cliniciens VA ne peuvent prescrire que des médicaments qui ont été approuvés par la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis pour un usage médical. À l'heure actuelle, la plupart des produits contenant du tétrahydrocannabinol (THC), du cannabidiol (CBD) ou d'autres cannabinoïdes ne sont pas approuvés à cette fin par la FDA.

Les cliniciens VA peuvent ne pas remplir les documents / formulaires requis pour que les patients vétérans participent aux programmes de marijuana approuvés par l'État.

Les pharmacies VA ne peuvent pas remplir les ordonnances de marijuana médicale.

VA ne paiera pas les prescriptions de marijuana médicale de quelque source que ce soit.

Les scientifiques de VA peuvent mener des recherches sur les avantages et les risques de la marijuana, et le potentiel d'abus, sous approbation réglementaire.

L'utilisation ou la possession de marijuana est interdite dans tous les centres médicaux, lieux et terrains de VA. Lorsque vous êtes sur le terrain de VA, c'est la loi fédérale qui est en vigueur, pas les lois de l'État.

Les vétérans qui sont des employés de VA sont soumis à des tests de dépistage de drogue dans le cadre des conditions d'emploi.

Voir la directive complète " Accès aux programmes cliniques VHA pour les vétérans participant aux programmes de marijuana approuvés par l'État (73 Ko, PDF)". (Directive VHA 1315)

Pour envoyer un message sécurisé, utilisez " Welcome to Ask VA (AVA) " Veuillez ne pas inclure de données ou d'informations personnelles.

« Parce que la Food and Drug Administration classe jusqu'au CBD de cannabis dans l'annexe I VA. »

« Les cliniciens VA ne peuvent prescrire que des médicaments qui ont été approuvés par la Food and Drug Administration (FDA) des États-Unis pour un usage médical. À l'heure actuelle, la plupart des produits contenant du tétrahydrocannabinol (THC), du cannabidiol (CBD) ou d'autres cannabinoïdes ne sont pas approuvés à cette fin par la FDA. ».

Pourtant le cannabidiol (CBD) et même un delta-9-tétrahydrocannabinol (THC) "synthétique"
à usage médical, thérapeutiques, sont approuvés par la FDA.

La FDA a-t-elle approuvé des produits médicaux contenant du cannabis ou des composés dérivés du cannabis tels que le CBD ?

R. À ce jour, l'agence n'a pas approuvé de demande de commercialisation de cannabis pour le traitement d'une maladie ou d'un état. La FDA a cependant approuvé un produit médicamenteux dérivé du cannabis et trois produits médicamenteux liés au cannabis. Ces produits approuvés ne sont disponibles que sur ordonnance d'un fournisseur de soins de santé agréé.

La FDA a approuvé Epidiolex , qui contient une forme purifiée de la substance médicamenteuse CBD pour le traitement des convulsions associées au syndrome de Lennox-Gastaut ou au syndrome de Dravet chez les patients âgés de 1 an et plus. Il a également approuvé Epidiolex pour le traitement des convulsions associées au complexe de la sclérose tubéreuse chez les patients âgés d'un an ou plus. Cela signifie que la FDA a conclu que ce médicament particulier est sûr et efficace pour son utilisation prévue.

L'agence a également approuvé le Marinol et le Syndros à des fins thérapeutiques aux États-Unis, notamment pour le traitement de l'anorexie associée à la perte de poids chez les patients atteints du SIDA. Marinol et Syndros contiennent l'ingrédient actif dronabinol, un delta-9-tétrahydrocannabinol (THC) synthétique qui est considéré comme le composant psychoactif du cannabis. Un autre médicament approuvé par la FDA, Cesamet, contient l'ingrédient actif nabilone, qui a une structure chimique similaire au THC et est dérivé synthétiquement.

« Ces quelques produits synthétiques limitent les choix des humains souffrants et mourants. »

Versus des milliers de médoc$ synthétiques de pharmaceutiques dangereux pour la santé physique et mentale.
Prescrits à pochetée et répétition par des médecins/psychiatres/pédiatres pro-médoc$.

Tous des fléaux mondiaux ! Incluant les médecins/psychiatres/pédiatres pro-médoc$ cannaphobes.
Fléaux mondiaux comme la tabac, l'alcool, les plastiques provenant du et le pétrole.

Les antidépresseurs.
Les neuroleptiques (dits aussi antipsychotiques)
Les anxiolytiques (ou tranquillisants)
Les hypnotiques (ou somnifères)
Les stabilisants de l'humeur (dits aussi régulateurs de l'humeur, thymorégulateurs ou parfois normothymiques)

Ces médicaments aux effets primaires et secondaires parfois pire que la maladie nécessitant d'autres médoc$ pour les contrer, à accoutumance forte, à doses mortelles, sont aussi efficaces qu'il soient utilisés légalement ou non.

Pour le plaisir ou faire cesser, oublier, le déplaisir, la douleur !

Le trouble de stress post-traumatique est une réaction bio-neuro-physiologique consécutive à une situation durant laquelle l'intégrité physique ou psychologique du patient, ou celle de son entourage, a été menacée ou effectivement atteinte (notamment en cas de torture, viol, accident grave, mort violente, maltraitance, négligence de soins de la petite enfance, manipulation, agression, maladie grave, naissance, guerre, attentat, accouchement). Les capacités d'adaptation (comment faire face) du sujet sont débordées. La réaction immédiate à l'événement aura été traduite par une peur intense (effroi), par un sentiment d'impuissance ou par un sentiment d'horreur.

Douleur de vivre nécessitant jusqu'au carfentanil ou carfentanyl, aussi connu comme le 4-carbométhoxyfentanyl, un opioïde synthétique à l'effet 100 fois plus intense que le fentanyl (100 fois plus intense que celui de la morphine et 50 fois celui de l'héroïne), et 10 000 fois plus intense que la morphine ?

Il faut que la capacité d'apprendre soit aussi efficace que celle à oublier !

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